Thème : Sous-traitance |
Index thématique -> Exploitation des ressources forestières -> Coupe du bois -> Sous-traitance |
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1 | No d'identification : 20452 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Matthew Bell fait couper 4000 billots de pin blanc et rouge de 12 pieds 4 pouces de long et 12 à 18 pouces de diamètre, livrables sur la jetée de James Bell à Champlain. Les sous-traitants couperont les billots sur les terres non concédées de la paroisse de Champlain et du Cap de la Madeleine. L’entrepreneur accepterait 1000 billots d’épinette blanche de la même dimension et s’engage à prendre un supplément de 600 à 700 billots de pin blanc et rouge. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 30 septembre 1839. |
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2 | No d'identification : 20453 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Matthew Bell donne à contrat 6500 billots de pin blanc et rouge et 1500 d’épinette blanche (2000 billots sur des terres appartenant à des cultivateurs dans Champlain, livrables au moulin de Matthew Bell à Champlain, sur des terres non concédées dans Champlain pour la plupart). Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 9 décembre 1840. |
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3 | No d'identification : 20454 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « On demande des contacteurs pour entreprendre de faire les billots sur la rivière St-Maurice. S’adresser au soussigné. Joseph Raynor. Trois-Rivières, 13 octobre 1868. » Référence «Aux contracteurs», Le Journal des Trois-Rivières (16 octobre 1868): 3, col. 5. |
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4 | No d'identification : 20456 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire M. Alex Baptist, qui a fait dernièrement, à raison de 50 000$ payés comptant, l’acquisition des limites de la William Sport & Canada Lumber Co., se propose de faire environ 25 000 billots de toise, ce qui représente à peu près 40 000 billes. On nous dit que M. A. Baptist a tout donné à l’entreprise par petits contrats. Référence Le Journal des Trois-Rivières (7 novembre 1878): 2, col. 5. |
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5 | No d'identification : 20457 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « M. J.A. Gagnon, de la compagnie de bois de Trois-Rivières, vient de signer avec le Pacifique un contrat pour la livraison de 75 000 traverses de chemin de fer. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (15 février 1886): 2, col. 3. |
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6 | No d'identification : 20458 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Si notre commerce de bois a eu à souffrir cette année par suite du manque d’eau, cela ne l’empêchera pas d’être très actif cet hiver. Les contrats que viennent de donner les différentes compagnies en sont la preuve. La St-Maurice Lumber Co. a donné des contrats pour 600 000 billots. Warren Curtis et Fred Farmer, 400 000, M. Baptist 200 000, et The Union Bag & Paper Co. 200 000, soit un million et 400 000 billots. Référence Le Trifluvien (12 novembre 1901): 8, col. 2. |
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7 | No d'identification : 20459 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « M. J. Giroux a un contrat illimité de bois de pulpe écorcé et il est en état d’acheter à bon prix tout le bois sur le parcours du Canadian Northern dans la province de Québec. M. Giroux tient maintenant son bureau au Grand Central Hôtel à Grand-Mère où on pourra de voir en tout temps. » Référence «Bois de pulpe», Le Courrier de Grand-Mère (9 septembre 1909): 1, col. 7. |
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8 | No d'identification : 20460 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Johnny Giroux a obtenu le contrat général pour fournir tout le bois pulpe à la compagnie « The St-Maurice Lumber Co. ». Référence Le Nouveau Trois-Rivières (10 juin 1909): 5, col. 3. |
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9 | No d'identification : 20462 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Il n’y a pas encore longtemps, toutes les coupes se faisaient en régie. Les concessionnaires avaient eux-mêmes leurs propres camps, etc. [...] Depuis une dizaine d’années, la mode a prévalu de donner, de faire faire les bois à l’entreprise, sous le prétexte que cela coûtait meilleur marché. [...] Ce système a permis à des marchands de prendre d’énormes contrats, pour plusieurs centaines de milliers de billots parfois, qu’ils distribuaient ensuite à de pauvres gens, en se réservant un profit de 5 à 15 pour cent et souvent plus. De plus, ces compères obligeaient leurs sous-contracteurs à s’approvisionner chez eux de provisions de bouche, de fourrage, etc. qu’ils leur vendaient encore à bon compte. De sorte que le pauvre sous-contracteur ou jobber, après avoir peiné tout un hiver, épuisé sa personne, crevé ses chevaux, se trouvait gros Jean comme devant à la fin des coupes; tout son gain passé dans le gousset du grand contracteur, qui, lui, était à peine venu une couple de fois à la lisière de la forêt. [...] Heureusement que beaucoup de souches ont compris le vice d’un pareil [mot illisible] et traitent maintenant désertement avec le petit contracteur, lui vendant elles-mêmes les efferts vont-ils. Besoin. C’est là une réforme morale qui fait leur bonheur. » Référence «Premier rapport annuel du service forestier», Documents de la Session (D.S.), 42, 5, app.20 du Rapport du Ministre des Terres et forêts pour 1908 (1909): 44-65. |
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10 | No d'identification : 20463 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire On demande des soumissions pour fournir 280 000 pieds d’épinette et de pin, et 140 000 bardeaux à l’agence du ministère de la Marine et des Pêcheries à Québec. Chaque soumission doit être accompagnée d’un chèque de 500$ pour garantir la conformité du contrat à la soumission. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (25 février 1910): 6, col. 4. |
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11 | No d'identification : 20464 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On a remarqué depuis longtemps qu’il est plus avantageux pour les compagnies de donner leur bois à souper avec entrepreneurs que de faire couper par des bûcherons à leurs gages. On a constaté que les mêmes bûcherons travaillant pour un salaire fixe font beaucoup moins de billots que quand ils travaillent pour leur compte. » Référence Le Nouveau Trois-Rivières (7 juin 1912). |
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12 | No d'identification : 20465 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le directeur de la compagnie s’abouche avec plusieurs gros contracteurs et leur propose les prix qu’il compte payer. Les entrepreneurs vont explorer le terrain. La totalité du bois à couper est répartie entre 3 ou 4 gros entrepreneurs qui à leur tour divisent leur contrat entre une foule de petits sous-contrats qu’ils placent parmi les habitants de leur village. Les sous-contracteurs vont aussi explorer le terrain et si les conditions leur paraissent satisfaisantes, ils commencent immédiatement à bâtir leur chantier à l’endroit le plus favorable. Il est avantageux de construire ces chantiers de bois rond avant l’hiver, car la neige et le sol gelé sont de grands obstacles. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (7 juin 1912). |
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13 | No d'identification : 20466 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Presque tous les principaux contracteurs de la région sont partis pour les chantiers qui promettent d’être satisfaisants cette année. » Référence Le Bien Public (15 octobre 1914): 6, col. 2. |
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14 | No d'identification : 20467 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un camp de 5 hommes se compose d’ordinaire d’un conducteur d’attelage, 2 bûcherons, un homme pour dégager, un homme pour placer les billots sur les voies roulantes. Une telle brigade produira environ 200 billots par jour. » Référence Le Digesteur (28 avril 1920): 3. |
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15 | No d'identification : 20468 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’entrepreneur principal prend son contrat à un prix fixé soit 7$, 7,50$ ou 8$ les mille pieds et il donne des sous-contrats à 6$ 6,50$ ou 7$ les mille pieds. Cet 1$ de profit que l’entrepreneur fait, généralement sans trouble et sans péril, est gagné au détriment du bûcheron. [...] Je suis d’avis que la compagnie devrait faire elle-même l’exploitation de sa forêt. C’était le système en vigueur, il y a quelques années. Il était bon. Il donnait satisfaction et les bûcherons désirent y revenir. Référence «Rapport de M. Morin au Premier Ministre sur la visite à Rouyn pour enquêter sur la grève; 27/12/1933», Documents de la Session (D.S.), 67, 70 (1934). |
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16 | No d'identification : 20469 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Lorsque la compagnie ne dirige par elle-même et à son propre, les travaux d’exploitation forestière, elle procède de deux façons différentes : ou elle en confie la direction à un entrepreneur général qui fait exécuter les travaux par plusieurs sous-entrepreneurs; ou elle les confie directement à plusieurs petits entrepreneurs. Dans le cas où elle donne son travail à un entrepreneur général, la compagnie établit un prix à la corde, aux mille pieds ou bien aux cent billes. Le bois devant être livré pour le flottage à un endroit spécifié, l’entrepreneur général recrute alors un certain nombre de sous-entrepreneurs à qui il accorde des sous-contrats à un prix fixe à la corde, aux 1000 pieds ou aux 100 billes, et inférieur à celui qu’il reçoit lui-même de la compagnie. Dans le contrat signé entre les sous-entrepreneurs et l’entrepreneur général, ce dernier fixe un prix pour le salaire des hommes aussi bien à la journée qu’à forfait. Ce prix est fixé avec l’entente que, si le sous-entrepreneur paie un salaire plus considérable, l’entrepreneur général n’en doit pas garantir la différence. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 9. |
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17 | No d'identification : 20470 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire À certains endroits, dans le contrat passé entre la compagnie et l’entrepreneur, il est stipulé que ce dernier devra s’approvisionner exclusivement aux magasins de la compagnie, suivant une liste de prix que lui soumet celle-ci au début du travail. [...] Si ce ravitaillement était laissé entre les mains des entrepreneurs, une défection de leur part pourrait compromettre irrémédiablement le succès des opérations de la saison, surtout aux endroits où les difficultés de transports, l’hiver, créent des conditions spéciales. En conséquence, elle se prémunit contre un risque de cette nature en constituant, à des prix convenus, l’approvisionnement certain de l’entrepreneur. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 120. |
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18 | No d'identification : 20471 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Distribution entre « petit jobber », « gros jobber » et concessionnaires. Façon d’opérer du « petit jobber » et type de contrat obtenu pour lui. Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 69-70-71. |
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19 | No d'identification : 20472 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Enquête concernant les salaires des ouvriers forestiers (copies de contrats entre compagnies, entrepreneurs et travailleurs forestiers). » Référence «Enquête concernant les salaires des ouvriers forestiers», Documents de la Session (D.S.), 67, 91 (1934). |
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20 | No d'identification : 20473 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Résumé : C’est Jean J. Crête qui se voit confier la coupe de bois par la Consolidated Paper Corporation. Le contrat est pour 120 000 cordes de bois de pulpe et il a nécessité l’embauchage de 3000 hommes. Référence Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 18. |
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21 | No d'identification : 20474 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Six mois durant, la société Crête emploie quelque trois mille hommes, pour alimenter de bois de pulpe quelques-unes des papeteries de la Consolidated Paper. » Référence Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 23. |
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22 | No d'identification : 20475 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire voir : Société Jean J. Crête limitée, de St-Jacques-des-Piles, faisant affaire avec la Consolidated Paper Corporation. Référence «Reportage dans les chantiers», Le Canada Français, 22, 5 (1942): 324-325. |
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23 | No d'identification : 20476 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Jean J. Crête, le roi de la Mauricie. » Référence Société historique industrielle, La Mauricie, futur Rurh du Canada, Montréal, La Société, 1956: 239 à 148. |
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24 | No d'identification : 20477 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Un nouveau chantier d’opération forestière, le plus considérable dans la vallée du St-Maurice, sera ouvert sur la rivière Mattawin, par Jean J. Crête, pour le compte et dans les limites forestières de la Consolidated Paper. Référence Le Nouvelliste (7 août 1940): 3, col. 7-8. |
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25 | No d'identification : 20478 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Jean Crête. » Référence Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 21, col. 1. |