Thème : Milieu physique - aspects généraux |
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1 | No d'identification : 22878 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Instructions à John Bignell, arpenteur, et son rapport sur l’exploration du St-Maurice entre Matawin et Weymontachingue et sur l’exploration des affluents du St-Maurice. Référence «Réponse à une adresse. demandant une copie du rapport. sur le relevé de la rivière St-Maurice.», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, App. W.W. (1850). |
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2 | No d'identification : 22881 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description du territoire du St-Maurice: rivières, qualités du sol, richesse forestière. Référence «Territoire du St-Maurice in Rapport du Commissaire des terres de la Couronne pour 1856», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15, 25 (1857). |
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3 | No d'identification : 22883 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description du territoire du St-Maurice: qualité du sol, rivières, forêts. Référence «Rapport d’inspection de l’agence des bois de la Couronne sur le St-Maurice, par A.J. Russel en 1859 in Rapport du comité spécial chargé de s’enquérir de la condition du commerce de bois du Canada au point de vue de la colonisation du pays et de l’action du gouvernement à cet égard.», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 21 (1863): 17. |
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4 | No d'identification : 22885 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « La montagne des Mauricie, ainsi appelée du nom des messieurs Mauricie qui demeurent dans le voisinage. C’est la montagne la plus élevée que l’on rencontre des Piles à La Tuque; elle a environ 1 000 pieds de hauteur. C’est un bon commencement pour donner une idée des territoires du St-Maurice. Cette montagne baigne ses pieds dans le fleuve, et elle est coupée presqu’à pic. Cependant, entre le lit de pierre, des arbres se sont accrochés je ne sais comment, et s’élèvent droit vers le ciel, suspendus au-dessus de l’abîme. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 13-14. |
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5 | No d'identification : 22886 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Voici cependant une merveille plus étonnante encore: c’est la montagne de l’Oiseau. On dit qu’elle est moins haute que celle des Mauricie, mais il y a certainement peu de différence, et elle est beaucoup plus à pic. Imaginez-vous un mur de 900 pieds de hauteur, avec de grands arbres sur son sommet, pour montrer qu’il est bâti depuis des siècles, vous aurez une idée de la montagne de l’Oiseau. Ce grand mur massif, dont les flots du fleuve baignent tristement le pied, a l’air d’un immense donjon, bâti par le roi du St-Maurice. Écoutez, n’entendrions-nous pas des plaintes sorties de cette masse sombre? On l’appelle montagne de l’Oiseau, sans doute pour dire que les oiseaux seuls peuvent la gravir. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 38. |
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6 | No d'identification : 22887 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Le St-Maurice est un fleuve très puissant, qui coule à travers une masse de montagnes. Ces montagnes ne sont pas des plus hautes, car un arpenteur qui a pris des mesures lui-même nous assure qu’il n’y en a pas qui dépassent mille pieds, mais elles n’ont jamais rien de monotone. Tantôt elles sont abruptes et baignent leur pied dans le fleuve, tantôt elles sont à pente douce et couvertes d’une belle végétation. Ici elles prennent la forme d’un demi-cercle, là elles ont l’apparence d’un mamelon. Les incendies ont mis à nu les roches de plusieurs pics, d’autres sont couvertes de grands arbres. Quelques montagnes sont couvertes de troncs noircis et dépouillés, quelques autres prennent une apparence de jeunesse sous la nouvelle végétation qui les recouvre. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 80. |
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7 | No d'identification : 22890 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « La Mauricie est avant tout une région forestière. Plus des 8/10 de sa superficie terrestre est boisée et ne convient qu’à la croissance des arbres. D’après le gouvernement de notre province, moins de 8% de notre territoire a été amélioré ou mis en pâturage. » Référence A. Turenne, Une richesse à conserver, la forêt du St-Maurice, Thèse de maîtrise (administration et commerce), Québec, Université Laval, 1950: 49. |
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8 | No d'identification : 22892 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les nombreux rapides, les cascades et les chutes, distribués sur le cours du St-Maurice et de ses affluents, constituent un ensemble incomparable de pouvoirs hydrauliques, en même temps que les forêts d’érables, de merisiers, de cyprès, de bouleaux, d’épinettes et de pins, qui couvrent encore la plus grande partie du sol, pourront approvisionner de combustible pendant une longue succession d’années, les manufactures ou les usines qu’on y aura construites. » Référence Arthur Buies, Le chemin de fer du Lac St-Jean, Québec, Léger Brousseau, 1895: 90-91. |
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9 | No d'identification : 22894 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description intéressante du district d’Hunterstown, au point de vue géographique, hydrographique. La brochure fait état du concessionnaire de la limite à bois, Hunterstown Lumber Co., de ses réalisations, de sa capacité de production (chiffrée), des débouchés à ses produits. Référence Charles Robb, Lumbering on the River du Loup: notes of a trip to Hunterstown, St. Maurice territory, Canada East, Montréal, John Lovell, 1862. |
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10 | No d'identification : 22897 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’auteur rapporte aux pages 26 et 27, des extraits d’un prospectus sur St-Jacques-des-Piles. Description géographique. Population. Scieries et commerce du bois. Constructions d’estacades en face du village. Aspects généraux sur le commerce du bois à St-Jacques-des-Piles. Transport du bois par chemin de fer. Référence Albert Tessier, Jean Crête et la Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1956: 21-32. |
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11 | No d'identification : 22899 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le St-Maurice qui draine un très vaste bassin de 17 452 milles carrés (45 375 km). Référence Raoul Blanchard, Le centre du Canada français, Montréal, Beauchemin, 1947: 429. |
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12 | No d'identification : 22901 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Juillet-août 1944. La région du St-Maurice [...] est bornée à peu près comme suit: au nord par le bassin de la Baie d’Hudson; à l’est par le bassin du Lac St-Jean et la région de Québec; au sud par le fleuve St-Laurent et à l’ouest par la tête du bassin de la Gatineau et la région du nord de Montréal. Elle est comprise entre les longitudes 71° 30’ et 75° 30’ et les parallèles de latitude 46° et 49°. La population de la région du St-Maurice se chiffre à environ 188 000 âmes. Référence La forêt québécoise, VIII, 1 (1 juillet 1944): 47. |
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13 | No d'identification : 22902 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Juillet-août 1944. Auteur: Paul Dufresne. Description physiographique de la région du St-Maurice : géologie, climat, précipitations et zones de végétation. Référence Paul Dufresne, «La situation forestière dans le St-Maurice et possibilité de développement», La forêt québécoise, VIII, 1 (1 juillet 1944): 49-50. |
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14 | No d'identification : 22402 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « L’unité forestière du St-Maurice offre plus de complexité que les précédentes. Le réseau hydrographique qui la sillonne prend ses sources à la ligne de partage des eaux des bassins de la Baie James et du St-Laurent, dans la zone des conifères, s’étend au sud du chemin de fer transcontinental à peu près jusqu’à la latitude de Grand-Mère, alors que la forêt se rattache aux bois mêlés à prédominance de résineux, rencontre plus au sud le prolongement oriental des peuplements mixtes de la région méridionale de l’unité Abitibi-Témiscamingue, et débouche dans la plaine du St-Laurent où, pour autant que la hache les aura épargnés, s’étendent des massifs feuillus à dominance d’érable, de hêtre, de merisier, de tilleul et de frêne. » « Sur une superficie totale de 24 076 milles carrés, près de 20 000 milles sont en forêt productive, avec un volume total d’environ six milliards et demi de pieds cubes, dont quatre milliards en résineux. » « L’accroissement annuel du stock ligneux se chiffre par 216 millions de pieds cubes, soit 17 pieds cubes l’âcre, auxquels les résineux contribuent 11 pieds cubes. La production annuelle de bois à pâtes, sciage et bois de feu atteint 80 millions de pieds cubes, de sorte que, si on la met en regard de l’accroissement, il apparaît que le St-Maurice est un excellent territoire d’approvisionnement, même si l’on doit faire quelques réserves à l’égard de certaines aires de coupe mal régénérées et de localités qui offrent peu d’attrait pour l’exploitation en raison de la faible densité des peuplements. » Référence Esdras Minville, La forêt, Montréal, Fides, 1944: 66. |