Thème : Main-d'oeuvre des scieries |
Index thématique -> Exploitation des ressources forestières -> Scieries -> Main-d'oeuvre des scieries |
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1 | No d'identification : 21085 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le nombre total des hommes employés par les fabricants pour tirer leur bois et pour le faire scier au moulin des Grès, au moulin de Ste-Anne et au moulin de Batiscan, est de 750 environ. La maison Norcross et Philipps, qui a cessé de faire affaire dans l’été de 1857, employait ordinairement plus de 600 hommes. Référence «Rapport du comité spécial», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 21 (1863): 20. |
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2 | No d'identification : 21086 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les 2 immenses scieries de MM. Ward et Baptist qui sont situées à l’embouchure du St-Maurice, ont été en opération continuelle pendant tout l’été, et ont fourni de l’emploi à un nombre considérable de bras; on y a travaillé le jour et la nuit. Il est vrai que ces moulins ne marchent pas pendant l’hiver, mais les gens qui y sont employés ne restent pour cela sans occupation pendant cette rude saison. Au contraire, c’est pendant l’hiver qu’on dépeuple les forêts et qu’on prépare les matières qui alimentent l’été ces deux vastes scieries, et ce n’est pas le travail qui demande le moins de bras, de sorte que l’on peut dire que ce genre d’industrie donne de l’emploi pendant toute l’année. Référence Le Journal des Trois-Rivières (12 décembre 1865): 2, col. 1-2. |
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3 | No d'identification : 21087 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Incendie du moulin Ross et Ritchie. Une centaine d’employés y gagnaient le pain de leur famille. Près de 150 personnes selon le Journal des Trois-Rivières. Référence Le Constitutionnel (12 août 1878). |
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4 | No d'identification : 21088 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Les scieries de John Stanton de St-Léon sont encore en opération. La quantité de billots que ce moulin avait à scier durant l’été était considérable. L’on dit que M. Stanton coupera encore encore cette année une très grande quantité de billots et tout fait présager qu’il réalisera encore de grands profits l’an prochain. » Référence La Concorde (3 novembre 1882): 2, col. 5. |
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5 | No d'identification : 21089 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire 200 hommes ont été employés tout l’été à ces scieries et ont reçu au-delà de 5000$ par mois en salaire. Référence «Scieries Ross (Moulin des Américains)», Le Journal des Trois-Rivières (22 novembre 1883): 2. |
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6 | No d'identification : 21090 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Néanmoins, les scieries Hall, Neilson et Co. ont employé tout l’été au-delà de 200 hommes, payant chaque mois plus de 8000$ en salaire. Nous ne comptons ici que les hommes qui vivent directement de cette industrie et qui sont employés continuellement aux scieries. L’hiver, ces hommes vont sur le Haut St-Maurice dans les chantiers; et on nous annonce que l’hiver prochain, les chantiers seront encore plus considérables que les années dernières. Référence Le Journal des Trois-Rivières (15 novembre 1888): 2, col. 5. |
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7 | No d'identification : 21092 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les propriétaires des scieries se plaignent de la difficulté qu’ils éprouvent à se procurer la main-d’oeuvre nécessaire. Quoique les gages payés soient assez élevés, le fait que les employés des moulins à scie soient obligés de faire des journées de onze heures, explique peut-être cette difficulté. Référence Le Trifluvien (22 août 1905): 8, col. 2. |
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8 | No d'identification : 19883 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Rapport de Trois-Rivières par John Ryan. « Trois d’entre elles, employant de 400 à 450 hommes, ont fonctionné depuis le 1er juin et payé des gages variant de 1.10$ à 1.50$. Par suite de l’abaissement de l’eau, elles ont été obligées de fermer pour quelques jours en deux ou trois occasions. L’eau a augmenté dernièrement, ce qui va donner de l’ouvrage pour un mois. La saison du sciage dure habituellement de 4 à 4 1/2 mois. » Référence Gazette du travail (1 novembre 1901): 269. |