Thème : Clientèle |
Index thématique -> Économie -> Marché -> Clientèle |
![]() |
![]() |
1 - 25 sur 25 | ![]() |
![]() |
Imprimer |
1 | No d'identification : 23944 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) "La fonderie Rémillard de cette ville a passé avec le Pacifique un contrat pour les ouvrages en fonte de 1000 chars plates-formes. On a commence ces jours-ci a expédier cette conte." Référence Le Trifluvien, col.1 (1 décembre 1888) : 3. |
||
2 | No d'identification : 23955 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) On rapporte que les forges du Saint-Maurice éprouve de la difficulté à s'approvisionner en minerai de fer, les ressources proches étant épuisées. Cependant le journaliste se dit mal renseigné sur cet établissement. À Radnor, les conditions sont des plus idéales. Le minerai, proche, est très abondant. C'est aussi le cas pour le bois de construction et de carbonisation, pour la pierre calcaire qui sert de fondant, pour la terre glaise, pour la terre noire entrant dans la pâte de modèle. Enfin tous ces éléments sont regroupés autour d'une source d'énergie hydraulique capable d'actionner tous les mécanismes de l'établissement. Le minerai, aux dires des praticiens et des spécialistes est de qualité supérieure et donne un fer dont la renommée va grandissante. D'ailleurs le Grand Tronc a retenu l'établissement de Radnor pour la confection de l'un de ses modèles de roues de train. Référence L’Ère Nouvelle, col. 4-5 (5 novembre 1855) : 1. |
||
3 | No d'identification : 23961 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Article sur la fonderie de Louis Dupuis de Trois-Rivières, établie vers 1843. Dupuis a appris son métier aux forges de Saint-Maurice. Son établissement se spécialise dans la fabrication de cloches, de roues de moulin et de poêles. Ses poêles, dit-on, sont excellents et meilleur marché que ceux des forges du Saint-Maurice. Depuis ses débuts, Dupuis a fondu pas moins de dix cloches, dont une pour l'Hôpital Général de Québec, une pour les Ursulines de Trois-Rivières et une pour la paroisse de Saint-Maurice. Les fourneaux de Dupuis peuvent porter 1500 livres et pourraient fondre des cloches de 1300 a 1400 livres. Il est aussi le seul au pays à fondre des roues de moulin appelées "Patentes". Ces roues seraient faites de telle manière que la crue des eaux, même en inondant le moulin, en empêche pas le fonctionnement. Il fait de 42 pouces, de 4 pieds, de 4 1/2 pieds et de 5 pieds 9 pouces de diamètre. Les moules de cloches dont se sert Dupuis sont exécutés par un ouvrier nomme Raymond, dont on dit qu'il a aucune expérience dans le domaine. Référence Gazette des Trois-Rivières, col. 1 (1 octobre 1846) : 3. |
||
4 | No d'identification : 23962 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Lettre de P. J. Bedard, ptre, de Saint-Rock, date du 21 novembre 1664, qui fait l'éloge des cloches fondues à la fonderie de Louis Dupuis de Trois-Rivières. Dupuis a fondu la cloche de l'hôpital Général de Québec, de l'église de Saint-Raymond, de Saint-Casimir et de Saint-Alban. Référence L’Ère Nouvelle, col. 3 (1 décembre 1864) : 2. |
||
5 | No d'identification : 23968 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) La St-Maurice Foundry Machine Co. est plus prospère que jamais. Les commandes sont nombreuses et on prévoit l'embauche d'employés supplémentaires. Au cours des derniers mois, elle a expedié des produits à Montréal, à Valleyfield, à St. Jérôme, à Arnprior et a divers endroits au Canada. Elle exécute également des commandes pour la Montréal Pipe Foundry Co. L'entreprise est dirigée par William Duncan, Antoine Dusseault et P. E. Panneton. Référence Le Trifluvien, col. 4 (26 octobre 1900) : 3. |
||
6 | No d'identification : 24045 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral, au complet) "Roues de chemin de fer. Nous constatons avec plaisir que l'établissement de M. McDougall pour la confection des roues de chemin de fer est en pleine acivité. Il y a de nouvelles commandes à chaque semaine, et les compagnies de chemin de fer d'Ontario qui les premières ont fait l'essai des roues nouvellement manufacturées aux Trois-Rivières s'en montrent complètement satisfaites. Il se confectionne une moyenne de 120 roues par semaine, lesquelles sont immédiatement expédiées. La société McDougall a rétablie l'ancienne fonderie établie par MM. Turcotte et Larue et elle est assurée maintenant de pouvoir confectionner des roues sans égales pour la force et la durée, dans toute la province. Nous espérons que les gouvernements de Québec et d'Ottawa lui donneront l'encouragement qu'elle mérite." Référence Le Journal des Trois-Rivières, col. 2 (5 avril 1880) : 2. |
||
7 | No d'identification : 24061 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Aux forges du Saint-Maurice en 1808, l'observateur note que les travailleurs (citation) "make about 1000 stoves per annum; the small single stoves sell for 3 L. and the larger sort for 6 L. each. The double stoves, which have an oven at the top, are sold for 10 or 12 L. according to the size. Potash kettles sell from 20 to 25 L. each". (Citation) "Fresh veins of ore are daily discovered, land purchased at a trifling price of the people in whose land it is found. Messrs. Munro and Bell had incurred great expense in collecting ore and improving the works at the expiration of their lease in 1806, and would have given 1 200 L. per annum, it is said, rather than it should hâve gone into other hands. (Résume) La même année, soit en 1808 l'observateur note que (citation): "The present proprietors of the works, at the commencement of their taking them, in order to push the sale of their bar iron, which was at that time inconsiderable, purchased a large stock of very inferior British iron, and knowing that the Habitants regarded the price more than the quality, they sold it to them for a trifle less than the Three-Rivers iron (. .)". Référence John Lambert, Travels through Canada, s.l., s.n., 1813 : 487-488. |
||
8 | No d'identification : 24240 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) La production de fer aux États-Unis a atteint en 1896 un niveau jamais auparavant inégale. La production de fonte en gueuse n'a pas été entièrement écoulée. Au cours de l'année, le prix du fer a fluctué de telle sorte que certains hauts fourneaux, Incapables d'offrir des prix compétitifs, ont été éteints. À la fin de l'année 1896, les prix ont repris une tendance à la hausse. Les plus gros consommateurs de fonte en gueuse aux États-Unis se retrouvent à Pittsburg et à Chicago. Le texte présente également certaines statistiques relatives a la fluctuation des prix du fer américain tout au cours de l'année 1696. Référence George E. Drummond, «Review of the Pig Iron Trade of 1896», Journal of The Federated Canadian Mining Institute (1897) : 47-49. |
||
9 | No d'identification : 24401 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) En 1900, George E. Drummond a visité Michipicoten. Selon ses termes (Citation) "I found Michipicoten quite a populous place. With a splendid ore dock as good as anything on Lake Superior, and which will be still greatly improved this present year. They have 12 miles of the road in operation, locomotives of 100 tons, and an equipment of ore cars of 50 tons. I found them crushing 5,000 tons of ore a day, and I found ocean steamers at the dock, 600 ft. above the level of the sea. We had, as you know, four of them, carrying ore to Midland, and the next year we will have eight, and ail this is the work of one man". Référence Canadian Mining Review, «Midland No 1. Canada Iron Furnace Co's New Furnace at Midland in with Befitting Ceremony», CMR, vol. 19 (1900) : 273. |
||
10 | No d'identification : 24406 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) "Dans son allocution, J. Davis, commissaire des terres de la Couronne mentionne que (citation) "During the last season assistance vas given for the construction of the Algoma Central Railway, and as a result of the assistance given and the arrangement entered into with that railway you have been enabled to witness what has happened here today. Had it not been for the construction of that portion of the road you could not have reached Michipicoten and you could not have had some of the rich ore deposits in Midland today. That steamship line was also a part of the arrangement entered at that time, and those steamships took it from Michipicoten, brought it down here for the use of the markets of our own land. This will show how great results will flow from a very simple thing. The mines from which these ores corne are almost inexhaustible, and you not only have transportation by rail and water, but I notice from figures quoted here today that you are fortunately situated in being 700 miles nearer to the great markets of the world by way of Midland and Montreal, than by way of Buffalo and New York. Our country is thus favorably situated, and it is the duty of the Government of the Province of Ontario to develop these interests". Référence Canadian Mining Review, «Midland No 1. Canada Iron Furnace Co's New Furnace at Midland in with Befitting Ceremony», CMR, vol. 19 (1900) : 275. |
||
11 | No d'identification : 24431 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Citation) "Chromite. Returns from the Quebec Central Railway show that the shipments of this mineral were: from Black Lake, 4,117,840 Ibs and from Coleraine 555,860 Ibs or a total of 2,336 1700/2000 tons. The output for the previous year, as reported by he Geological Survey was 1,960 tons of a value of $23,760. It is worthy of remark that a portion of the output was shipped to the Electrical Reduction Works at Buckingham, Que. for the manufacture of ferro-chrome". Référence The Canadian Mining Review, vol. 20 (1901) : 114. |
||
12 | No d'identification : 24626 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Les défendeurs allèguent avoir pris une entente par laquelle A. Larue & Co. rembourserait J.N. Bureau avec des roues de chemin de fer. L'entente précise que lorsque les opposants (A. Larue & Co.) recevraient une commande de roues de la compagnie du Grand Tronc, le commis des opposants, Antoine Frigon, se chargerait de transmettre les roues à leur agent à Montréal. Alfred Brown, marchand à commission. Brown devait vendre les roues à la Compagnie de chemin de fer $15.00 chacune. Lorsque la vente serait faite, les défendeurs feraient parvenir au demandeur une traite sur Alfred Brown au montant du prix des roues qu'il avait vendues. Ils auraient livre ainsi pour $900.00 de roues. Référence ANQTR. 120, no 236, Cour Supérieure, J.N. Bureau vs A. Larue & Co., 18 novembre 1863. |
||
13 | No d'identification : 24628 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) J.G.A. Frigon commis des opposants. Il déclare que le 25-07-1863, A. Larue & Co ont fait entente avec J.N. Bureau. La Compagnie devait donner à Bureau 20 roues de chemin de fer par mois "comme sûreté collatérale de payement du billet". Frigon devait recevoir et entreposer les roues dans les hangars de J.E. Turcotte et les faire parvenir à Alfred Brown lorsque la Compagnie du Grand Tronc en ferait la commande. Référence ANQTR. 120, no 236, Cour Supérieure, J.N. Bureau vs A. Larue & Co., 13 décembre 1863. |
||
14 | No d'identification : 24698 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Vente d'une partie de la saisie, soit 11 tonneaux de fonte. L'acquéreur est George Burstall. La vente s'élève à $275.00, soit $25,00 le tonneau de fonte. Référence ANQTR. 126, no 171, Cour Supérieure, C.B. Genest vs A. Larue et al., 7 novembre 1866. |
||
15 | No d'identification : 24711 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Vente partielle: 2 roues, l'une à Edouard Burnstall et l'autre à Robert Scott. Référence ANQTR. 126, no 2741, Cour Supérieure, Andrew W. Hood vs A. Larue & al., 27 novembre 1866. |
||
16 | No d'identification : 24754 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) Toronto, July 30th, 1892. Messrs. The Canada Iron Furnace Co., Ltd., Montréal. Dear Sirs, - Replying to your esteemed enquiry re our expérience with your Three Rivers C.l.F. charcoal pig iron, would say that we are using a mixture containing 20% of your iron, and the results are most satisfactory in all respects; our stove plate is tough, smooth and high in color, a point that we have been trying for some time, and with which we are delighted. For radiator and boiier castings it has improved the quality very much, being much stronger, softer and close, with no spongy spots, and our losses are reduced so much that we believe we will be in pocket by using this in future in our entire melt, although the price is so much greater than ordinary iron. Yours truly (sgd.) The E. & C. Gurney Co., pp. W. H. Carrick. Référence Canada Iron Furnace C.Ltd , International Mining Convention of 1893 to Radnor Forge, Montréal, The Canada Iron Furnace Company, 25 février 1893 : 18. |
||
17 | No d'identification : 24755 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) St. Thomas, Ont., Oct. 24th. 1892. Geo. E. Drummond, Esq., Man.-Dir. and Treas. Canada Iron Furnace Co., Ltd., Montreal, Que. Dear Sir,- Enclosed herewith. please find order for 150 tons of Three Rivers C.I.F. iron, graded as specified from 2 1/2 to 6 inclusive. We volunteer to say in regard to the iron we have been receiving from your Company, that it is giving most satisfactory results in our car wheel mixture, and we have found that by the aid of it we can entirely dispense with the high priced irons which we were formely obliged to import, our records of tests showing an improvement of over 25% on the results previous to using your iron, in addition to which our percentage of loss has been greatly reduced. We also use a considérable portion of this iron in our machinery casting department, particularly for special locomotive and machinery castings requiring close grain, strength, and fine finish, and for this purpose we find iron graded from soft 1 to 3 most desirable. We would be glad to have you refer any parties to us for further information if desired. Yours truly, (Sgd.) St. Thomas Car Wheel Co., Ltd. Fer John H. Fleming, Asst-Man. Référence Canada Iron Furnace C.Ltd , International Mining Convention of 1893 to Radnor Forge, Montréal, The Canada Iron Furnace Company, 25 février 1893 : 19. |
||
18 | No d'identification : 24756 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) Brantford, May 7th, 1892. Geo. E. Drummond., Esq. , Man.-Dir. and Treas. Canada Iron Furnace Co, Ltd Montreal, Que. Dear Sir,- In reply to your favor of the 2nd inst., we would say that we have for the past two years been using your charcoal iron, especially in our cylinder and valve castings for our angines. Previous to using your iron we used "Salisbury" iron. We find, in our opinion, that your iron is at least equal for this purpose to the "Salisbury", and should judge from our expérience, if anything, a little better. Yours truly, (Sgd.) The Waterous Engine Works Co., Ltd. C.H. Waterous, Gen'l Man. Référence Canada Iron Furnace C.Ltd , International Mining Convention of 1893 to Radnor Forge, Montréal, The Canada Iron Furnace Company, 25 février 1893 : 21. |
||
19 | No d'identification : 24757 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) Lachine, September 24th, 1892. Geo. E. Drummond, Esq., Canada Iron Furnace Co., Ltd., Montreal. Dear Sir,- Refering to last shipment of C.I.F. Three Rivers Iron, I find it is still up to the mark, and superior to any other brands which we receive. The following is a practical test made from the pipe cupola; We ran short of C.I.F. and I vas obliged to use a mixture composed of one-third "Carnbroe" No. 1, one-third M. and C. and one-third Siemens No. 1. This gives very good results and bars average 2,400 Ibs. Upon receipt of the C.I.F. Three Rivers iron I used 25% securing an increase of strength to 2,700 Ibs. I then increased the C.I.F. to 50% with the result of an increase to 3,300 Ibs. The C.I.F. used in this test vas No. 2 1/2. I am pleased to say that in my experience in the manufacture of car wheels and castings I have not found any iron to compare with the C.I.F. (Signed.) D.H. Gilbert, Supt. Montreal Car Wheel Co. and Drummond, McCall., Pipe Foundry Co. Référence Canada Iron Furnace C.Ltd , International Mining Convention of 1893 to Radnor Forge, Montréal, The Canada Iron Furnace Company, 25 février 1893 : 21. |
||
20 | No d'identification : 24866 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) "En 1854, Mgr Cooke fit une visite à St-Maurice pour bénir les hauts fourneaux construits par MM. Turcotte, Hall et Larue, sur la rivière au Lard, dans le rang Ste-Marguerite". [300] "C'est ici que, pendant bien des années, on coula toutes les roues du Grand Tronc. Elles étaient tellement bonnes que l'on exhiba à Londres une roue qui était encore intacte, après avoir fait deux fois le tour du monde, en comptant ses voyages de Portland à Québec, et de Québec à Montréal. La compagnie Turcotte, Hall et Larue voulut faire compétition à la Suède pour le fer battu. Pour atteindre ce but, on construisit des machines immenses appelées par nos gens: "Rolling Mills". Cette fabrication ne donna pas les résultats attendus, le fer n'était pas assez épuré par les laminoirs. La compagnie perdit, dans cette entreprise, la somme de $85,000 et discrédita le fer Radnor". [301] Cette industrie donna beaucoup de valeur à nos terres et fit la fortune de plusieurs habitants, car les dépenses annuelles s'élevaient quelquefois jusqu'à $100,000." Référence Jean (pseud.) Bart et J.O. Prince, «Historique de la paroisse de Saint-Maurice, Comte de Champlain», BRH, vol. 35, no. 5 (mai 1929) : 300 et 302. |
||
21 | No d'identification : 24894 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral, au complet)- "Nous avons eu l'occasion, vendredi dernier, de visiter la grande fonderie de roues de chemin de fer, qui vient d'être mise de nouveau en opération par notre actif concitoyen, M. George McDougall. L'engin qui fait mouvoir cette fonderie est de quinze forces, c'est assez dire qu'il est énorme. Les roues provenant de cette fonderie sont d'un fini et d'une force à toute épreuve. On nous a fait voir la couche d'acier qui recouvre ou entoure chaque roue et qui est d'une épaisseur variant d'un pouce à un pouce et demi. Deux raille de ces fameuses roues sont actuellement sur la ligne du chemin de fer Great Western. Il nous a fait plaisir de constater qu'un grand nombre d'hommes sont employés dans cette usine. M. Léon Lepage conduit les travaux avec un tact et des connaissances qui prouvent sa longue expérience dans cette industrie". Référence La Concorde, col. 1 (30 août 1880) : 3. |
||
22 | No d'identification : 24952 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral - partiel) "Dès 1854 s'était fondée sur le Saint-Maurice l'entreprise des Forges de Radnor, à deux milles au Nord du village» dans le rang Sainte-Marguerite, sur un affleurement de calcaire qui fournissait la castine; la rivière Au Lard donnait l'énergie et on se mit à exploiter activement les savanes jusque sur Saint-Luc et Saint-Narcisse. À l'automne 1854, le haut-fourneau, crachait ses six tonnes de lave par jour. [...] Logan, en 1863, estime que de 200 à 400 ouvriers sont occupés suivant les saisons. On produit alors 2,000 tonnes de fonte transformée en faux, en clous et surtout en roues pour chemins de fer. C'est aux forges de Radnor que furent coulées les roues des premiers wagons du chemin de fer du Nord (Québec-Montréal) et du Pacifique Canadien." [59] [...] Les fonderies apportaient aux travailleurs la solde rémunératrice. [60] La population anglaise fut nombreuse à cette époque. Le haut personnel des Forges en était composé. Les Anglais dirigeaient aussi le commerce de la pierre de taille. Le cadastre officiel de cet ancien village de Fermont montre que le village comprenait environ soixante-dix terrains ou emplacements. [...] Ce village de Fermont fut aboli le 30 mars 1939, et ses terrains retournèrent à la paroisse de Saint-Maurice d'où il avait été détaché. [...] [61] Référence Soeur Lisette-Marie, Histoire de la paroisse de Saint-Maurice, s.l., s.n., 1963 : 59-61. |
||
23 | No d'identification : 24962 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral - complet) "II y a bien eu au siècle dernier des périodes d'activité industrielle dans certains coins du comté. C'est ainsi que vers 1800. il y avait des Forges à Sainte-Geneviève, sur les bords de la Batiscan; celles-ci ont cessé de fonctionner vers 1015 après avoir fonctionné pendant une vingtaine d'années; elles rivalisèrent quelque peu avec celles des Trois-Rivières quoique moins considérables. Un peu plus tard, soit vers 1854, s'ouvrirent près de Saint-Maurice, les Forges Radnor qui fournirent les premières roues du Pacifique Canadien; après une activité intense pendant un certain nombre d'années, les Forges Radnor fermèrent leurs portes en 1906: elles avaient employé jusqu'à 400 hommes." Référence G. Norbert, Monographie du comté de Champlain, Thèse (M.A. Commerce), Québec, Université Laval, 1952 : 55. |
||
24 | No d'identification : 25102 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges Saint-Joseph à Saint-Tite. Ce rapport fournit des renseignements sur la technologie, la production, l'emploi, les salaires, la clientèle, la destination des produits, les investissements, etc. Ce rapport porte sur la production aux forges Saint-Tite en 1870 et au début de 1871. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, ANC, Return for Mineral Statistics, 1871. |
||
25 | No d'identification : 25103 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges de Saint-Pie. Ce rapport fournit des renseignements sur la technologie, la production, l'emploi, les salaires, les investissements. Ce rapport concerne la production aux forges Saint-Pie en 1869. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, ANC, Return for Mineral Statistics, 1871. |
Index thématique -> Économie -> Marché -> Clientèle |