Thème : Autres scieries |
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1 | No d'identification : 20370 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Voir : emplacement de scieries le long du St-Maurice. Référence Le Trifluvien, 34 (13 mars 1889): 2, col. 2. |
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2 | No d'identification : 20374 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Localisation des scieries vers 1895-1905 et en 1967. Technologie des scieries à turbine hydraulique. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 173-174-175. |
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3 | No d'identification : 20376 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Textuel et intégral : « Les scieries de notre ville sont à la veille de cesser les opérations pour cette saison. La scierie de M. Alex Baptist a scié au-delà de 300 000 billots; celle de M. Bremman, environ 200 000 et celle de Curtis et Cie, plus de 400 000. Quoique les gages ne soient pas très élevés, nos journaliers trouvent un emploi constant dans cette industries de bois, la plus importante de notre ville. » Référence L’indépendance canadienne (26 octobre 1895): 3, col. 4. |
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4 | No d'identification : 20695 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Arrangement entre Truman Kimpton et Henry Lemesurier, agissant en son nom et au nom de William Henry Tilston, marchand de Londres, et de Haviland Lemesurier Routh, marchand de Montréal, et James John Lowndes, marchand de Québec. Ces marchands lui avancent 4000 livres et plus contre quoi Truman s’engage à leur fournir tout le bois qu’il peut faire pour être vendu par eux avec une commission de 5%. Il s’engage aussi à leur payer un intérêt de 6 % sur la somme avancée. Il s’engage à livrer une quantité de bois qui ne sera pas inférieure à : « between 40 & 60 000 pine deals of assorted qualities and between 25 & 30 000 spruce deals also of assorted qualities and one load of boards, as soon as the navigation opens. » Pour assurer cette transaction, Kimpton hypothèque le lot # 23 du premier rang, township de Hunterstown, 200 âcres en superficie, avec un moulin à farine, 2 moulins à scie, une maison occupée par lui et à peu près 20 autres maisons ou bâtisses et environ 9000 âcres de terre dans le township. Notaire, E.O. Blackmeyer. Référence Bureau d’enregistrement de Trois-Rivières, Registres A et B, Date de passation, 2 novembre 1842. |
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5 | No d'identification : 20699 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Arrangement entre Truman Kimpton et William Parker de Caledonia, comté de Prescott, en vertu duquel Truman vend et transfère à Parker 1/4 indivise de toutes ses propriétés meubles et immeubles à Hunterstown. Environ 20 000 âcres de terre, moulins à scie, moulin à farine, dewelling house, wharves dams, forge, stables, sheds and all buildings. (Les closes monétaires n’y sont pas). Référence Bureau d’enregistrement de Trois-Rivières, Registres A et B, Date de passation, 23 novembre 1842. |
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6 | No d'identification : 20701 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Agreement entre Truman Kimpton et James Gibb, marchand de Québec. Celui-ci avance une somme de 5000 livres à Truman contre quoi celui-ci lui expédie tout le bois qu’il peut faire pour être vendu par Gibb avec une commission de 5 %, commission garantie par Truman, pas moins de 250 £, plus intérêt de 6%. Remboursement permis pour le premier novembre 1843. » Référence Bureau d’enregistrement de Trois-Rivières, Registres A et B, De date de passation, 25 octobre 1843. |
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7 | No d'identification : 20704 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire C’est le 7 mars 1828 que Truman Kimpton acquiert de James Ross les lots 24 et 25 du premier rang du township d’Hunterstown. Référence Bureau d’enregistrement de Trois-Rivières, Registres A et B. |
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8 | No d'identification : 20706 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Truman Kimpton serait venu vers 1822 visiter l’endroit appelé Moustique dans le canton Hunter’s town, accompagné d’un nommé Bazile Lavoie. Il aurait acheté une grande partie de ce canton en 1823. Kimpton construisit un moulin à scie, en 1824. Dès 1825, il est signalé comme existant. Plus tard, il ajouta un moulin à farine. Il était situé dans un endroit très avantageux, près de la grande rivière du Loup, à 2 milles plus haut que le village actuel de St-Paulin, faisant alors partie de la paroisse de St-Léon. La force motrice servant à activer ce moulin était fournie par les eaux de la rivière du Loup que l’on avait barrée, en utilisant une île située au milieu de la rivière. [...] On construisit aussi des maisons pour les employés. Un magasin fut ouvert par Kimpton. Cet endroit prit dans la suite de l’importance. Il s’y forma un village. Il y avait une population de 300 personnes. Le bureau de poste fut ouvert avec courrier 5 jours par semaine, venant de St-Léon. Les propriétés de la compagnie étaient éclairées au gaz en 1835. Un chemin fut ouvert du poste au chemin de Beauvallon, continuant jusqu’à celui de Renversi, qui était la continuation de celui de l’île Laglanderie, en la paroisse de St-Léon. Le chemin du Renversis fut verbalisé en 1827. Tout le bois scié du moulin était descendu par ce chemin, en voitures, à la Rivière-du-Loup, soit une distance de 15 milles, et on le disposait près de l’ancien pont situé à quelques arpents du pont actuel des voitures. Pour éviter des côtes et avoir un chemin plus direct, Kimpton fit ouvrir une route et construire un pont sur la rivière Chacoura, entre les concessions de l’île Laglanderie et St-Charles, dans la paroisse de St-Léon. Ce riche marchand de bois avait même fait paver en madriers de pin, une bonne partie du chemin entre le poste et la Rivière-du-Loup. Chaque une vingtaine de voitures, à double attelage, transportait le bois de sciage, en suivant le chemin jusqu’à la Rivière-du-Loup. Là, il était chargé, dans des chalands, qui le transportaient au lac St-Pierre pour être chargé sur les goélettes en destination des États-Unis, par le Richelieu, ou de Québec. En 1829, Kimpton concède certains lots dépouillés de bois de commerce. Il détenait en 1838, 16 000 âcres de terre, par achat. Le 27 octobre 1843, il acquit 4090 âcres et le 18 août 1854, 4302 âcres. Référence Écho de Saint-Justin (10 juin 1937): 1. |
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9 | No d'identification : 20711 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Vers 1820, Truman Kimpton étant devenu propriétaire d’une bonne étendue de terrain dans le canton d’Hunter’s Town, bâtit et exploita un moulin à scie, situé sur la rivière du Loup, à deux milles plus haut que le village actuel de St-Paulin, connu dans la suite sous le nom de Poste. Tout le bois produit à ce moulin était descendu en voitures, à Rivière-du-Loup, soit une distance de 25 milles, et chargé dans les barges, pour expédition aux États-Unis, par la rivière Richelieu. En 1829, Kimpton concède certains lots dépouillés du bois de commerce. Truman Kimpton obtient par achat 4090 âcres, le 18 août 1854. Le moulin à scie établi par Kimpton dans le canton donna l’essor à la colonisation. Ce moulin prit de l’importance et il se forma un village à cet endroit connu sous le nom de Poste de Hunter’s Town. En 1860, ce moulin devint la propriété de William Parker comme président de la compagnie Hunter’s Town Lumber et H.J. Taylor, trésorier. Référence Écho de Saint-Justin (1 juillet 1925): 5. |
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10 | No d'identification : 20714 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Vers 1820, un événement d’importance capitale survient dans la région : l’établissement d’une grande industrie. Truman Kimpton achète une vaste étendue de forêt dans le canton Hunterstown et bâtit une scierie sur la grande rivière du Loup. Kimpton améliore les chemins existants et en ouvre de nouveaux. Il bâtit sur la rivière Chacoura, entre le rang de l’île Laglanderie et celui de St-Charles, un raccourci et un pont qui porteront pendant plus d’un siècle le nom de Trémenne, celui même de l’industriel déformé par des bouches françaises. Une bonne partie du parcours est pavée en madriers de pin pour pouvoir porter de lourdes charges qui y passent. Chaque jour en effet une vingtaine de voitures à double attelage transportent le bois de sciage depuis le moulin jusqu’à la Rivière-du-Loup. Là, les planches sont chargées dans les chalands et portées au lac St-Pierre où on les transborde sur des goélettes qui voguent vers les États-Unis par la rivière Richelieu ou par l’Atlantique. Référence Germain Lesage, Histoire de Louiseville: 1665-1960, Louiseville, Presbytère de Louiseville, 1961: 156. |
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11 | No d'identification : 20719 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Notes of a trip to Hunterstown, St-Maurice territory. Notes sur la Hunterstown Lumber Co. Référence Charles Robb, Lumbering on the River du Loup: notes of a trip to Hunterstown, St. Maurice territory, Canada East, Montréal, John Lovell, 1862. |
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12 | No d'identification : 20720 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Au début du XIXe siècle, J.B. Baul construisait sur la rivière à la Lime un moulin à scie dont il devint propriétaire. Le bâtiment était de forme originale et c’est là que logea, il y a 40 ans, le cordonnier, conteur et chanteur, Théophile Bronsard. » Référence Édouard-Zotique Massicotte, Ste-Geneviève-de-Batiscan, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1936: 113. |
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13 | No d'identification : 20723 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire In carrying on operations on a large scale howerver, as designed by the Hunterstown Lumber company, it was obvious that a land transportation of sixteen miles of their manufactured produce to the shipping post would seriously curtaid their profits; and accordingly, having purchase 30 acres of land at the mouth of the river du Loup, they ericted there extensive steam saw-mills, with all the modern improvments, capable of manufacturing 6 millions feet, board measure, of lumber annually. The “Upper Mills”, as they are now called, at Hunterstown, have consequently been allowed to fall into disuse, except such postuns of the establishment as are required to supply the wants of the inhabitants of the township such as the grist-mill, clapboard and shingle machine and the store. The saw-mill also, though fallen somewhat to decay, is most useful in supplying the local demand. Référence Charles Robb, Lumbering on the River du Loup: notes of a trip to Hunterstown, St. Maurice territory, Canada East, Montréal, John Lovell, 1862: 7. |
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14 | No d'identification : 20724 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire For many years previous to the acquisition of this property by the present company (1858) lumbering was carried on to a limited extent in the township and the produce was manufactured at the village of Hunterstown at the south-eastern angle of the township where a succession of faces occurs on the main steam of the River du Loup, yielding unlimited water-power. Here, in addition to the saw-mill for fourteen years, cutting deals for the Quebec market, a grist-mill with four runs of stones had been erected by the previous proprietors, and a store established for the supply of the lumberers and former throughout the townships. Référence Charles Robb, Lumbering on the River du Loup: notes of a trip to Hunterstown, St. Maurice territory, Canada East, Montréal, John Lovell, 1862: 7. |
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15 | No d'identification : 20725 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description en 1862, de la Hunterstown Lumber de ses activités de Louiseville à Hunterstown. Référence Charles Robb, Lumbering on the River du Loup: notes of a trip to Hunterstown, St. Maurice territory, Canada East, Montréal, John Lovell, 1862. |
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16 | No d'identification : 20726 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En 1825, Truman Kimpton fait construire une scierie sur la rivière du Loup dans le township de Hunterstown. Référence Société historique industrielle, La Mauricie, futur Rurh du Canada, Montréal, La Société, 1956: 52. |
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17 | No d'identification : 20727 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’on trouve dans la place (recensement de 1931) 4 scieries [...] Joseph Coulombe a une scierie située sur la Grande rivière. Au village, Jean Tellier possède une scierie et une fabrique de potasse et de perlasse. Recensement du premier juillet 1831, archives paroissiales de Louiseville. Référence Germain Lesage, Histoire de Louiseville: 1665-1960, Louiseville, Presbytère de Louiseville, 1961: 163-164. |
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18 | No d'identification : 20729 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Augustin St-Louis s’associe à Benjamin Dumoulin en 1831 en vue de la construction d’un moulin à scie et à farine. Le pouvoir moteur était fourni par les eaux de la Grande Rivière au moyen d’un canal et d’une chaussée construits à grands frais. Solide construction en pierre à deux étages dont le premier avait à l’outillage des deux scies le long, et le deuxième aux moulinages à grain. (Sur la Grande rivière Yamachiche). Référence J.-Alide Pellerin, Yamachiche et son histoire: 1672-1978, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1980. |
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19 | No d'identification : 20730 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En 1834, William Price achète et réanime une scierie à St-Stanislas et lance l’exploitation forestière le long de la rivière Batiscan. Louise Deschênes, les entreprises de William Price, 1810-1850, histoire sociale, # 1, avril 1968, p.31. Dans les années qui suivent, Price acquiert quelques autres petites scieries et emplacements de scieries sur les rivières Batiscan et des Envies. Référence Benoît Gauthier, La sous-traitance et l’exploitation forestière en Mauicie 1850-1875, Mémoire de maîtrise (études québécoises), Trois-Rivières, Université du Québec à Trois-Rivières, 1984: 60. |
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20 | No d'identification : 20746 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire De 1840 à 1875, François Pépin exploite un moulin pour le sciage du bois (moulin Isaac Villeneuve) (sur la Grande Rivière Yamachiche). Référence J.-Alide Pellerin, Yamachiche et son histoire: 1672-1978, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1980. |
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21 | No d'identification : 20747 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Price aurait acquis les scieries de Batiscan en 1834. Les livres nous montrent qu’une scie ronde et des provisions y sont expédiées au printemps 1835. D’abord installée à quelques milles de l’embouchure de la rivière, la scierie est déplacée vers l’aval en 1845 pour des raisons techniques, ceci donnera lieu à des poursuites judiciaires de la part des habitants. Il s’agit d’une ancienne seigneurie des Jésuites et Price a des difficultés à se faire affirmer les forêts qu’il y exploite. Référence Louise Dechêne, William Price, 1810-1850, Thèse de licence, Québec, Université Laval, 1964: 61-62. |
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22 | No d'identification : 20749 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Suite à la faillite de J.U. Ritter, ce dernier met en vente tout le stock de bois dont il dispose à son moulin dans Caxton. Quantité des pièces de bois de pin et de pruche mises en vente, date et termes de la vente. Référence Le Journal des Trois-Rivières (23 décembre 1848): 2, col. 1. |
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23 | No d'identification : 20751 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Faillite de Honoré Colbert Richard, propriétaire d’un moulin à scie à vapeur sur la rivière Ste-Anne dans le district des Trois-Rivières (dans la paroisse de Ste-Anne-de-la-Pérade). Référence Le Journal des Trois-Rivières (3 février 1849): 2, col. 1. |
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24 | No d'identification : 20753 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Résumé : Le plus exploitant de la forêt est M. Edward Grieve. Il faisait la coupe dans la seigneurie du Cap-de-la-Madeleine (1837) et faisait sciage à la rivière Cachée près de la Gabelle. En 1839, il fait chantier à la rivière Cachée. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952. |
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25 | No d'identification : 20755 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Aux environs de 1840, on assiste à la construction du premier moulin à scie sur le ruisseau du rang St-Pierre. On retrace son évolution et ses transformations. Référence Louis-Paul Méthot, Album souvenir de St-Narcisse de Champlain, s.l., Comité organisateur des Fêtes du Centenaire, 1954: 38. |