Thème : Société |
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1 | No d'identification : 14176 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Attaques contre les « peddlers » juifs. On espère pouvoir leur imposer une taxe de 50$. Référence «Les colporteurs juifs», Le Trifluvien (26 octobre 1894): 2, col. 2-4. |
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2 | No d'identification : 13476 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « On signale un certain malaise dans le monde ouvrier trifluvien du fait que la “Three Rivers Shipyards” a reçu devoir de louer les services d’une cinquantaine de travailleurs étrangers, italiens pour la plupart. Plusieurs ouvriers de la ville se trouveraient à cause de cela privés de labeur au moment même où ils en ont le plus besoin. » Référence «Ouvriers étrangers», Le Bien Public (28 novembre 1918): 8, col. 2. |
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3 | No d'identification : 13475 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « Dans une ville éminemment canadienne comme Trois-Rivières, il est regrettable de ne voir dans les bureaux publics que des écriteaux comme ceux-ci: General Delivery, Letters Delivery, Custom House, Entrance, etc. Si, encore, il y avait une traduction française. » Référence La Concorde (20 juin 1883): 2, col. 6. |
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4 | No d'identification : 13473 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « Le Constitutionnel se plaint que la population du Québec, et surtout les Trifluviens, ne s’entraident pas assez et même qu’ils se nuisent entre eux. » Référence Le Constitutionnel (26 décembre 1881): 2, col. 3. |
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5 | No d'identification : 13471 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « Notre conseil de ville nous a enfin donné une police régulière. Nous croyons cependant que nos concitoyens seront unanimes à dire avec nous que les insignes de cette police ne conviennent pas. Dans une ville composée des neuf-dixième de Canadiens-français, nous ne nous expliquons comment notre conseil a pu ordonner qu’on désignât la police sous le nom de Three Rivers police. C’est une anglification [sic] qui n’a aucunement sa place et que le conseil doit faire disparaître au plus tôt. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (12 avril 1877): 2, col. 5. |
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6 | No d'identification : 13470 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire L’effet néfaste des dernières élections sur la classe ouvrière de Trois-Rivières. Référence Le Journal des Trois-Rivières (12 juillet 1875): 2, col. 1-2. |
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7 | No d'identification : 13469 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « La requête en faveur de Lépine et de l’Amnistie mise en circulation par Son Honneur le maire de cette ville a été couverte de signatures. Le jour de Noël, après les offices, la foule, sur l’invitation de Monsieur le curé de cette ville, s’est pressée à l’hôtel de ville pour singer cette requête. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (28 décembre 1874): 3, col. 1. |
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8 | No d'identification : 13466 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « Quelqu’un visitant Trois-Rivières ne pourrait manquer de se croire dans une ville anglaise. Presque toutes les enseignes de marchands des manufacturiers, forgerons, barbiers, etc. sont peintes en anglais. Cependant, la très grande majorité de nos marchands etc. sont d’origine canadienne-française [...] Les anglais sous ce rapport sous [sic] plus particuliers que nous. Allez dans les grandes villes, vous n’y trouverez pas une seule enseigne française. Je voudrais bien connaître, par exemple, ce qui peut engager un barbier canadien-français à mettre devant sa porte: Barber Shop!! Bien souvent ce barbier canadien-français ne sait pas même un mot d’anglais. Sympathisons avec nos compatriotes d’origine anglaise: c’est fort bien, ils sont nos frères et nos amis. Mais de grâce, sachons être fier de notre langue [...] » Signé: Nisus Référence Le Constitutionnel (18 décembre 1874): 2, col. 4. |
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9 | No d'identification : 13464 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Le journal se dit contre la pendaison d’un prisonnier à Trois-Rivières et espère l’abolition de la peine de mort. Référence L’Ère Nouvelle (15 octobre 1860): 2, col. 6. |
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10 | No d'identification : 13462 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Jeudi soir, au temps fixé, près de 50 personnes, de toutes les classes, depuis l’artisan jusqu’à l’homme de robe, se trouvaient réunies à l’hôtel Bernard pour prendre part au dîner que les citoyens s’étaient proposé de donner aux directeurs de la compagnie de gaz de cette ville. Jamais plus joyeuse réunion n’a eu lieu à Trois-Rivières, et la meilleure entente y a régné toute la soirée. Dans une population composée comme celle des Trois-Rivières, où chaque classe de la société est en petit nombre, et où il y a une différence d’origine, les citoyens se fréquentent peu et l’intimité est rare. Référence L’Ère Nouvelle (15 janvier 1855): 2, col. 2-3. |
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11 | No d'identification : 13461 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Ce sont les membres de la Conférence Ste-Ursule de la Société St-Vincent-de-Paul qui l’ont organisée. Ils sont revenus avec plusieurs dépouilles pour les pauvres. De l’argent; 127,77$ fut leur perception. Référence Le Bien Public (31 décembre 1912): 6, col. 1. |
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12 | No d'identification : 13460 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Le correspondant de Louiseville pour le Bien Public s’indigne du fait que le « Père Noël » se soit rendu dans cette ville. On y fait remarquer: « N’est-il pas regrettable qu’un si triste personnage tende, de plus en plus, à s’emparer, même dans nos meilleures familles, du rôle charmant qu’y remplissait autrefois, auprès des petits, le gracieux Enfant Jésus. » Référence Le Bien Public (17 décembre 1909): 4, col. 3. |
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13 | No d'identification : 13457 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Vers 1900, à l’endroit où était situé le moulin à vent au bout de la rue Notre-Dame, les nomades avaient l’habitude de s’y regrouper. Référence Louis-Georges Godin, Mémorial trifluvien, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1933: 26. |
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14 | No d'identification : 13456 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Le greffier de la paix de Trois-Rivières souligne au conseil que le charretier Edouard Bourassa « sollicite les jeunes gens pour les conduire aux maisons mal famées ». Dans une cause du district de Trois-Rivières, on souligne que Bourassa amenait des jeunes gens chez Madame Marchand ou sur le coteau St-Louis. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 juin 1898. |
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15 | No d'identification : 13455 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Requête d’un groupe de citoyens se plaignant que les jeunes se rassemblent au parc du Plateau et cela défie la morale publique. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 juin 1897. |
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16 | No d'identification : 13453 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire J.N. Bureau demande au conseil de chasser les bohèmes qui se sont installés sur le coteau St-Louis à proximité de sa demeure. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 juin 1895. |
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17 | No d'identification : 13452 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Au sujet de la polémique qu’a suscité la reconstruction de la clôture autour du parc Champlain. Le conseil semble avoir construit la clôture puisque dans les comptes de l’année 1894 apparaît une dépense de 640.98$ pour « clôture et trottoir du Carré Champlain ». Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 janvier 1895. |
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18 | No d'identification : 13451 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Pétition de citoyens de Trois-Rivières s’opposant à la reconstruction de la clôture entourant le parc. On suggère plutôt d’éclairer le parc. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 juillet 1894. |
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19 | No d'identification : 13449 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire L’évêque de Trois-Rivières demande au conseil de ville de reconstruire la clôture qui entoure le parc Champlain. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 juillet 1894. |
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20 | No d'identification : 13448 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « Encore un type de disparu dans nos rues; nous voulons parler de cette vieille mendiante connue sous le nom de la mère Racine Alary, qui est morte subitement la semaine dernière à la résidence de sa fille, dame Veuve Stevens. La mère Alary devait être très âgée. Tout ce que la bonne vieille se rappelait à cet égard, c’était de s’être marié [sic] à l’âge de quinze ans. Puisse tous les chapelets qu’elle a promis de dire pour tous ses bienfaiteurs, lui être comptés, comme si elle les avait dit réellement, et lui faire trouver grâce là-haut. La mère Alary était une vieille pensionnaire de la Société St-Vincent-de-Paul, qui lui procurait tous les hivers le bois, les provisions, etc. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (15 juillet 1886): 2, col. 4. |
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21 | No d'identification : 13446 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire « Une troupe de bohémiens a traversé la ville mardi et est allée s’installer sous les pins du séminaire à l’extrémité de la rue des Champs. Elle se composait d’une dizaine de personnes, hommes, femmes et enfants. La police est allée les faire déguerpir de cette [sic] endroit isolé et les forcé [sic] à poursuivre leur route. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (2 août 1885): 2, col. 5. |
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22 | No d'identification : 13445 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Rapport du comité de police sur des accusations portées contre certains policiers. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 1 mars 1885. |
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23 | No d'identification : 13444 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire On parle beaucoup d’une maison qui serait hantée jour et nuit sur la rue Modeste en notre ville. Référence Le Clairon (11 juillet 1884): 3, col. 1. |
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24 | No d'identification : 13442 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Les citoyens amis du bon ordre demandent pourquoi nos autorités civiques n’ont pas encore songé à faire éclairer convenablement le carré Champlain le soir. Ce jardin ombreux est ouvert au public jusqu’à 9 heures du soir et tous les promeneurs bien ou mal intentionnés qui y circulent s’y trouvent dans une obscurité à peu près complète. Qu’empêchera cette place publique de devenir le soir un lieu de désordre et d’immoralité, si on continue à ne pas pourvoir d’un éclairage suffisant? Que l’on ferme ce jardin une heure ou deux plus tôt ou qu’on éclaire convenablement. Référence Le Journal des Trois-Rivières (26 juin 1884): 2, col. 5. |
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25 | No d'identification : 13440 | Fonds : Trois-Rivières |
Information documentaire Le printemps nous amène toujours une légion de musiciens ambulants de toutes sortes: hier, deux Italiens parcouraient nos rues en faisant entendre les doux sons de cet instrument tyrolien appelé la « Vèse ». Référence Le Clairon (30 avril 1884): 2, col. 4. |