Thème : Relations entreprises-État |
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1 | No d'identification : 24232 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Drummond fait un réquisitoire en faveur de l'industrie sidérurgique canadienne, faisant référence à une révision éventuelle des tarifs protecteurs. Il est question de la qualité des produits canadiens en comparaison avec les produits Américains, etc. Référence George E. Drummond, «Review of the Pig Iron Trade of 1896», Journal of The Federated Canadian Mining Institute (1897) : 62-63. |
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2 | No d'identification : 24259 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Au cours des dernières années, le Canadian Mining Institute (Citation) "bas been devoting considerable attention to the task of educating the Canadian public upon this important question of iron production. At least these efforts are being rewarded. Legislators and capitalists alike are evidencing an interest in the industry that they have never shown in the past, and we believe that the expérience of the next few years will serve to strenghten the faith of the Canadian people in their own country with regard to its possibilities as an iron producing centre". Référence George E. Drummond, «The Iron Industry in 1899», The Journal of Canadian Minxng Instltute (1900) : 121. |
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3 | No d'identification : 24293 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Au cours de l'hiver 1905-1906, le gouvernement ontarien a mis sur pied une centrale expérimentale pour approvisionner en énergie électrique les hauts fourneaux. Plus tard, la Lake Superior Corporation va acheter le "plant" en question. Référence Jas. Grannis Parmelee, «The Iron and Steel Industry of the Province of Ontario, Canada», The Journal of The Canadian Mining Institute (1908) : 136-139. |
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4 | No d'identification : 24402 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) Lors de l'ouverture officielle du site de Midland, on retrouve parmi les invités [...] G.W. Ross, premier ministre de l'Ontario, J. Davis, commissaire des terres de la couronne, M.S.A. Milligan, maire de Midland. Midland, (citation) "One of our own directors, Mr. Francis Hector Clergue, who is now in England, has discovered, within the past year, mines abundantly rich in iron that are supplying us today at Midland with Canadian ore". (p.273) Référence Canadian Mining Review, «Midland No 1. Canada Iron Furnace Co's New Furnace at Midland in with Befitting Ceremony», CMR, vol. 19 (1900) : 273. |
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5 | No d'identification : 24447 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé) L'auteur présente les différents points de vue apportés à une session de la Tariff Commission tenue en janvier 1906 en N.E, La question centrale est la suivante: "related to the continuance of the present duties on coal and iron, a majority of the producers are asking that the duty (or its equivalent the bounty) on iron, both in the metallic state and in ores, should be increased". (p.44) Les points de vue mentionnes sont ceux du professeur J.E. Woodman, Dalhousie Collège de Nouvelle-Ecosse, qui se fait le porte parole d'un comité spécial de la Mining Society de Nouvelle-Ecosse. Le plaidoyer porte sur le fait que l'aide aux producteurs de minerai devrait être traitée distinctement de celle apportée aux producteurs de fonte et fer. En Nouvelle-écosse ces derniers n'utilisent que des minerais importés, sauf la Londonderry Iron and Mining. La production de minerai local est en danger d'extinction. Les solutions proposées sont:ne pas imposer de tarifs a l'importation de minerai étranger mai plutôt, prélever une taxe servant au versement d'une prime aux p producteurs locaux de minerai. - Payer cette prime directement aux producteurs. La prime devrait être de 50 cents la tonne de minerai de 50% de métal. - Le point de vue de J. Drummond, président de la Londonderry Iron & Mining Co. est signalé. Celui-ci favorise une [certains mots illisibles] producteurs locaux de minerai. - Payer cette prime directement aux producteurs. La prime devrait être de 50 cents la tonne de minerai de 50% de métal. - Le point de vue de J. Drummond, président de la Londonberry Iron & Mining Co. est signalé. Celui-ci favorise une augmentation des octrois sur la production de fonte, à partir de minerai canadien. - Certains intervenants suggèrent même que le gouvernement provincial puisse intervenir en offrant des octrois, évoquant alors le cas ontarien. Référence The Canadian Mining Review, vol. 26 (1906) : 44-45. |
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6 | No d'identification : 24940 | Fonds : Sidérurgie |
Information documentaire (Résumé et Extraits, intégral) En 1889, les forges Radnor sont achetées par des financiers de Montréal. Parmi les actionnaires, on retrouve un dénomme Strott, deux messieurs Drummond et un H. McCan. Un haut fourneau de 25 tonnes est construit. Le minerai est dorénavant acheminé de Joliette, Saint-Lazare de Vaudreuil, de Gentilly. En utilisant un fourneau de charbon de bois par jour, la compagnie n'a d'autres choix que de construire de nouveaux fourneaux: 13 à Radnor, 14 aux Piles, 6 à Sainte-Thècle, 6 au Lac-aux-Sables. "La compagnie [...] recevait du gouvernement de Sir Charles Tupper un subside d'environ quatre dollars pour chaque tonne de 1 produit mis sur le marché. Cet octroi était suffisant pour payer une partie du salaire des employés. La vente du fer était presqu'un profit net pour la compagnie qui avait le monopole du fer au Canada. Lorsque Sir Wilfrid Laurier prit le pouvoir, il enleva les subsides sur le fer et les barrières tarifaires qui existaient pour la France et la Belgique dans leurs expéditions de fer au Canada. [...] Peu de temps après les affaires de la compagnie périclitaient, et les forges furent abandonnées peu à peu jusqu'à leur fermeture complète." Référence Anonyme, Radnor. 60 ans de propres 1894-1954, 1954 : 6-11. |