Thème : Énergie hydraulique |
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1 | No d'identification : 23955 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) On rapporte que les forges du Saint-Maurice éprouve de la difficulté à s'approvisionner en minerai de fer, les ressources proches étant épuisées. Cependant le journaliste se dit mal renseigné sur cet établissement. À Radnor, les conditions sont des plus idéales. Le minerai, proche, est très abondant. C'est aussi le cas pour le bois de construction et de carbonisation, pour la pierre calcaire qui sert de fondant, pour la terre glaise, pour la terre noire entrant dans la pâte de modèle. Enfin tous ces éléments sont regroupés autour d'une source d'énergie hydraulique capable d'actionner tous les mécanismes de l'établissement. Le minerai, aux dires des praticiens et des spécialistes est de qualité supérieure et donne un fer dont la renommée va grandissante. D'ailleurs le Grand Tronc a retenu l'établissement de Radnor pour la confection de l'un de ses modèles de roues de train. Référence L’Ère Nouvelle, col. 4-5 (5 novembre 1855) : 1. |
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2 | No d'identification : 24034 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Le village des forges Radnor contient soixante familles. La rivière au Lard actionne le haut fourneau, un moulin à farine et un moulin a carder. Le minerai de fer est extrait à proximité du haut fourneau. On y produit plus particulièrement des poêles et des roues de wagons. Référence Le Canadien (03 septembre 1856) : 2. |
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3 | No d'identification : 24067 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Au début du 18e siècle, la Saint-Maurice Iron Works innove en utilisant un nouveau procèdé...(citation) "the operation of this simple furnace was made independent of the wind by using bellows. At first. they were manually operated, but were later fowered by waterwheels. The result was the same: sponge iron to shaped by hammering. This primitive process was used on several occasions in Canada, the first being in the early eighteenth century at the St Maurice Iron Works, where, in addition to the blast-furnace that produced molten iron for casting, a small furnace was operated to smelt ore directly into sponge iron. Because of its toughness, the iron so obtained was particularly suitable for axe heads. At one tinte, the St Maurice smiths turned out 120 of them each day". Référence Eric Arthur et Thomas Ritchie, Iron: Cast and Wrought Iron in Canada from the Seventeenth Century to the Présent, Toronto, Buffalo, London, University of Toronto Press, 1982 : 2. |
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4 | No d'identification : 24085 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Dans un rapport sur les minerais de fer du Canada pour l'année 1873-74, le haut fourneau des Forges du Saint-Maurice est décrit de la façon suivante: (Citation) "Hauteur: 30 pieds, diamètre du foyer: 2 1/2 pieds, diamètre de l'étalage: 7 pieds, diamètre du gueulard: 3 1/2 pieds. II est muni de deux tuyères et le courant d'air, produit par une chute d'eau, est froid et exerce une pression d'une livre au pouce carre. La charge ordinaire était: limonite: 600 Ibs, calcaire: 45 Ibs, charbon de bois: 16 boisseaux français. Référence R.W. Ells, Rapport sur les richesses minérales de la Province de Québec, s.l., s.n., 1890 : 24. |
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5 | No d'identification : 24090 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Citation) "Les usines de Drummondville ont été érigées en 1880-81, par M. M. John McDougali et Cie" (...) "elles consistent en deux hauts fourneaux, de 34 pieds de hauteur chacun et d'un diamètre respectif de 8 et 10 pieds à l'étalage. On y emploie l'air chaud et l'air froid, le courant étant produit dans les cuyeres par la force motrice empruntée à la rivière St-Francois. Le combustible est le charbon de bois, et le minerai traité provient, partie des dépôts de limonite du voisinage et partie de Vaudreuil [...]" Référence R.W. Ells, Rapport sur les richesses minérales de la Province de Québec, s.l., s.n., 1890 : 25-26. |
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6 | No d'identification : 24108 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Aux Forges de Radnor vers 1065, (citation) "la réduction du minerai se faisait à l'aide de charbon de bois d'érable embrasé par un soufflet qu'activait une roue à eau", Référence Jacques BELAND, Région de Shawinigan. Comtes de Saint-Maurice, Champlain et Laviolette, Québec, Ministère des richesses naturelles, 1961 : 45. |
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7 | No d'identification : 24210 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Suite à une visite effectuée à Marche-sur-Meuse près de Namur, Baillet décrit les soufflets cylindriques en fonte qu'il y a vus. (Citation) "La construction de ces soufflets est simple et peu dispendieuse; leur entretien est facile et sujet à peu de réparations. Ils peuvent servir à alimenter à la fois plusieurs feux; ils n'exigent pas une grande force motrice et consomment beaucoup moins d'eau que les soufflets de cuir ou de bois". (Résumé) Contrairement aux soufflets ordinaires, les soufflets cylindriques peuvent être mus immédiatement par la pression seule d'une colonne d'eau. (Citation) "Les cylindres n'ont plus besoin d'être tournés et alises dans leur intérieur avec une grande précision; il suffit de les mouler avec soin et de polir avec un morceau de grès leur surface concave". Référence Clare H. Pentland, Labour and Capital in Canada, 1650-1860, Toronto, James Lorimer and co, 1981 : 9-10-12. |
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8 | No d'identification : 24211 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Citation) "Les soufflets de Marche-sur-Meuse, imagines et construits par le citoyen Janniens, propriétaire de ces forges, consistent en deux cylindres de 1,19 mètre de diamètre, et de 0,81 mètre de hauteur, places verticalement à côté l'un de l’autre". [...] (citation) "Le moteur est une roue hydraulique montée sur l'arbre horizontal [...]". Référence Citoyen Baillet, «Description Des Soufflets cylindriques en fonte, du pays de Namur, et d'un moyen nouveau de les faire mouvoir par la pression d'une colonne d'eau», Journal des mines (1796) : 10-11. |
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9 | No d'identification : 24751 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Aux Forges de Saint-Tite, (citation) "la rivière fournissait, grâce au barrage de la "Chute-à-Karie", la force motrice suffisante pour activer la soufflerie des forges" (p. 189) Résumé: Sous l'exploitation de Larue, un petit village pour les employés et leur famille s'organise. (Citation) "Ces employés étaient occupés à l'extraction, au lavage et au transport du minerai; d'autres employés s'affairaient à la fonte du minerai, au coulage du fer en gueuse et à la fabrication de charbon de bois [...]". (Résumé) Pendant l'hiver, lorsque le haut fourneau cesse de produire, les employés faisaient soit la coupe des bois de carbonisation, soit le transport de fer. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969 : 189. |
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10 | No d'identification : 24772 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Installations aux Forges Hadnor (Intégral) "Water Power - This consists of a head of 24 feet. with a "New America" wheel 35 inches in diameter, capable of delivering 65 horse-Dower." Référence The Canadian Mining Manual and Companies Directory (1894) : 351. |
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11 | No d'identification : 24791 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Installations aux Forges Radnor (Intégral) "Auxilliary Blowing Engines - These are of the horizontal type, with two cylinders, each 40-inch diameter by 46-inch stroke, and are geared to be driven either by a horizontal steam engine of 14 x 20-mch cylinder or by water power. These engines are complete with their own wind receiver and pipes, and are so arranged that they can be used in case of an accident to or a shut down of the Weimer engine. They deliver about 2,100 cubic feet of air per minute, with a pressure of 4 1/2 pounds. The whole is set up in an engine house entirely separate from the Weimer, and is isolated from the latter and the boiler house." Référence The Canadian Mining Manual and Companies Directory (1894) : 351. |
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12 | No d'identification : 24793 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral) "In 1880 and 1881 Messrs John MacDougall and Co., of Montreal, built two charcoal furnaces at Drummondville, on the river St-Francis, in the tovnship of Grantham, Drummond county, Que. These are still in operation. The furnaces are each 34 ft. high, with boshes of 8 and 10 ft. respectively, worked with hot and cold blast, and the air pumps are driven with water power from the river St-Francis. The fuel used is charcoal and the bog ore which contains about 40 to 45 per cent, of iron is obtained in the vicinity of the works. The annual capacity is 4,000 tons, and the product charcoal pig iron for car wheel purposes." Référence The Canadian Mining Iron and Steel Manual (1896) : 300-301. |
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13 | No d'identification : 24246 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Le texte contient des tableaux sur la production des hauts fourneaux de Radnor et de Hamilton en 1898, comprenant le nombre d'employés. On retrouve aussi des statistiques de production pour la Nova Scotia Steel Co, ainsi que sur les matieres premières utilisées. Référence George E. Drummond, «The Iron Industry in 1898», The Journal of Canadian Mining Institute (1899) : 60-61. |
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14 | No d'identification : 24865 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral, partiel) "Ces forges qui étaient connues sous le nom de Saint-Tite Iron Works se trouvaient situées sur le territoire de la paroisse de Saint-Tite sur les bords de la petite rivière Mekinac. Cette rivière fournissait la force motrice nécessaire pour activer la soufflerie des forges. On profita de la déclivité de cette rivière pour construire les hauts-fourneaux." [218] "Ces forges furent établies par Edouard-Auguste Larue des Trois-Rivières, ancien associé des Forges Radnor. Elles commencèrent à fonctionner en 1865. Cet endroit devint un centre d'activité. Il s'y forma un village. M. Larue employait beaucoup d'hommes, tant dans les opérations de la fonte que dans la confection du charbon de bois pour alimenter les hauts-fourneaux. On y coulait le fer en gueuse. Ces forges se trouvaient à 15 milles de Saint-Stanislas et à 33 milles des Trois-Rivières. Elles fonctionnèrent jusqu'en 1888 ou tout travail cessa. Il ne reste plus que des ruines des hauts-fourneaux. Aujourd'hui cet endroit se trouve sur le territoire de Saint-Timothée. On le désigne sous le nom des "petites forges". Toutes les maisons des employés ont été transportées au village actuel de Saint-Timothée." Référence Comité historique, Histoire de Saint-Tite 1833-1984, s.l., Editions souvenance inc , 1984 : 218-219. |
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15 | No d'identification : 24871 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Le principal promoteur de la mine M. Grondin, ancien ouvrier aux Vieilles Forges s'associe à M. Biron pour l'exploitation du minerai. Afin d'amasser le capital nécessaire, ils demandent à Adolphe Lessard, forgeron, de fabriquer de menus objets avec le fer de la mine que l'on exhiba dans la région, à Trois-Rivières et à Montréal. Plusieurs cultivateurs intéressés vendent leurs terres pour en placer le produit dans les forges alors que d'autres vont s'installer à proximité de la mine sans se départir de leur terre. Les travaux d'installation prennent presque deux ans. La pierre réfractaire utilisée pour le fourneau provient des Grès. Le calcaire employé comme fondant vient des Dalles. La soufflerie est mise en mouvement par une branche de la rivière Yamachiche. Référence Thomas Boucher, Mauricie d'autrefois, Trois-Rivières, Bien Public; (Coll. L'histoire régionale. 11) , 1952 : 48-49. |
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16 | No d'identification : 24943 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Intégral - Extraits) "Des les débuts, les bases de l'industrie, son fonctionnement, ses usages furent solidement établis. Ils étaient restés à peu près les mêmes lorsque les Forges cessèrent de produire, en 1883. L'installation technique consistait en un bief, sorte de canal dont l'eau fournissait la force motrice de l’usine. Celle-ci se composait d'un haut fourneau formé d'une base en pierre de 28 pieds de coté par sept pieds de hauteur, sur laquelle reposait une cheminée de 25 pieds sur chaque face par 15 pieds de hauteur, terminée par une tête de fourneau de 9 pieds et demi de hauteur. Donc, pour l'ensemble, 31 pieds de hauteur. À la base du haut fourneau se trouvaient d'énormes soufflets qu'actionnait une roue à aubes de trente pieds et demi de diamètre. [...] Venait ensuite la forge haute [...]: 70 pieds de long par 30 de large et 40 de hauteur, avec deux cheminées. C'est là que se trouvait le gros marteau [...]. Enfin, une forge basse avait été aménagée dans une déclivité du sol pour remplacer la forge haute lorsque l'eau n'avait pas assez de force pour faire tourner la première roue à aubes." [12] Référence Hervé Biron, «Les forges Saint-Maurice. Une antique cheminée rappelle que Trois-Ri vieres vit naître notre première industrie lourde en 1738», Le Nouvelliste, vol. 4, no. 13 (31 mars 1962) : 12. |
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17 | No d'identification : 25099 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire Tableau 6 - Établissements industriels Forges St-Joseph, Manufacture de fonte, Auguste Larue Capital fixe, en piastres: 30 000 Capital flottant, en piastres: 3 000 Nombre de mois de travail dans l'année: 12 Moyenne du nombre de personnes employées: au-dessus de 16 ans: hommes: 150 au-dessous de 16 ans: filles: 1 Montant collectif de gages durant l'année, en piastres: 18 000 Force motrice: nature: eau Force motrice: force nominale: Matières brutes: Espèce minerai de fer (tonneaux) Quantités: 1 050 Montant de la valeur, en piastres: 2 625 Produits : Espèces: Fonte (tonneaux ) Quantités: 350 Montant de la valeur, en piastres: 27 300 Référence C 10079, Tableau 4, 75-13, Recensement du Canada, Saint-Tite, 1871. |
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18 | No d'identification : 25102 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges Saint-Joseph à Saint-Tite. Ce rapport fournit des renseignements sur la technologie, la production, l'emploi, les salaires, la clientèle, la destination des produits, les investissements, etc. Ce rapport porte sur la production aux forges Saint-Tite en 1870 et au début de 1871. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, ANC, Return for Mineral Statistics, 1871. |
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19 | No d'identification : 25103 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges de Saint-Pie. Ce rapport fournit des renseignements sur la technologie, la production, l'emploi, les salaires, les investissements. Ce rapport concerne la production aux forges Saint-Pie en 1869. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, ANC, Return for Mineral Statistics, 1871. |
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20 | No d'identification : 25106 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Rapport sur les forges de Saint-Pie. Ce rapport apporte seulement deux modifications au rapport transmis en 1870. Les deux modifications sont les suivantes: les mécanismes sont mus soit par la vapeur ou par eau et le prix de vente de la fonte (une fois livrée) est de $50.00 la tonne. Référence ANC. MG 29, B 15, vol 43, Return for Mineral Statistics, 1873. |