Thème : Conditions de travail |
Index thématique -> Travail et travailleurs -> Conditions de travail |
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1 | No d'identification : 23959 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Visite de la Cie canadienne des conduites d'eau. La production mensuelle de l'usine au moment de la visite est de 625 tonnes de tuyaux par mois. Avec les nouvelles machines qui sont attendues, elle sera portée a environ 1300 tonnes par mois. La production quotidienne est de 2000 pieds de tuyaux que l'on compte porter à 2500. Pour la fabrication des tuyaux, on emploie un mélange de fonte cémentée pouvant résister à une pression de 900 a 1000 livres au pouce carre. (Intégral) "La cémentation est une opération par laquelle on transforme la fonte et le fer en acier, en l'entourant du poussier de charbon et en exposant pendant longtemps à une température très élevée. Pour rendre parfaitement malléable et soudable l'acier devenu intraitable ou aigre par un excès de carbone, il suffit de le cémenter avec de l'oxyde de fer ou de l'oxyde de manganèse." (Résumé) La Cie verse chaque semaine $600 en salaire et paie environs $2000 en comptes aux commerçants de Trois-Rivières. Référence La Paix, col. 3-4-5 (18 septembre 1890) : 2. |
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2 | No d'identification : 24038 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) La Canada Iron Co. aurait l'intention de laisser Trois-Rivières pour aller s'établir ailleurs si les offres de la ville ne sont pas assez généreuses. Au conseil on tente de faire valoir l'importance de cette manufacture. Dans trois des derniers mois, elle aurait employé de 300 a 320 hommes et verse entre $11,000 et $13,000 en salaires. Référence Le Bien Public, col. 2 (10 décembre 1909) : 6. |
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3 | No d'identification : 24042 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Pierre Robichon, "ingénieur", de Trois-Rivières, s'est engagé envers A. Larue & Co. pour une période d'un an et plus s'il le faut "pour former, conduire et compléter en sa qualité d'ingénieur" la construction des forges Radnor dont les travaux sont déjà commences. Robichon devra travailler jusqu'à ce que les travaux soient entièrement complétés et que les forges soient en bon état de fonctionnement. Il commencera à travailler le 26 septembre 1853. Robichon recevra un salaire de 250 L. par an, soit 1000$. Son salaire sera versé à tous les mois par tranche mensuelle d'un douzième de son salaire annuel. Il a droit de rendre visite à sa famille le dimanche et lorsqu'il devra se déplacer pour son travail, il pourra le faire aux frais de A. Larue et Cie qui doivent approuver ses déplacements. Référence V. Guillet, no 4647, engagement de Pierre Robicho n a Auguste Larue, 29 septembre 1853. |
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4 | No d'identification : 24062 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Aux forges du Saint-Maurice, en 1808, (citation) "The workmen are paid according to the quantity of work they perform. The forges are going night and day, and the men are relieved every six hours. But at the foundry, only the men employed in supplying the furnace work in the same manner; those who cast and finish the stoves, etc., work from sun-rise to sun-set, which is the usual time among French Canadians all the year round; a great advantage is therefore derived by carrying on any work in summer instead of winter. The workpeople are chiefly French Canadians, a few English only, being employed in making models, and as foremen or principal worken. The iron work is sent to the store at Three Rivers in batteaux, and shipped by Mr. Graves to Quebec, or Montreal, as required; or sold to the people in the neighborhood". Référence John Lambert, Travels through Canada, s.l., s.n., 1813 : 487-488. |
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5 | No d'identification : 24230 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Drummond expose différents points de vue sur la pertinence des politiques d'encouragement à la production de fer en gueuse au Canada. Un des points à considérer [...] (citation) The necessity of protecting Canadian labor against the lover range of pages paid to European workmen must be considered, and the equal necessity of protecting Canadian capital in the initial stages of the enterprise, against the developed industries of the United States and Great Britain (...) The Association is indebted to Messrs. C.A. Meissner of Londonderry, N.S., and John J.Drummond of Radnor Forges, for the following comparative figures, showing wages paid for labor in Canada as against the rates paid in European markets. Blast furnacemen Coal Mining Iron Ore Iron ore Laborers Laborers (Mining laborers) Canada 1,20$/day avg 1,60$/day avg 1,30$ Belgium 0,58$ 0,83$ - Germany 0,68$ 0,68$ 0,72$ Great-Bretain 1,06$ 1,08$ - Sweden 0,40$ 0,65$ 0,65$ Référence George E. Drummond, «Review of the Pig Iron Trade of 1896», Journal of The Federated Canadian Mining Institute (1897) : 57-58. |
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6 | No d'identification : 24237 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) À propos de la Nova Scotia Steel Co, New Glasgow et Ferrona, on retrouve des statistiques sur la production de fer, de fonte et d'acier, sur les matières premières utilisées et sur la provenance des minerais. Le nombre des travailleurs et les salaires payés sont aussi mentionnés. Référence George E. Drummond, «Review of the Pig Iron Trade of 1896», Journal of The Federated Canadian Mining Institute (1897) : 52-53. |
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7 | No d'identification : 24246 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Le texte contient des tableaux sur la production des hauts fourneaux de Radnor et de Hamilton en 1898, comprenant le nombre d'employés. On retrouve aussi des statistiques de production pour la Nova Scotia Steel Co, ainsi que sur les matieres premières utilisées. Référence George E. Drummond, «The Iron Industry in 1898», The Journal of Canadian Mining Institute (1899) : 60-61. |
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8 | No d'identification : 24495 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Déposition de Hyacinthe Grondin, témoin produit par le demandeur. (Résumé) Selon Grondin, Jean Baptiste Guenard, travailleur et actionnaire pour la Cie des mines de fer de Shawinigan avait un salaire de trois chelins et demi par jour. Référence ANQTR. no 191, Cour Supérieure, J.B. Guénard vs H. Grondin, déposition de H. Grondin, 1881. |
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9 | No d'identification : 24527 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) "L'appelant [Théodule Guimond] reclame par son action en cette cause, 412,00$ pour les gages et salaire de son fils et de lui-même, au service de l'Intime, et pour le prix d'un cheval vendu par l'Appelant à l'Intime", (p.1) (Résumé) Le travail et le prix du cheval devaient d'abord servir à payer les 3 parts que Guimond avait prises dans la Compagnie des mines de fer de Shawinigan, et s'il y avait un excédent la compagnie devait le lui payer. Référence ANQQ. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin. Factura de l'intime, 1880 : 1. |
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10 | No d'identification : 24529 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Déposition de Théodule Guimond, 55 ans, forgeron, demeurant en la paroisse de Shawenegan. Témoin produit par le défendeur. (Résumé) Guimond a été engagé comme forgeron au salaire d'une piastre par jour. Il a aussi fait engager son fils et un cheval pour une piastre par jour. Ils avaient de besoin d'un forgeron pour: (Intégral) "arranger les barres à mines pour lever de la pierre pour le fourneau qu'ils étaient à construire". (p.1) (Résume) II a commence à travailler aux Forges en septembre 1877. (p.1) Référence ANQQ. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin. Appendice, 1880. |
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11 | No d'identification : 24530 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Déposition de Louis Lemai, 28 ans, demeurant en la paroisse de Shawenegan. Témoin produit par le défendeur. (Intégral) "J'ai commencé à travailler à l'établissement des forges de Shavenegan dans le mois de juin de l'année dernière [1878] et j'ai travaillé jusqu'à ce que les travaux aient été suspendus l'année dernière. C'est mon père Louis Lemay qui m'a engagé ainsi qu'un autre de mes frères a raison de trois chelins et demi pour moi et un autre de mes frères et l'autre n'avait que quarante sous par jour. Une des conditions de mon engagement était que je devais prendre une part dans la compagnie des Forges", (p.4) (Résumé) Louis Lemai a vendu son cheval, voiture et attelage 95 piastres pour payer sa part. 85 piastres ont été employés au paiement de sa part et il lui est revenu 10 piastres. Référence ANQQ. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin. Appendice, 1880. |
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12 | No d'identification : 24537 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Théophile Guimond, forgeron, et son fils mineur Hercule, ont travaillé à la construction de l'établissement de la Compagnie des mines de fer de Shawenegan du 3 septembre 1877 au 15 janvier 1879. Théophile Guimond était payé une piastre et dix centins par jour en tant que forgeron; son fils Hercule, soixante dix centins par jour comme journalier. Théo. Guimond a vendu un cheval au défendeur quatre-vingt-quinze piastres. Le tout devait servir à n payer des actions prises dans la compagnie. Référence ANQQ. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin. Factum de l'appelant, jugement de la cour sup., 1880 : 1. |
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13 | No d'identification : 24701 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résume) Napoléon Dagneault, commis marchand de Trois-Rivières réclame la balance de son salaire pour un an chez A. Larue & Co, soit 88,00. Il déclare avoir été embauche par A, Larue le 27-07-1865 pour une année, à raison de $500.00 pour l'année. Référence ANQTR. 126. no 171, Cour Supérieure, C.B. Genest vs A. Larue et al., 8 novembre 1866. |
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14 | No d'identification : 24724 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Pierre Noël Robichon a été à l'emploi d'A. Larue & Cie comme ingénieur du 07-08-1854 au 17-12-1855. Il déclare que le montant qu'il réclame constitue la balance de ses gages et salaires due par A. Larue & Cie. Référence ANQTR. 133, no 121, Cour Supérieure, P.N. Robichon vs G.B. Hall., 10 juin 1870. |
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15 | No d'identification : 24877 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Règlements de la compagnie des mines de fer dans la paroisse de Shawenegan, (Intégral) " Et qu'il soit bien entendu que le sieur H. Grondin soit Gérant et Trésorier de la dite Compagnie comme propriétaire et comme étant le plus intéressé à l'avancement de la dite compagnie et aux prix de cinquante piastres (50,00) par mois. Et qu'il soit entendu que le sieur H. Grondin devra envoyer des cartes de son non d'adresse à tous les actionnaires de la dite Compagnie. Référence ANQ-Q. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin, Factum de l'appelant. app. A., 1880 : 11. |
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16 | No d'identification : 24883 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Déposition de Joseph Carie, commis des forges (22 ans) (Intégrale) "Le demandeur avait une piastre et dix centins par jour, et son fils soixante dix centins par jour, excepté pendant quelque temps ou il a travaillé avec son cheval, ce qui lui donnait droit à une piastre par jour." Référence ANQ-Q. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin. Factum de l'appelant, App. 1, 1880 : 19. |
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17 | No d'identification : 24889 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Déposition de Théophile Biron père, 49 ans, cultivateur, demeurant en la paroisse de Shawenegan, beau-frère du défendeur, témoin produit par le défendeur. (Résumé) Biron a travaillé comme "foreman" pour la construction du fourneau et autres dépendances de la Compagnie des mines de fer de Shawimgan. Il a travaillé de la fin du mois de mai 1877 jusqu'à ce que les travaux soient interrompus en janvier 1879. [6] Tous ceux qui travaillaient à la construction de l'établissement étaient actionnaires de la compagnie. [6] Biron demeure sur le site des forges depuis 3 ans. [9] (Intégrale) "J'avais une piastre et trente sous par jour payable en part. Je n'ai pas retiré un sou en argent pour mon salaire. À part de six mois que j'ai été en pension j'ai vécu avec ma famille sur les marchandises et effets que je prenais au magasin pour la subsistance nécessaire de la famille, et ces effets étaient payés par mon salaire. Nous n'en avons pas eu beaucoup parce que nous avions notre butin. À part de mes trois parts et de mes quarante piastres qui me sont encore dues, le reste je l'ai retiré en effets." Référence ANQTR. no 37, Cour du Banc du Roi, Théo. Guimond vs H. Grondin. App. p. 6 et 7, 1880. |
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18 | No d'identification : 24895 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Deux annexes étaient fusionnées au fourneau. S'étendant sur une longueur de 70 pieds dans la direction nord, il y avait d'abord la "halle des chargeurs" dans laquelle on retrouvait des charretiers qui transportaient le charbon et la pierre cassée, le “casseux de castille" qui finissait de broyer la pierre à chaux qu'on mêlait au minerai de même que les chargeurs qui demeuraient pour et nuit au poste. À l'époque de McDougall, les hommes qui levaient la pierre à chaux recevaient 28 sous du 1000 livres et les charretiers, dix sous pour le transport. De moindre dimension (35 pieds), la seconde annexe appelée "halle des gardes" se prolongeait vers l'ouest. C'est là que s'effectuait la coulée. Les ouvriers qui y oeuvraient, occupaient une position enviable. Il y avait également des mouleurs et des "faiseux de bed" dont la tâche consistait à préparer le lit de sable des moules. Référence Do1lard Dubé, Les Vieilles Forges il y a 60 ans, (Coll. Pages trifluviennes); Série A, Trois-Rivières, Ed. du Bien Public, 1933 : 39. |
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19 | No d'identification : 24899 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Aux Forges vers 1870, il n'y avait qu'un seul magasin et c'était celui des McDougall. C'était là que les travailleurs, payés non pas en argent mais en bons appelés "billets", s'approvisionnaient en marchandise. Les McDougall permettaient le crédit si un employé n'avait pas suffisamment de "billets". C'est à Trois-Rivières aux magasins de John McDougall et chez Carignan, Shortis, ou Brunelle que les McDougall se procuraient leur marchandise en gros. Référence Do1lard Dubé, Les Vieilles Forges il y a 60 ans, (Coll. Pages trifluviennes); Série A, Trois-Rivières, Ed. du Bien Public, 1933 : 47. |
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20 | No d'identification : 24902 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral - extraits) "Whithin 10 years the community was totally reshaped. The beat phase of the St-Maurice industrial community history witnessed the de-skilling of its skilled labour force and ultimately, the dispersion of its old members followed by he arrival of new unskilled vorkers. In the 1860's the company stopped its traditional production of cast iron mouldings and [7] wrought iron forgings and turned to the production of cast-iron "pigs" to feed the large railway car-wheels foundries. Their skill no longer being needed, moulders, founders, finers and hammermen accepted deskilling and presumably, lower wages, or, had to quit. Most of them did so, and in the 1860's the old familles which had provided the industry with its skilled labour force for over a century were gone. They were replaced by unskilled workers recruited from the neighbouring rural communities". Référence André Bérubé, The St. Maurice Industrial Community: some Preliminary Thoughts, communication présentée dans le cadre de la rencontre Industrial Héritage, Boston, s.n., 1984, juin : 7-8. |
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21 | No d'identification : 24938 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral - partiel) "Un village complet s'élevait sur les bords du ruisseau qui formait un étang d'environ vingt pieds de profondeur. [...] Une trentaine de maisons à deux logements furent bâties pour loger les employés des forges Radnor et autant dans le rang Sainte-Marguerite, chaque coté du village de "Radnor". [...] Les fondeurs recevaient un dollar trente-cinq pour douze heures de travail, les manoeuvres touchaient quatre-ving-dix cents pour dix heures. Les apprentis se contentaient de quatre cents l'heure" [6] "Le cadastre officiel de cet ancien village de Fermont, tel que dresse par l'arpenteur G.-A. Bourgeois, le 8 mars 1877, montre que le village comprenait environ soixante-dix terrains ou emplacements. [...] Le village de Fermont fut aboli le 30 mars 1939, et ses terrains retournèrent à la paroisse Saint-Maurice". [8] Référence Anonyme, Radnor. 60 ans de propres 1894-1954, 1954 : 6-8. |
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22 | No d'identification : 25099 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Tableau 6 - Établissements industriels Forges St-Joseph, Manufacture de fonte, Auguste Larue Capital fixe, en piastres: 30 000 Capital flottant, en piastres: 3 000 Nombre de mois de travail dans l'année: 12 Moyenne du nombre de personnes employées: au-dessus de 16 ans: hommes: 150 au-dessous de 16 ans: filles: 1 Montant collectif de gages durant l'année, en piastres: 18 000 Force motrice: nature: eau Force motrice: force nominale: Matières brutes: Espèce minerai de fer (tonneaux) Quantités: 1 050 Montant de la valeur, en piastres: 2 625 Produits : Espèces: Fonte (tonneaux ) Quantités: 350 Montant de la valeur, en piastres: 27 300 Référence C 10079, Tableau 4, 75-13, Recensement du Canada, Saint-Tite, 1871. |
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23 | No d'identification : 25102 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges Saint-Joseph à Saint-Tite. Ce rapport fournit des renseignements sur la technologie, la production, l'emploi, les salaires, la clientèle, la destination des produits, les investissements, etc. Ce rapport porte sur la production aux forges Saint-Tite en 1870 et au début de 1871. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, ANC, Return for Mineral Statistics, 1871. |
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24 | No d'identification : 25103 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges de Saint-Pie. Ce rapport fournit des renseignements sur la technologie, la production, l'emploi, les salaires, les investissements. Ce rapport concerne la production aux forges Saint-Pie en 1869. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, ANC, Return for Mineral Statistics, 1871. |
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25 | No d'identification : 23970 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Annonce de l'incendie qui a détruit la fonderie Rémillard, sur la rue Saint-Georges à Trois-Rivières. Certains croient qu'il s'agit d'un incendie criminel alors que d'autres pensent que le feu a été propagé par des étincelles échappées de la forge. L'établissement était construit tout en bois et les pompiers ont eu de la peine à empêcher le feu de se communiquer aux bâtiments adjacents, la maison et les écuries de Rémillard. Les dommages sont considérables, d'autant que l'établissement n'était pas assuré. Les pompiers ont toutefois protégé les machines les plus dispendieuses. Les modèles ont tous été détruits. De plus, la quinzaine d'employés de la fonderie se retrouve sans travail. M. Rémillard projette cependant de rebâtir. Référence Le Trifluvien, col. 3 (4 août 1893) : 3. |