Acteur (nom propre) : Dawson, S. J.
1 No d'identification : 13341 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
« Environ 50 hommes ont quitté Trois-Rivières aujourd’hui par le bateau de la compagnie du Richelieu, en route pour le fort Williams, sous la direction de Monsieur James Reynar et de Monsieur Aumond, paie-maître des voyageurs. Les voyageurs vont se trouver au nombre d’à peu près 400, à la tête du Lac Supérieur. Aux termes de leur engagement, ils sont obligés de travailler sur les chemins et d’aider généralement au corps expéditionnaire, selon les ordres de Monsieur S.J. Dawson. »

Référence
Le Constitutionnel, 4 (8 juin 1870): 2, col. 6.
2 No d'identification : 13766 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
« Tuesday last, being the anniversary of St-Andrew, the members of that society met at Mr McPherson’s City Hotel to celebrate the day. Above forty gentlemen sat down to a splendid dinner, that might satisfy the taste of the most fastidious gourmand. The chair was taken at seven o’clock by George Baptist, Esq., President; S.J. Dawson, Esq., and James Deroon, Esq., Vice-presidents. The usual toast were drunk, and the evening enlivened by some excellent songs by G.B. Houlinston, Esq., Charles Hughes, Esq., and many others. The only drawback to the comfort of the evening was the coldness of the room, one of the largest in the City, not being sufficiently heated. This defect Mr McPherson no doubt will remedy for the future. No amount of the creature comforts were sufficient to produce that genial warmth which is necessary, at all times, to promote “the feast of reason and the flow of soul”. »

Référence
L’écho du St-Maurice (3 décembre 1858): 3, col. 1.
3 No d'identification : 20887 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
En premier lieu, afin qu’on puisse former une juste appréciation des avantages qui résultent des dépenses qui ont été faites, sans parler du développement donné au commerce du bois, j’attirerai respectueusement votre attention sur la rapidité extraordinaire avec laquelle s’opère la colonisation dans la partie du pays la plus immédiatement en rapport avec les travaux. Depuis les établissements en arrière de Berthier, jusqu’à ceux en arrière de Ste-Anne-de-la-Pérade, il se fait un grand mouvement vers le territoire du St-Maurice. Les lots se prennent presqu’aussi vite qu’ils sont arpentés, il est consolant de voir que les colons sont généralement d’avis que plus ils pénètrent dans l’intérieur, plus ils trouvent la qualité du sol bonne. Les principaux de ces nouveaux établissements sont ceux qui s’étendent en arrière de St-Barnabé et Shawinigan, du côté ouest du St-Maurice, et du Lac Cossette, et de la rivière des Envies du côté de l’est. Ce mouvement de la part des colons est dû à la grande demande de produits agricoles à laquelle donne lieu le commerce de bois de l’intérieur, et il va sans dire que le tout est dû aux travaux qui ont ouvert la rivière St-Maurice à l’entreprise des commerçants de bois.

Référence
«Rapport de S.J. Dawson, surintendant des travaux sur le St-Maurice, pour 1856», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15, 29 (1857).
4 No d'identification : 23574 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
1854-1855.

Tout homme qui a de l’expérience dans la fabrique du bois connaît parfaitement combien il est difficile de tendre des bômes dans un courant rapide alors que ce courant charrie du bois, ainsi que le danger et les difficultés sérieuses qui accompagnent cette opération quand il s’agit de placer ces bômes à la tête d’une chute; dans ce cas l’homme qui a le malheur d’être renversé ou qui perd pied est exposé à une mort imminente. À Shawinigan, de 7 hommes qui furent renversés 2 furent entraînés par dessus la chute, et dans le même temps, plusieurs de ceux qui étaient employés à la Grand-Mère l’échappèrent belle. Malheureusement ces accidents eurent l’effet d’effrayer les hommes au point qu’il devient presqu’impossible de les engager à travailler. Les tentatives pour placer les bômes furent quand même renouvelées plusieurs fois; mais la quantité de bois qui descendaient à cette époque où les eaux s’étaient élevées à une hauteur presque sans exemple fit échouer tous les efforts.

Référence
«Rapport de S. J. Dawson», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 13 (1854).
5 No d'identification : 23577 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Travaux de la rivière St-Maurice.

Brève description des travaux décrits dans le rapport de S.J. Dawson.

Référence
«Rapport des commissaires des travaux publics pour l’année 1856», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15 (1857).
6 No d'identification : 23586 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Rapport de S.J. Dawson, surintendant des travaux sur le St-Maurice.

Améliorations des aménagements du St-Maurice, suggestions de nouveaux travaux et leurs coûts.

Référence
«Rapport des commissaires des travaux publics pour 1856», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15 (1857).
7 No d'identification : 23600 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Cet article fait état des principales conclusions du rapport général des commissaires des travaux publics pour l’année 1857.
Parle d’une glissoire à radeaux (crib slide) aux Grès dont les travaux ont été abandonnés parce que sans utilité pour les forestiers, ceci représente une perte de 3 500£. Selon le rapport, des 57 000£ dépensées dans l’aménagement du St-Maurice, 37 000£ ont été perdues dans la construction de travaux inutiles à La Tuque, Grand-Mère, Shawinigan et aux Grès.
Les commissaires admettent qu’il y a eu mauvaise administration. Le journal ajoute qu’il espère qu’on ne se laissera plus guider par un gérant ignorant et incompétent comme l’a été M. S. Dawson.

Référence
L’écho du St-Maurice (4 juin 1858): 3, col. 2-3.