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1 | No d'identification : 15631 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « [...] Notre-Dame-du-Mont-Carmel. Il règne aujourd’hui en cette paroisse une activité fébrile. On y pratique sur une très grande échelle le commerce d’écorce de pruche. Cette industrie a amené des résultats extraordinaires au point de vue pécuniaire. Chaque corde d’écorce de pruche, rendue aux tanneries Richardson, se vend 6,50$. Ces beaux établissements sont situés en la paroisse de St-Luc et font tous les ans des affaires pour un montant considérable. En été, le “Columbia” se rend tous les samedis matin à Champlain pour y prendre de grandes quantités de cuir qui est travaillé dans les tanneries de St-Luc. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (25 janvier 1867): 2, col. 3. |
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2 | No d'identification : 15700 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Prix que les tanneries Richardson de St-Luc paient pour la corde d’écorce de pruche, provenance de cette écorce, livraison du cuir fini. Voir à Bois et dérivés. Référence Le Journal des Trois-Rivières (25 janvier 1867): 2, col. 3. |
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3 | No d'identification : 15702 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Une nouvelle tannerie est sur le point d’être construite à Warwick par les Messieurs Richardson. Cet établissement sera, dit-on, considérable, la bâtisse principale devant avoir trois cents pieds de longueur. La marchands de la localité, qui sont déjà en trop grand nombre, se réjouissent à la pensée de l’augmentation de commerce qui devra résulter de ce nouvel établissement. L’énergie et l’esprit d’entreprise dont ils ont fait preuve tant de fois, nous sont un sûr garant qu’ils continueront d’aider, puis somment au développement et au progrès de notre petite, mais florissante paroisse. La grande tannerie qu’on est si fier de voir établie à Warwick était établie depuis de longues années à St-Luc, comté de Champlain. Après le vote de sa paroisse dans la question du chemin de fer du Nord, et surtout après les dernières élections municipales, Monsieur Richardson s’est aperçu qu’on voulait le persécuter dans la paroisse qu’il a comblée de bienfaits et qu’il avait dotée d’une industrie florissante. Alors il s’est décidé à employer son énergie ailleurs, a trouvé une place où son esprit d’entreprise ne lui serait point reproché comme un crime; et il a abandonné St-Luc pour Warwick. Nous regrettons infiniment le départ de Monsieur Richardson, car il prive le comté de Champlain d’un commerce dont la prospérité rejaillissait sur tout notre district. » Référence Le Constitutionnel (14 juin 1872): 2, col. 3. |
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4 | No d'identification : 15704 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Une tannerie (tannerie Richardson) lui survit jusqu’en 1875 alors qu’elle alla s’établir dans [les] Cantons de l’Est (2). » Référence André Montgrain, Monographie économique du comté de Champlain, Thèse de licence (sciences commerciales), Montréal, École des Hautes Études Commerciales, 1944: 38. |
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5 | No d'identification : 21859 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Nous avons dit l’an dernier qu’il se formait en arrière du St-Maurice une belle et grande paroisse, qui a [pour] nom Notre-Dame du Mont Carmel. Il règne aujourd’hui en cette paroisse une activité fébrile. On y pratique sur une très grande échelle le commerce d’écorce de pruche. Cette industrie a amené des résultats extraordinaires au point de vue pécuniaire. Chaque corde d’écorce de pruche, rendue aux tanneries Richardson, se vend 6,50$. Ces beaux établissements sont situés en la paroisse de St-Luc et font tous les ans des affaires pour un montant considérable. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (25 janvier 1867): 2, col. 4. |
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6 | No d'identification : 21884 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire La tannerie de Richardson à Champlain ferma environ en 1875. À la Pérade vers 1875, il y avait une fabrique d’allumettes et une fabrique de meubles qui employaient ensemble une centaine d’ouvriers. Il y eut aussi à Champlain et à Batiscan des chantiers de construction maritime. Ces industries fermèrent avec la construction des chemins de fer et des routes modernes. Mentionnons en terminant, l’existence dans chaque village d’un atelier de portes et châssis, qui pourvoit aux besoins divers de la population rurale. Référence André Montgrain, Monographie économique du comté de Champlain, Thèse de licence (sciences commerciales), Montréal, École des Hautes Études Commerciales, 1944: 38. |