Thème : Barrages |
Index thématique -> Aménagement des rivières -> Barrages |
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1 | No d'identification : 23738 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les deux événements de grande importance à ce sujet ont été la terminaison des réservoirs de la Loutre et du St-François à la fin de 1917, qui font de la régularisation du St-Maurice et du St-François un fait accompli. Si nos espoirs se réalisent, l’avancement industriel des deux régions arrosées par ces revenus ne tardera pas à prendre un nouvel essor par suite de l’amélioration considérable ainsi apportée aux forces hydrauliques de ces réserves. Au point de vue pécuniaire, le gouvernement va aussi y trouver une source importante de revenus. Pour le St-Maurice, les recettes de janvier au premier juin 1918 exclusivement ont atteint la somme de 88 132, 83$ (tiré du rapport du service hydraulique pour l’année finissant le 30 juin 1918). » Référence Documents de la Session (D.S.), 52, App. 23 du rapport du ministre des terres et forêts, troisième session 1919 (1919): 50. |
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2 | No d'identification : 23894 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire On pourrait augmenter la tête d’eau en jetant un barrage sur le St-Maurice, à la tête de la chute des Grandes Piles, et on m’assure que la construction d’un pareil ouvrage serait chose relativement facile. Il parait même que le gouvernement fédéral, vers 1870 en a fait construire un qui a été emporté simplement parce qu’il avait été mal fait. Relativement à l’exploitation de la chute, il me semble que tous les avantages se trouvent réunis sur la rive gauche, du coté du village de St-Jacques des Piles [...] Une usine pourrait être construite dans la petite anse qui se trouve au nord-est de la presqu’île dont je viens de parler. Qu’on trouve le moyen de régulariser le cours du St-Maurice entre les Grandes Piles et les Petites Piles c’est dire qu’on parvienne à empêcher les variations considérables qui se produisent aujourd’hui dans le niveau de la rivière entre ces deux points et on aura aux Grandes Piles un des plus beaux pouvoirs d’eau qui se puissent rencontrer au point de la facilité de l’exploitation. Référence «Rapport de l’ingénieur civil Charles-Edouard Gauvin, 31 mai 1900», Documents de la Session (D.S.), 36, 5, App. 46 du rapport du ministre des terres et forêts pour 1902 (1903). |
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3 | No d'identification : 23192 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Le gouvernement fédéral fait actuellement faire de nouveaux travaux aux Piles. On répare les quais que les hautes eaux avaient emportés. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (27 août 1874): 2, col. 3. |
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4 | No d'identification : 23732 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Résumé : Pour prévenir de nouvelles avaries à la dam, l’auteur propose de hausser la hauteur des piliers. Diminuer la force du courant par des casse-glace. Construire un pont sur les piliers et solidement arrêter sur chaque côté de la rive, ce serait une source de revenu pour le gouvernement et augmenterait la solidité de la dam, l’auteur poursuit en disant qu’il aurait mieux valu d’avoir construit des piliers à angle au lieu des piliers à surface plate et large qui donnent beaucoup de prise aux eaux. Signé « possible ». Référence Le Journal des Trois-Rivières (26 mai 1873): 2, col. 4. |
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5 | No d'identification : 23733 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire On y fait état des travaux entrepris par Foreman à Grand-Mère pour aménager les chutes d’eau afin d’y construire une usine de pulpe. Description brève du genre de travaux effectués pour construire un bassin qui retiendra les eaux. Environ 200 ouvriers y travaillent. Référence Le Journal des Trois-Rivières (4 août 1887): 2, col. 1. |
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6 | No d'identification : 23734 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Dans le rapport du percepteur de revenu on signale « la nécessité qui s’impose [...] de pourvoir aux moyens de retenir, le printemps, dans les lacs aux sources des rivières, la masse des eaux qui causent chaque année des dommages considérables à l’industrie du bois, ainsi qu’aux travaux de ce ministère. » État des droits : noms des compagnies, année, montant total, etc. Référence Documents de la Session (D.S.), 38, 19, RAMTP, 1904 (1905). |
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7 | No d'identification : 23735 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire J’espère qu’on me le pardonnera si j’attire encore l’attention vu les intérêts importants en jeu, sur la nécessité qui s’impose, dans un avenir prochain, de pourvoir aux moyens de retenir, le printemps dans les lacs aux sources de la rivière, la masse des eaux qui cause chaque année des dommages considérables à l’industrie du bois. [...] La dénudation des forêts est cause de la fonte rapide de la neige au printemps, et les eaux de la neige, s’ajoutant aux pluies habituelles, provoquent ces inondations destructives qui semblent vouloir prendre des proportions plus grandes d’année en année. [...] Des mesures doivent être prises pour contrôler le printemps prochain, la descente du bois, car à part des 400 000 billots maintenant dans la rivière, il va être coupé durant l’hiver plus de 5 000 000 de billots. Référence Documents de la Session (D.S.), 38, 19, RAMTP (1905). |
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8 | No d'identification : 23736 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Revenu : 47 332, 02$ Perception : -36 780, 58$ Montant en souffrance : -10 551, 44$ Nombre de pièces de bois : 4 917 017 Litige : cause : c’est à cause des pertes qu’on prétend avoir souffert par la descente des billots qu’on (la Laurentide paper Co de Grand-Mère) refuse de payer le montant des impôts. Réquisitoire en faveur de la construction de barrage pour constituer des réservoirs d’eau et contrôler le débit de la crue. Ceux-ci ont été commencés par des fabricants du St-Maurice. Référence Documents de la Session (D.S.), 45, 19, RAMTP, 1910, VI, 12 (1911). |
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9 | No d'identification : 23739 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Textuel : « Le dernier projet de Sir Lomer Gouin est mis à l’étude. » « De la chaîne des Laurentides au fleuve s’étend une plaine ondulée qu’arrosent de nombreux cours d’eau, alimentés par les lacs et les torrents des montagnes. » « Les moyens de régulariser ce débit, d’éviter les inondations du printemps et le dessèchement de l’été, serait d’emmagasiner dans des réservoirs le surplus des eaux qui s’écoulent rapidement au printemps et de ne le libérer que graduellement en été. » « La création de ces réservoirs est une question de génie civil qui n’a qu’une inconnue : le coût. » On dit aussi que « les milliers de chevaux vapeur de pouvoir hydraulique que vont créer ces barrages, compensera largement le coût de cette dépense, dont le revenu sera peut-être supérieur à l’intérêt à payer ». Référence Le Nouveau Trois-Rivières (15 octobre 1909): 2, col. 1. |
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10 | No d'identification : 23740 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire On reproche au gouvernement de ne pas avoir commencé la construction du barrage qui permettrait le flottage du bois. Référence «Les chutes des Piles», Le Courrier de Grand-Mère (7 avril 1910): 1, col. 3. |
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11 | No d'identification : 23741 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La Shawinigan Water and Power Company demande la permission de construire un barrage sur le St-Maurice, à la tête des chutes de Shawinigan. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (20 octobre 1911): 8, col. 5. |
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12 | No d'identification : 23742 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Construction d’un barrage dans le Haut St-Maurice (Barrage Gouin?). Référence Le Nouveau Trois-Rivières (3 janvier 1912): 1, col. 1-2. |
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13 | No d'identification : 23743 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les barrages sur le St-Maurice étudiés par la commission du régime des eaux courantes. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (13 décembre 1912): 8, col. 1-4. |
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14 | No d'identification : 23744 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Construction d’un barrage à la hauteur des rapides de la Loutre sur le St-Maurice. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (17 janvier 1913): 8, col. 2-5. |
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15 | No d'identification : 23745 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Construction d’un barrage sur le barrage à La Tuque. Une digue près de La Tuque pourrait développer 500 000 S.H. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (9 janvier 1914): 6, col. 6. |
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16 | No d'identification : 23746 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La commission des eaux courantes de Québec a envoyé sa demande pour avoir la permission de construire un barrage aux rapides à la Loutre sur le St-Maurice. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (16 janvier 1914): 2, col. 3. |
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17 | No d'identification : 23747 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire C’est à l’automne de 1914 que commencèrent les travaux préliminaires à la construction du barrage La Loutre. [...] En 1915, la Fraser Brace Company entreprenait la construction du barrage Gouin. La compagnie de la Baie d’Hudson s’objecta à ce que la Fraser Brace installe le centre de ses opérations sur ses terrains de Weymontachingue, ce qui obligea la Fraser à s’installer de l’autre côté de la rivière, dans un endroit défavorable auquel on allait donner le nom de Sanmaur, contraction du nom St-Maurice. Cette localisation de la Fraser l’empêchait de transporter ses matériaux par voie d’eau jusqu’au barrage de la Loutre à cause du rapide Plat situé près de Weymontachingue. La compagnie entreprit donc de construire un barrage temporaire qui devait élever le niveau de l’eau et permettre de faire flotter le matériel sans qu’il ne soit, à coup sûr, entraîné dans les rapides. La construction de ce barrage temporaire se fit en même temps que l’installation du camp. [...] Sanmaur naquit ainsi des activités d’une compagnie établie provisoirement dans la région pour construire le barrage Gouin. [...] Le coulé du béton débuta au printemps de 1916 et le barrage fut complété le 5 novembre 1917. [...] Le fond du nouveau lac est ponté d’arbres brisés, et, à plusieurs endroits, l’eau ne fait que recouvrir la cime des arbres. Les voyages en canot y sont donc extrêmement périlleux dans la mesure où l’on risque à tout instant de se faire empaler ou renverser par les branches pointues qui affleurent à la surface de l’eau. Les compagnies forestières utilisèrent longtemps des bateaux d’acier sur ce lac afin de contrer ces dangers. Durant les années qui suivirent l’inondation, les rives des lacs restèrent inabordables, troncs d’arbre et racines flottantes interdisaient tout accès. C’était partout une masse compacte de bois flottant qui se balançait au gré des vagues. [...] Le spectacle était désolant. Plus désolante encore était la vision de ces épinettes à demi submergées, au bois sec et blanchi, à l’écorce pendante et aux branches qui [...] pendant longtemps, l’eau fut mauvaise en raison de toute cette pourriture. Une mousse verte flottait à la surface, des millions d’animalcules l’infestaient. Les indiens notèrent que les poissons ne pondaient plus leurs oeufs, faute de trouver des endroits propices pour le faire. La Fraser pour transporter son matériel jusqu’à La Loutre avait un trajet de 30 milles en bateau puis pour les derniers 20 milles, elle avait construit une voie ferrée qui lui permettait d’accéder directement au lieu du futur barrage. Référence Joseph-Étienne Guinard et Serge Bouchard, Mémoire d’un simple missionnaire: le père Joseph-Étienne Guinard, Québec, Ministère des affaires culturelles, 1980: 158. |
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18 | No d'identification : 23749 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : Le barrage du St-Maurice à la Loutre : « La nouvelle parue lundi dernier dans un journal anglais de Montréal affirmant que plus de 1000 hommes sont actuellement employés à la Loutre, environ 125 milles au nord de La Tuque, est loin d’être exacte; il y a au plus 100 hommes actuellement à l’oeuvre en cet endroit et leurs occupations consistent principalement en travaux préliminaires; ils travaillent à l’installation de communications téléphoniques, à l’érection d’un chemin et à tout ce qui sera nécessaire à décider d’ériger en cet endroit. Le barrage du St-Maurice, à la Loutre, n’aura pas pour but de rendre la rivière navigable, mais bien d’emmagasiner les eaux, de régulariser les crues du printemps, de fournir le pouvoir électrique nécessaire aux manufactures et aux usines qui s’établiront en cet endroit, et de faire avant tout de cette région un centre industriel. Les travaux de barrage ne commenceront pas avant le printemps prochain. » Référence Le Nouveau Trois-Rivières (29 octobre 1915): 3, col. 2. |
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19 | No d'identification : 23750 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : Le premier ministre, accompagné de l’honorable M. Mitchell et de l’honorable Taschereau, ainsi qu’un nombreux parti, est arrivé à Shawinigan Falls, samedi avant-midi sur un train spécial. Sir Lomer Gouin et ses compagnons arrivaient du rapide de la Loutre, où le gouvernement fait construire un immense barrage en vue de régulariser les eaux sur le St-Maurice. Le parti ministériel a visité nos usines locales et est reparti dans l’après-midi. Le matin, sir Lomer et ses compagnons avaient visité les usines de la Laurentide Power à Grand-Mère. Référence «Si Lomer en ville», L’écho du St-Maurice (31 mai 1917): 1, col. 6. |
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20 | No d'identification : 23751 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Ce barrage est construit par la St-Maurice Construction Co. dont le contrat est de 1 400 000$. Le barrage, qui a 1700 pieds de largeur, contiendra 60 000 verges cubes de béton. L’eau qu’il indiquera formera un lac de 300 milles carrés soit environ la superficie du lac St-Jean. » Référence «Le barrage du St-Maurice», L’écho du St-Maurice (7 juin 1917): 6, col. 3. |
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21 | No d'identification : 23752 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Création d’un réservoir d’eau sur le St-Maurice pour régulariser cette rivière. Recettes du gouvernement pour avoir fourni des forces hydrauliques aux industries avoisinantes. Référence Documents de la Session (D.S.), 52, 2, App. 23 du rapport du ministre des terres et forêts, troisième session 1919 (1919): 56-59. |
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22 | No d'identification : 23753 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le gouvernement provincial adopte le bill permettant la création d’un barrage au rapide La Loutre sur le St-Maurice. Référence Le Nouvelliste (22 février 1924): 1, col. 1. |
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23 | No d'identification : 23754 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Construction d’un barrage sur le St-Maurice qui aura pour but principal de fournir le pouvoir nécessaire aux industries, notamment, les industries du papier. Référence Le Nouvelliste (10 mai 1926): 1, col. 4-5. |
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24 | No d'identification : 23755 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le but du gouvernement et de la Commission des eaux courantes, en construisant ces barrages et en régularisant le cours des rivières, a été de venir en aide aux industries établies sur ces rivières; exemple : le barrage Gouin, construit à la Loutre. Avant la construction, les 4 compagnies, la Shawinigan Power Co., la Laurentide Power Co, à Grand-Mère, La St-Maurice Power Co., à la Gabelle et la Brown Corp. à La Tuque ne pouvaient fonctionner que pendant environ 6 mois de l’année tandis qu’aujourd’hui, elles fonctionnent pleinement pendant l’année entière. Ceci a non seulement l’effet de permettre aux industries d’augmenter leur production mais aussi de fournir du travail au grand nombre d’ouvriers qui chômaient pendant plusieurs mois de l’année. Signé : J.A. Tessier, président de la commission des eaux courantes. Référence Le Nouvelliste (21 août 1926): 9, col. 4. |
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25 | No d'identification : 23756 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’article décrit une visite de l’honorable Honoré Mercier dans la vallée du St-Maurice. (L’article s’attarde tout particulièrement à décrire le barrage Gouin, géré par la Brown Corporation.) Référence Le Nouvelliste (16 septembre 1930): 1, col. 1-2. |