Acteur (nom propre) : DUPUIS, Louis |
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1 | No d'identification : 23961 | Fonds : Sidérurgie | |||||||||||||||||||||
Information documentaire (Résumé) Article sur la fonderie de Louis Dupuis de Trois-Rivières, établie vers 1843. Dupuis a appris son métier aux forges de Saint-Maurice. Son établissement se spécialise dans la fabrication de cloches, de roues de moulin et de poêles. Ses poêles, dit-on, sont excellents et meilleur marché que ceux des forges du Saint-Maurice. Depuis ses débuts, Dupuis a fondu pas moins de dix cloches, dont une pour l'Hôpital Général de Québec, une pour les Ursulines de Trois-Rivières et une pour la paroisse de Saint-Maurice. Les fourneaux de Dupuis peuvent porter 1500 livres et pourraient fondre des cloches de 1300 a 1400 livres. Il est aussi le seul au pays à fondre des roues de moulin appelées "Patentes". Ces roues seraient faites de telle manière que la crue des eaux, même en inondant le moulin, en empêche pas le fonctionnement. Il fait de 42 pouces, de 4 pieds, de 4 1/2 pieds et de 5 pieds 9 pouces de diamètre. Les moules de cloches dont se sert Dupuis sont exécutés par un ouvrier nomme Raymond, dont on dit qu'il a aucune expérience dans le domaine. Référence Gazette des Trois-Rivières, col. 1 (1 octobre 1846) : 3. |
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2 | No d'identification : 24006 | Fonds : Sidérurgie | |||||||||||||||||||||
Information documentaire (Intégral) "Vente. La fonderie si bien connue et encouragée appartenant ci-devant à feu Louis Dupuis, dans la cité des Trois-Rivières. L'acquéreur pourra garder entre ses mains, s'il le désire, une partie du prix d'achat, en payant 8% d'intérêt. Pour plus amples informations, s'adresser aux Trois-Rivières a L. U. A. Genest." Référence Le Journal des Trois-Rivières, col. 2 (28 mars 1870) : 3. |
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3 | No d'identification : 24043 | Fonds : Sidérurgie | |||||||||||||||||||||
Information documentaire (Résumé) Eugène Dupuis, André et Pierre Robichon et A. L. Desaulniers cèdent leurs parts dans les Forges L'Islet à Louis Dupuis. Ils invoquent le fait que l'entreprise est trop endettée et qu'ils sont incapables de rencontrer leurs dettes sans liquider les biens de l'entreprise. Déjà, Joseph-Napoléon Bureau a obtenu un jugement contre l'entreprise. Au moment de la passation de l'acte, les dettes s'élèvent à 2,024L 16-5 1/2, soit 8100 $. La vente est faite pour le montant des dettes accumulées. La vente comprend les 12/16 des lots 67 S.E. ST. Flavier, 20 et 21 S.E. St-Félix et 20-21 et 22 N.O. St-Félix, avec les forges, plusieurs maisons et autres bâtisses, les chevaux, meubles de ménage, outils de forges de toutes descriptions, les modèles, le minerai se trouvant à l'établissement et sur les terres situées dans Mont-Carmel, le charbon et le bois bûche appartenant à l'entreprise. Un relevé des dettes de la compagnie doit accompagner l'acte. Référence V. Guilet, no 6901, 15 mars 1862, vente par E. Dupuis et al. a Louis Dupuis, 15 mars 1862. |
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4 | No d'identification : 24044 | Fonds : Sidérurgie | |||||||||||||||||||||
Information documentaire (Résumé) Acte de société entre Louis Dupuis, Eugène Dupuis, Pierre Robichon et André Robichon, tous mécaniciens et ouvriers de Trois-Rivières pour l'établissement et l'exploitation des forges l'Islet. 1- Les forges seront établies sur une terre appartenant a Louis Dupuis et achetée à Luc Precourt (V. Guillet, 13 août 1856) 22 N.O. St-Félix et payée 40 L.; 2- La société durera dix ans à partir du 8-9-1856; 3- Les associés fournissent chacun un quart des fonds, assumeront chacun le quart des pertes et encaisseront le quart des profits; 4- Les ventes et achats seront faites de la manière qu'ils conviendront entre eux de temps à autre; 5- En cas de décès d'un des membres, la veuve et les héritiers pourront lui succéder, mais sans y être contraints; 6- La société portera le nom de "Louis Dupuis, Pierre Robichon & Co." et les forges celui de "Forges de L'Islet, Rivière St-Maurice". Référence V.Guillet, no.5486, 8 septembre 1856, société entre Louis Dupuis et al., 8 septembre 1856. |
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5 | No d'identification : 24900 | Fonds : Sidérurgie | |||||||||||||||||||||
Information documentaire (Intégral - extraits) "Les Forges L'Islet avaient été établies par un Monsieur Dupuis, après l'exploitation des Forges St-Maurice par Monsieur Bell. Elles n'avaient pas fonctionné bien longtemps sous ce régime. Les Messieurs McDougall les avaient achetées la même année que les Forges St-Maurice (1863) et les exploitaient en même temps que ces dernières. Le gérant était Monsieur Alex. McDougall, fils du "père John". On prenait le minerai dans les paroisses environnantes, St-Maurice. St-Louis-de-France, Mont-Carmel. etc. Les Messieurs McDougall en arrêtèrent l'exploitation en 1878". Référence Do1lard Dubé, Les Vieilles Forges il y a 60 ans, (Coll. Pages trifluviennes); Série A, Trois-Rivières, Ed. du Bien Public, 1933 : 50. |