Acteur (nom propre) : Dufresne, [M.] [Dr]
1 No d'identification : 382 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
Lettre du docteur Dufresne, de Nicolet, demandant s’il serait possible qu’il obtienne la salle du marché pour une semaine, le soir. « ..., je suis le célèbre dentiste les soirées qu’on donne sont gratis ... »

Référence
Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Correspondance du secrétaire trésorier (greffier) de la ville, 1 février 1888.
2 No d'identification : 14885 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Résultat des polls.
Bureaux de l’Église de St-Stanislas No 1 No 2
Dufresne 108 124
St-Cyr 37 41
Genest 2 0
Lamothe 2 1
Brunelle 0 0


Référence
Le Journal des Trois-Rivières (15 juillet 1875): 2, col. 5.
3 No d'identification : 14886 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Messieurs Dufresne et Lamothe ont adressé la parole à Ste-Anne dimanche dernier (le 27).
Dr Dufresne de St-Stanislas.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (28 juin 1875): 2, col. 2-3.
4 No d'identification : 14887 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« [...] M. Dufresne a caché autant qu’il a été en son pouvoir les couleurs rouges de son drapeau. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (5 juillet 1875): 2, col. 2.
5 No d'identification : 14891 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Dans notre district, dans la paroisse de Champlain, on est aussi activement à l’oeuvre. Une compagnie s’est formée pour exploiter dans cette paroisse une tourbière de 2 000 arpents en superficie. Monsieur Dufresne, M.D. en est l’actif et zélé agent. On a confectionné jusqu’aujourd’hui 1 000 tonnes, et les expériences que l’on a faites sont de nature à donner le plus grand encouragement.

On a chauffé aux tanneries de M. Richardson dans la paroisse de St-Luc un engin de 40 forces pendant l’espace de six heures avec une tonne et demie. Le “Castor”, bateau de M. B. Vigneault, a fait le trajet de Champlain aux Trois-Rivières avec deux tonnes, et M. Vigneault nous a dit qu’il préférait de beaucoup ce combustible au bois. Un bâtiment chargé de 150 tonnes a dû partir ces jours derniers pour Montréal.

Les opérations de l’année prochaine seront beaucoup plus considérables. On se propose d’en confectionner 100 000 tonnes.
[...]
Les qualités supérieures de ce combustible sont maintenant constatées d’une manière indubitable même pour les usages domestiques. Il faut donc, puisque c’est là une source de grande richesse pour notre pays, seconder les efforts de ceux qui ont pris l’initiative dans cette exploitation et qui n’ont pas craint d’y risquer les premiers des capitaux considérables. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (9 juillet 1867): 2, col. 1.