Thème : Hydrologie
Index thématique -> Milieu physique -> Hydrologie
1 No d'identification : 23080 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Trois des gros piliers qui devaient servir à la construction de cette Dame ont été emportés cette semaine par la force du courant, et aussi par la quantité de billots qui se trouvaient amoncelés à cet endroit. C’est un malheur, mais nous espérons qu’il sera loin de faire abandonner l’entreprise. »

Signé « Possible ».

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (26 mai 1873): 2, col. 4.

2 No d'identification : 23082 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« L’eau a monté depuis quelques jours sur le St-Maurice et le courant est devenu rapide. Néanmoins, une grande quantité de billots sont encore échoués sur les battures à l’entrée de la rivière. »

Référence
Le Constitutionnel (8 août 1873): 2, col. 3.

3 No d'identification : 23083 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Billots à la dérive sur le fleuve.

Dommages causés à un moulin à Ste-Anne-de-la-Pérade, propriété de M. Sinaï Arcand.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (9 octobre 1873): 2, col. 4.

4 No d'identification : 23085 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« On nous informe que les dernières pluies ont fait considérablement fondre la neige à divers endroits dans les bois. Le commerce du bois s’en est ressenti vu la difficulté éprouvée à travailler. »

Référence
La Concorde (1 février 1882): 2, col. 4.

5 No d'identification : 23086 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Les grandes scieries de Nicolet n’ont pas encore régulièrement commencé leurs opérations: l’arrivée tardive du bois, vu les eaux basses et la difficulté du flottage, est la seule cause de ce retard. »

Référence
La Concorde (5 mai 1882): 2, col. 6.

6 No d'identification : 23088 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La glace sur le St-Maurice aux Grandes Piles est en mouvement depuis hier midi. L’eau n’est pas extraordinairement haute cette année. Nous avons ce matin un vent qui ressemble à un vrai cyclone.

Référence
Le Trifluvien, 45 (24 avril 1889): 3, col. 4.

7 No d'identification : 23089 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Vendredi à 6 heures A.M., la chaussée du moulin de la rivière Milette et le pont sur cette rivière à Ste-Marguerite ont été détruits par les eaux hautes qui ont tout emporté et se sont répandues sur les terres.

Le moulin est lui-même très endommagé, paraît-il. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (10 juin 1889): 2, col. 5.

8 No d'identification : 23091 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Débâcle sur la rivière Nicolet.

Référence
Le Trifluvien (13 avril 1892): 5, col. 3.

9 No d'identification : 23092 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La débâcle du fleuve St-Laurent en face de Trois-Rivières.

Référence
Le Trifluvien (22 avril 1893): 3, col. 2.

10 No d'identification : 23094 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Terrible éboulis sur la rivière Ste-Anne.

Référence
Le Trifluvien (1 mai 1894): 3, col. 1.

11 No d'identification : 23095 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La chute des Grès: « La chute tire son nom de la couche de grès dite de Grenville, qui affleure en cet endroit mais nulle part ailleurs dans la région. Cette formation de grès, soit dit en passant, commence aux pieds du contrefort laurentien, en s’inclinant vers le sud, pour plonger sous le St-Laurent aux Trois-Rivières. Nous trouvons sous cette couche de grès, la couche de calcaire qui s’étend le long du St-Laurent, à partir de la région de Québec jusqu’à l’ouest de Montréal, et que le St-Maurice a dû couper pour établir son cours pendant les âges pré-glaciaires. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 13.

12 No d'identification : 23096 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Inondation (Grès) 1872-1873: « Au printemps, le niveau de la rivière monta de façon inquiétante. Ce fut une crue plus considérable que celle de 1947. Pendant la nuit, la rivière déborda sur la rive droite, un peu en amont du village, et le matin s’était creusé un chenal large et profond qui allait se jeter dans l’anse que traverse aujourd’hui la voie ferrée avant d’arriver à la station. Le chemin qui permet de sortir du village est coupé, le torrent menace aussi les turbines de la scierie à sec. Sans l’intervention de M. Johnny Baptist, qui fit placer par les ouvriers des pierres et troncs d’arbres, le lit de la rivière risquait de s’étendre jusqu’à la falaise des Grès. Il faut dire que le niveau de l’eau se mit à baisser. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 24-25.