Acteur (nom propre) : Désilets, Luc
1 No d'identification : 4330 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Tout le monde sait que Monsieur Gérin, qui a représenté le comté de St-Maurice pendant quelques années, a été rejeté par le comté parce que les électeurs n’en voulaient plus. Il paraît aujourd’hui que son intention est d’essayer ses chances dans le comté de Champlain, aux prochaines élections. Nous avons hâte de le voir dans la paroisse du Cap-de-la-Madeleine pour savoir s’il demandera à Monsieur le curé Désilets de laisser sa soutane au presbytère avant que de se mêler de son élection. Il faut espérer que les électeurs du comté de Champlain auront assez de coeur pour ne pas accepter ce que le comté de St-Maurice a rejeté unanimement. »

Référence
La Concorde (5 janvier 1880): 2, col. 2.
2 No d'identification : 4371 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Monsieur Luc Désilets, curé du Cap, prétend avoir une peur horrible des ports du St-Maurice, cependant lorsqu’il s’adonne à rencontrer sur ces ports des électeurs de Champlain, il peut y passer la journée à leur réciter des contes bleus contre le Dr Ross. Et l’on parle contre les cabaleurs. »

Référence
Le Constitutionnel, 5, 21 (26 juillet 1872): 2, col. 1.
3 No d'identification : 5928 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Le 15 mai, près d’un millier d’hommes appartenant à la Ligue du Sacré-Coeur, des congrégationistes [sic] et des jeunes gens de l’Association Catholique se sont rendus à pied (8 ou 9 milles de marche) en récitant le chapelet et en chantant des cantiques et des hymnes au Cap de la Madeleine.

Ils furent accueillis par Luc Désilets, V. G.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (16 mai 1887): 2, col. 2.
4 No d'identification : 6390 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Lettre contre la position de Luc Désilets concernant le chemin de fer de la Rive Nord.

Référence
Le Constitutionnel (24 avril 1872): 2, col. 1-2.
5 No d'identification : 6397 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Article du journal contre Luc Désilets.

Référence
Le Constitutionnel (6 mai 1872): 2, col. 1.
6 No d'identification : 6383 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Lettre d’un lecteur sur l’appui du curé du Cap au Dr Ross, député.

Référence
Le Constitutionnel (15 mars 1872): 2, col. 3.
7 No d'identification : 16097 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Après 1870, un mouvement industriel a commencé à poindre à l’horizon. Le Journal des Trois-Rivières du 11 novembre 1870 mentionne que “une compagnie américaine fait élever de grandes constructions en bois à la pointe du Cap-de-la-Madeleine pour y établir des machineries pour la fabrication de sceaux et autres articles en bois pour utilité domestique”. La “pointe du Cap” dont on parle est cette partie de terre au sud de la rue Notre-Dame depuis la “pointe à Beaumier” vis-à-vis la rue Rochefort, jusqu’au pont de la rivière St-Maurice. Le 15 janvier 1877, le même journal parle de manufactures en construction qui emploieront 200 personnes; et le 12 avril 1877, il ajoute que la “manufacture construite au Cap pour fabriquer nombre d’articles d’utilité agricole comme manches de faulx et balais est en pleine activité depuis la semaine dernière. On parle de la construction prochaine au même endroit d’une plus grande manufacture et d’un chantier de construction de vaisseaux”. Le chantier de construction de vaisseaux ne s’est probablement jamais matérialisé à cette époque; on sait toutefois que, vers ce temps, il y avait une manufacture d’allumettes qui employait trop d’enfants, ce dont se plaignait le curé Luc Désilets, selon une mention faite dans les archives de la paroisse Sainte-Marie-Madeleine. Les enfants préféraient travailler plutôt que d’aller à l’école. »

Référence
Maurice et J.-Édouard Biron Loranger, 125 ans de régime municipal au Cap-de-la-Madeleine, Cap-de-la-Madeleine, Société d’histoire, 1981: 19-20.