Thème : Exportations au port de Trois-Rivières
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1 No d'identification : 19983 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Commerce de bois dans le cours de l’été dernier, il a été constaté que 109 vaisseaux sont venus prendre des chargements de bois de construction aux scieries à vapeur du St-Maurice. La quantité de bois ainsi embarquée est évaluée à 10 000, 156 pieds, valant 122 000$. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (7 décembre 1865): 3, col. 1.

2 No d'identification : 19985 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Le nombre de bâtiments qui sont venus prendre des cargaisons de bois pendant l’été de 1865 au port des Trois-Rivières se monte à 182, dont 73 ont chargé au moulin de M. Baptist et 109 à celui de M. Ward. Le nombre de pieds de bois vendus par M. Baptist est de 10 343 000 et celui de M. Ward de 10 000 156, faisant en tout 20 343 156 et représentant ici une valeur de 246 000 00$. Des 182 bâtiments, 15 étaient des vaisseaux d’un tonnage variant de 350 à 1300 qui quittant le port ont fait voile directement par la mer en route pour la Grande-Bretagne, les Indes Occidentales et Amérique du Sud. De ces 15, 9 ont été chargés par M. Baptist pour la Grande-Bretagne ayant en tout une cargaison de 3 901 000 pieds de bois. Les 6 autres ont pris leur cargaison au moulin de M. Ward dont 1 pour Monte Video, 4 pour Cuba, et 1 autre pour l’Angleterre chargé de rail road ties.
Les villes qui ont ensuite consommé le plus sont : Burlington, 6 088 000 pieds; Québec, 3 993 900l Whitchall, 1 960 090; Troy, 1 213 000; Albany, 450 000 et Montréal, 370 000. Il en a été aussi exporté quelque peu à Cardens, Sorel et Berthier.

Les Planteurs des Indes Occidentales consomment une grande quantité de boîtes pour le sucre. Pour s’en convaincre il suffit de savoir que du mois de janvier 1865 au mois d’octobre de la même année, il s’est exporté des deux seuls ports de la Havane et de Matanzas, 1357 980 boîtes. Et c’est là un article d’exportation qui donne des profits considérables puisqu’une cargaison de 10 000 de ces boîtes réalise un bénéfice net de 1500$ moins les frais d’assurance. Aussi, MM. Baptist et Ward ont-ils l’intention d’en manufacturer en grande quantité l’année prochaine, étant bien persuadés que les profits qu’ils réaliseront compenseront amplement tous leurs efforts et tout leur labeur.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (12 décembre 1865): 2, col. 1-2.

3 No d'identification : 19991 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Le port de Trois-Rivières » (Nombreux renseignements sur le volume du commerce de bois, lieux de destination, etc.)

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (12 décembre 1865): 2, col. 1-2.

4 No d'identification : 19993 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Il y a trois grands moulins à scie, près de ces estacades (poste no 1) qui font, de même que les moulins de la chute des Grès, un grand commerce d’exploitation. Des navires à destination d’Europe, des Antilles et de l’Amérique du Sud, outre les moindres embarcations qui vont aux États-Unis, chargent facilement à l’embouchure de la rivière St-Maurice.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 8, RANTP (1866), I, 5, 97 (1867).

5 No d'identification : 19996 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Deux grosses goélettes étaient hier au quai de Bécancour, à la station Doucet, une charge de bois de corde et l’autre d’écorces de pruche. Ces écorces et ce bois étaient descendus des cantons de l’est par les chars. Ces deux goélettes se préparaient à partir pour Montréal. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (13 juillet 1866): 3, col. 1.

6 No d'identification : 19997 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Le navire, Le Canadien, qui a passé l’hiver dans notre port, est parti avant hier pour Cuba avec une cargaison de bois. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (28 avril 1868): 3, col. 4.

7 No d'identification : 19999 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
[Depuis l’annulation du Traité de Réciprocité,] le commerce de bois à l’étranger a pris des développements jusqu’alors inconnus. Pour ne parler que [de] notre localité, nous mentionnerons que pendant la durée du traité, c’est à peine si notre port comptait un vaisseau d’outre-mer par année. Maintenant nous en comptons près de 30 qui prennent chacun des cargaisons de 8 à 900 000 pieds de bois, qu’autrefois on expédiait aux États-Unis par la voie de la rivière Chambly. Cette année le nombre sera encore plus grand. Nos voisins eux-mêmes, malgré les impôts considérables qui pèsent sur cet article, [vont] venir le chercher ici.
Nous possédons maintenant les deux grandes manufactures de M. Ward et de M. Baptist au lieu d’une seule qui existait auparavant, plus une manufacture de chaussure, lesquelles ensemble donnent la vie à près de 200 familles. Il est fortement question parmi plusieurs riches industriels de bâtir des moulins considérables sur le St-Maurice. Voilà les bienfaits de l’abolition du traité de réciprocité.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (4 septembre 1868): 2, col. 1.

8 No d'identification : 20001 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Exportations de bois vers les États-Unis pendant le Traité de Réciprocité et depuis la fin de cette entente. Accroissement du commerce du bois vers les pays outre-mer.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (4 septembre 1868): 2, col. 1.

9 No d'identification : 20002 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La quantité de bois coupé dans le St-Maurice et ses tributaires a été plus considérable l’hiver dernier que les précédents. Cependant les eaux ont été tellement basses tout le printemps et l’été qu’une grande partie du bois n’a pu être descendue.
Environ 18 000 000 de pieds de bois ont été exportés durant la saison par nos commerçants de Trois-Rivières. Voici l’état de ce qu’ils ont actuellement exporté.
G. Baptist, en Angleterre, 12 cargaisons 4 200 000 pieds
G. Baptist, en Amérique du Sud, 2 cargaisons, 232 000 pieds
G. Baptist, aux États-Unis, 99 cargaisons, 7 773 000 pieds
G. Baptist, aux Ports du Canada, 3 761 000 pieds
J.K. Ward, en Amérique du Sud, 6 cargaisons, 2 263 000 pieds
J.K. Ward, aux États-Unis, 62 cargaisons, 5 268 000 pieds
Stoddard, aux États-Unis et Europe, 20 cargaisons, 2 750 000 pieds

Si on ajoute à l’état ci-dessus plusieurs chargements de bois qui se sont faits à Montréal pour l’Amérique du Sud, on verra que notre commerce de bois avec cette contrée augmente considérablement au lieu de diminuer.
Il n’est pas hors de propos de remarquer que 32 bâtiments d’outre-mer sont venus charger dans notre port. Si on se rapporte 10 années en arrière alors qu’aucun de ces vaisseaux n’arrêtait dans notre port, il est facile de voir le développement qu’a pris notre commerce.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (24 décembre 1868).

10 No d'identification : 20004 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Un beau navire de commerce, le “Govner-General”, capitaine Chambers, est depuis quelques jours à l’entrée du St-Maurice, vis-à-vis les scieries de la compagnie américaine où il vient prendre une cargaison de bois en destination de Buenos Ayres. Plusieurs personnes ont visité ce vaisseau, durant la journée d’hier et ont été reçues avec une politesses exquise. Comme l’est dit dans notre chronique, le capitaine Chambers a l’air d’un vrai gentleman. »

Référence
«Notes locales : exportation de bois», Le Constitutionnel, 11, 34 (23 août 1869): 2, col. 4.

11 No d'identification : 20006 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Le Govner-General, capitaine Chambers, qui a quitté notre port dimanche dernier, destination de Buenos Ayres, avait une cargaison de 802 785 pieds (board mesure) de pin et d’épinette. C’est M. J.K. Ward qui lui a fourni son chargement. Un autre vaisseau, Helen Drummond, capitaine Tugether, est encore à charger chez M. Ward une autre cargaison de bois scié destinée à Monte Video. »

Référence
«Exportation du bois», Le Constitutionnel, 2, 39 (3 septembre 1869): 2, col. 3.

12 No d'identification : 20010 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Quantité de bois parti depuis le printemps des scieries de M. Baptist :
À venir jusqu’au premier septembre, M. Baptist avait chargé 6 vaisseaux pour l’Angleterre, contenant 2 977 945 pieds de bois. En outre ces chargements d’outre-mer, M. Baptist a exporté 63 cargaisons aux États-Unis, totalisant 7 638 804 pieds de bois et 8 autres chargements à destination de Montréal totalisant 647 168 pieds de bois.
(Le calcul est fait par nous. On trouve dans l’article le détail de tous les chargements.)

Référence
Le Constitutionnel (6 septembre 1869): 2, col. 2-3.

13 No d'identification : 20013 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Exportation de bois
Très importantes données sur 71 cargaisons de bois exportées par les moulins de M. Baptist.

Référence
«Notes locales», Le Constitutionnel, 40 (6 septembre 1869): 2, col. 3-4.

14 No d'identification : 20015 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Trois vaisseaux chargés de bois scié sont partis ce matin des quais de M. Stoddard, M. Wright et A.F. Nicholls en destination d’Albany et la barge C.A.S. pour Burlington. Dans la journée d’hier, cinq à six mille billots sont sortis des booms du moulin de la compagnie américaine. Une partie appartient à M. Stoddard, l’autre appartient à M. Ward. »

Référence
Le Constitutionnel, 2, 51 (1 octobre 1869): 3, col. 1.

15 No d'identification : 20016 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Nous devons à une communication bienveillante de M. Richard Lanigan le chiffre approximatif des exportations de bois scié parti du port de Trois-Rivières durant la dernière saison :

(Board measure)
M. George Baptist
-Madriers expédiés en Europe 4 000 000
-Planches, etc. aux U.S.A. 11 000 000

M. J.K. Ward
-Amérique du Sud 2 669 000
-Etats-Unis 3 595 000

M. Wm Stoddard
-Madriers à Québec 1 000 000
-Planches, etc. , Amérique du Sud 800 000
-Etats-Unis 2 000 000

Total 25 065 000




Référence
Le Constitutionnel (17 décembre 1869).

16 No d'identification : 20021 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Voici les détails des exportations de M. Ward :
Victoria, Montréal 11 748
Zouave, Troy 76 717
Major, Montréal 171 868
Wright, Troy 86 068
Smith, Troy 85 007
W.R. Burton, Troy 88 690
Joachin, Troy 90 326
Montréal, Montréal 31 380
Jesse, Troy 73 434
Emily, Burlington 88 000
Adams, Troy 68 428
Gen. Mc Leiland, Troy 68 199
Oriental, Burlington 91 059
Kayon, Troy 73 717
D.H. Rice, Troy 85 281
Queen, Burlington 23 200
Lacca, Troy 79 931
Gaylord, Troy 81 373
Emma Flora, 82 885
Addel, Troy 93 283
J. Cambell, Troy 78 628
Gage, Troy 65 667
Emily, Burlington 76 947
Mc Lellan, Troy 67 616
Montréal, Montréal 64 000
Emilie, Callao 528 648
Jesse, Troy 60 638
Zouave, Troy 82 917
Emily, Burlington 83 000
Grisworld 86 515
Monitor, Troy 81 797
Mognolea, Troy 76 792
Monitor, Troy 81 490
Mary, Troy 65 923
Jesse, Troy 88 179
Manning, Troy 77 687
Manning, Troy 73 700
Gov. Gen., Buenos Aires 792 676
Emme, Troy 76 990
Helen Drummond, Buenos Aires 409 504
Julia, Troy 81 769
Dorie, Troy 76 666
Coral Leaf, Burlington 86 300
D.H. Rice 92 150
Willie Potter 81 124
Columbia, Valparaiso 555 007
A.M. Collins, Troy 85 362
L’heureux, Troy 122 149
Elisa Young, Buenos Aires 383 175
Geneviève, Montréal 125 418
Total 6 264 628


Référence
Le Constitutionnel (17 décembre 1869): 2, col. 5.

17 No d'identification : 20026 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Exportation de bois scié.
Relevé des quantités exportées et aussi des inventaires dans les cours à bois.

Référence
Le Constitutionnel, 2, 81 (17 décembre 1869): 2, col. 5.

18 No d'identification : 20050 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« On vous prie de dire que l’exportation de bois de pin aux États-Unis par Wm Stoddard est de cinq millions de pieds (board measure) au lieu de deux millions, comme nous l’avions dit d’abord. »

Référence
Le Constitutionnel, 2, 83 (22 décembre 1869): 2, col. 5.

19 No d'identification : 20051 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Un gros vaisseau d’outre-mer, le Mary Leonard, est dans notre port depuis quelques jours. Il a apporté un chargement de charbon et doit rapporter un chargement de bois. »

Référence
Le Constitutionnel, 2 (10 mai 1871): col.4.

20 No d'identification : 20052 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Plusieurs navires d’outre-mer sont actuellement à prendre des chargements de bois de construction chez MM. Baptist, Ross & Ritchie. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (22 mai 1871): 2, col. 2.

21 No d'identification : 20053 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Rapport du bureau de commerce de Trois-Rivières (on y retourne des données générales sur le commerce du bois, quantités exportées et la destination).

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (16 mai 1872): 3, col. 1.

22 No d'identification : 20054 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel et intégral :
« Plusieurs vaisseaux d’outre-mer sont arrivés dans notre port pour prendre des cargaisons de bois. Les marins commencent à circuler dans nos rues. »

Référence
Le Constitutionnel (3 juin 1872): 2, col. 3.

23 No d'identification : 20055 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Le même jour (soit vendredi dernier), le Mattawan de la compagnie Allan est monté à Québec et un voilier océanique est arrivé dans notre port pour prendre une cargaison de bois. Il est probable qu’il sera forcé d’hiverner ici. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (24 novembre 1873): 2, col. 4.

24 No d'identification : 20056 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Treize bâtiments d’outre-mer prennent leur cargaison en cette ville, 8 à l’île Baptist et 5 aux quais de M. Ross. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (22 juin 1874): 3, col. 1.

25 No d'identification : 20057 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel et intégral :
« Cinq ou six vaisseaux d’outre-mer sont arrivés en notre port pour prendre des cargaisons de bois. Cela donne un peu d’animation à nos quais, mais les ouvriers ordinaires au port se plaignent que les matelots norvégiens chargent eux-mêmes. Naturellement, ils en ont bien le droit. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (19 mai 1879): 2, col. 4.