1 No d'identification : 21098 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Octave Girard et F. Larivière : informent respectueusement le public qu’ils ont ouvert une fabrique de cercueils, rue St-Roch, voisin de M. Trottier, forgeron. Ils ont un assortiment complet de cercueils de toute grandeur avec garniture en argent et plaque pour inscription.
M. Octave Girard fabrique lui-même les garnitures en argent et tous les autres accessoires des cercueils. Il argente aussi toutes espèces de métaux, telles que : vase sacré, ornement d’église, huilier, fourchette, cuillère, etc.
Il sollicite humblement ses amis et le public en général de lui accorder leur patronage.
Trois-Rivières, 15 février 1867. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (15 février 1867): 3, col. 3.

2 No d'identification : 21100 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Invention de M. T. Beaudry de Québec pour améliorer le rendement des scieries. Cette invention est expérimentée dans les moulins de M. Stoddard. Nouvelles scies caractérisées par l’absence des échasses, remplacées par une petite barre de fer dans laquelle les scies en haut sont mobiles, qui ne pèsent environ qu’une centaine de livres au lieu de 1000, 1600 et 1800 livres pour l’échasse. L’absence de ce poids énorme augmente beaucoup la rapidité du mouvement des scies. Au deuxième essai chez M. Stoddard, on a scié 1200 pieds de madrier en 11 minutes. Les scies n’étaient qu’aux 3/4 de la vitesse qu’on peut leur donner.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (16 novembre 1869): 2, col. 1-2.

3 No d'identification : 21101 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Invention technique simplifiant le travail de transformation dans les scieries, inventée à Trois-Rivières.

Référence
Le Constitutionnel, 2, 68 (15 novembre 1869): 2, col. 3.

4 No d'identification : 21102 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Nouvelle invention. Le mécanisme aujourd’hui employé pour retenir les faisceaux de scie pèse ordinairement de 2000 à 2200 livres. Celui de M. Beaudry est tout au plus de 600 livres. Maintenant sa vitesse est triple. L’ancien système donnait 125 révolutions; le nouveau 375. Les scies sont moins épaisses parce qu’elles n’ont pas besoin d’être tendues et le sciage plus uni, en sorte qu’on calcule généralement que sur 1000 billots, on épargne 1000 pieds de bois. Le trait de scie est toujours de la plus grande précision car la scie n’est plus exposée à dévier de son chemin.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (26 octobre 1871): 2, col. 2.

5 No d'identification : 21103 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« On demande un ouvrier pour prendre soin d’un petit moulin à scie. S’adresser à ce bureau.
Trois-Rivières, le 14 avril 1873. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (14 avril 1873): 3, col. 2.

6 No d'identification : 21104 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Nous apprenons avec plaisir qu’une compagnie commerciale de Chambly doit faire ériger prochainement une grande manufacture de bois sur le littoral du fleuve à l’endroit appelé Port St-François dans la paroisse de Nicolet.
Ce sera le troisième grand établissement de ce genre que possédera la paroisse de Nicolet. Nous nous réjouissons de voir ces industries prendre naissance dans notre district, car elles contribuent à notre commerce.
Il n’y a pas 20 ans, Trois-Rivières et Nicolet étaient stationnaires, et aujourd’hui ces deux localités progressent de pair et promettent de devenir des centres d’affaires importants. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (26 mars 1874): 2, col. 5.

7 No d'identification : 21105 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Contrat pour la construction d’une manufacture de fuseaux, rouleaux et autres articles de ce genre.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (6 juillet 1874): 3, col. 2.

8 No d'identification : 21106 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Nous voyons par le rapport de la séance du 26, que le conseil de ville a été informé que la compagnie de fabrique d’allumettes dont nous avons parlé, a l’intention de s’établir en cette ville, pourvu que la corporation lui accorde une exemption de taxes pour quelques années.
Nous avons tout lieu d’espérer que les membres du conseil accorderont cette exemption à titre d’encouragement et ne priveront pas la ville des avantages d’un pareil établissement. Le manque d’ouvrage pour la classe ouvrière, la profonde misère qui en a été le résultat pendant l’hiver sont des raisons majeures en faveur de l’exemption demandée. Du reste, comme nous l’avons déjà dit, le progrès de la ville est dans l’établissement des manufactures ici, et nous ne pouvons que réclamer un généreux encouragement et pour celles déjà établies et pour celles qui sont projetées. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (29 avril 1875): 3, col. 1.

9 No d'identification : 21108 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« À vendre.
Les mouvements complets d’un moulin à scie ronde, en bon ordre, comprenant les arbres de couches, poulies, etc., et une roue Leffel de 26 pouces.
Aussi, un moulin à bardeaux en bon ordre.
John McDougall et fils. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (4 décembre 1876): 3, col. 2.

10 No d'identification : 21110 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Les marchands de bois disent que la saison prochaine leur promet d’excellentes ventes sur les marchés d’Europe. »

Référence
«Notes locales», Le Trifluvien (30 mars 1892): 3, col. 3.

11 No d'identification : 21111 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dans l’industrie du bois, quelques scieries ont dû suspendre leurs opérations par suite des inondations sur la rivière St-Maurice. Les estacades aux Piles et à Grand-Mère ont été brisées, mais sont en voie de réparation, et le travail reprendra la semaine prochaine. Un million et demi de billes devront être sciées durant la saison.

Référence
Gazette du travail (1 juin 1902): 742.

12 No d'identification : 21112 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Dans le commerce de bois, tous les moulins ont été bien employés, et l’on s’attend à ce que le sciage des billots soit très considérable durant toute la saison. »

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (5 novembre 1909): 7, col. 7.

13 No d'identification : 21114 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
(Partie des comtés de Montcalm, Berthier, Joliette et Maskinongé)
Pas une seule de ces scieries ne possède un pied de milite si ce n’est qu’une couple de lots achetés directement ou indirectement de la Couronne. Tous ces 71 établissements dépendent uniquement des colons pour leur approvisionnement de bois.
On y travaille par intermittence, de 2 à 5 mois par an. Le personnel employé durant cette période ne dépasse pas 450 personnes. Suivant moi, il n’y a pas trop de ces établissements. Une ou deux scieries par canton suffiraient amplement pour les besoins locaux. C’est dire qu’au lieu de 71 scieries, il ne devrait y en avoir ici que 35 au plus. Par l’épuisement des lots, cette diminution se fera forcément, mais il sera peut-être trop tard pour que les 35 scieries qui avaient le droit d’exister aient des approvisionnements constants.

Référence
«Premier rapport du service forestier», Documents de la Session (D.S.), 43, 5, RMTF pour 1909 (1910): 70.

14 No d'identification : 21115 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Une turbine ou une roue à aubes reliée à un arbre de couche imprimait un mouvement de va et vient à une scie de long placée à la verticale. Dépendant de la grosseur des engrenages, la voie mordait dans les billes de 50 à 60 fois à la minute. On arrivait ainsi à faire un trait dans les billots de 13 pieds en l’espace de 7 à 8 minutes.

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952.

15 No d'identification : 21116 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La scierie des Grès débitait en moyenne 80 000 gros billots de pin et d’épinette par saison.

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 18.

16 No d'identification : 14731 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Nombre et capacité annuelle des scieries dans chaque comté en 1938. »
(Tableau)

Référence
Esdras Minville, La forêt, Montréal, Fides, 1944: 243.

17 No d'identification : 14733 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Auteur: P.E. Paquette.

St-Stanislas-de-Champlain: 2 scierie [sic]
St-Stanislas: 1 menuiserie générale, portes et châssis.

tiré du tableau F
« Nombre, nature et répartition des établissements travaillant le bois dans la région du St-Maurice. »

Référence
Paul-Émile Paquette, «L’économie forestière de la vallée du St-Maurice», L’actualité économique, 23 (1 janvier 1947): 533-534.

18 No d'identification : 14747 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Vers 1860, un certain Thibeault de St-Narcisse exploitait un moulin à scie sur la Batiscan, sur le site de l’actuel barrage hydro-électrique. [...] décider Price à acheter la scierie Thibeault (3). La scierie de la Chute Plate fut alors démantelée et reconstruite en amont, au pied des chutes qui prirent le nom du gérant local de la compagnie Price, les Chutes à Murphy.

La compagnie Price choisit le site des chutes à Murphy à deux milles en aval du village de St-Stanislas, pour utiliser la force hydraulique de la rivière et vraisemblablement pour éviter que les “billots” ne se détériorent en sautant les chutes (4). La nouvelle scierie érigée sur la rive droite de la Batiscan mesurait une centaine de pieds de longueur. »

3 Depuis ce temps (1898), Price détient les lots 557, 835 et 837, et parties 555, 561 à 564, 568, 570, 585, 589, 835 à 837 du cadastre officiel de la municipalité de St-Stanislas de Champlain.

4 INNIS, H.A. and Lower, A.R.M. Canadian economic History 1783-1885, The Toronto University Press, Toronto, 1933, p. 517.
Le texte suivant: “Five (5) miles above (Ste-Geneviève), Mr Price’s sawmill, of an annual capacity of 8 000 000$ to 10 000 000 feet, sent its number down a long shoot or ‘dahl’ of 3 miles in lenght [...]” - ce texte sous-entend que les “billots” (Ximber) étaient sciés à la tête des Chutes et que seuls les ‘bois carrés” (lumber) descendaient la dalle vers les barges d’expédition. Ce ne serait donc que plus tard, dans les deux dernières décennies du XIXe siècle, que les bois de sciage empruntèrent la route de terre entre la scierie et les quais de St-Geneviève. Pendant une troisième période (1898-1928), les “billots” auraient été “dravés” jusqu’à la nouvelle scierie installée à Batiscan. »

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 132-133.

19 No d'identification : 14729 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« [...] par contre, St-Stanislas a un moulin à moudre le blé et trois moulins à scie. Évidemment, l’industrie forestière s’est éloignée des terres défrichées pour se rapprocher des régions en “bois debout”. »

Référence
Édouard-Zotique Massicotte, Ste-Geneviève-de-Batiscan, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1936: 33.

20 No d'identification : 14728 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Un violent incendie a détruit hier soir le moulin à scie et à farine de Monsieur B. Cossette, à St-Stanislas.
Les pompes du village ne fonctionnaient pas.
Dommages.
St-Stanislas, 22 - - Le moulin à scie, à farine et à carder de Monsieur Bruno Cossette a été détruit hier soir par un incendie, qui a duré une partie de la nuit. Les dommages sont évalués à plus de 15 000$.
Vers huit heures et demie, hier soir, les flammes, qui ont mis en cendres le moulin de Monsieur Bruno Cossette, furent découvertes à l’étage inférieur du moulin à scie.
En peu de temps elles se communiquèrent à l’étage supérieur et au moulin à carder. Comme il y avait de la laine à cet endroit les flammes y formèrent un véritable brasier. Le moulin à farine y passa aussi. Aussitôt que le feu fut découvert on fit venir les pompes du village, mais, par surcroît de malheur, elles ne fonctionnaient pas; on dut mander les pompes de St-Narcisse, paroisse voisine, qui arrivèrent en toute hâte.
Les pompiers volontaires travaillèrent jusqu’à deux heures après minuit. Les pompes furent installées au bord de la rivière des Envies. Sous l’habile direction de Monsieur Bruno Cossette et de Monsieur Joseph Mongrain, les flammes furent enfin contrôlées et les résidences avoisinantes, dont celle de Monsieur Cossette, furent sauvées de la destruction.

Des milliers de personnes du village, des rangs et des paroisses environnantes s’étaient rendues sur les lieux. »

Référence
Le Nouvelliste (22 juin 1928): 1, col. 5.

21 No d'identification : 14719 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« C’est à St-Stanislas, sur la rivière des Envies, que sont installés les moulins à scie et à farine de Messieurs Marchands et Lafrance. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (15 mars 1875): 2, col. 1.

22 No d'identification : 14716 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« À vendre.
Le soussigné a à vendre un assortiment complet de bois de construction: madriers, planches, bardeaux, etc., etc.

Le tout à prix modérés.
Il informe également qu’il est agent pour la Compagnie d’Assurance Mutuelle “Hochelaga”.
St-Stanislas, 24 mai 1877, Tiburce Lafontaine. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (24 mai 1877): 3, col. 3.

23 No d'identification : 14715 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« A vendre, moulin à scie et à farine à St-Stanislas, tout neuf en pleine opération.
S’adresser à Jos Shouter, B. River ou Thiburce Lafontaine, St-Stanislas. »

Référence
Le Constitutionnel (13 décembre 1875): 3, col. 1.

24 No d'identification : 14703 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
En 1831, il y a 10 scieries à St-Stanislas.

Référence
Recensement du Canada, 1831.

25 No d'identification : 14702 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
En 1844, il y a 5 scieries à St-Stanislas.

Référence
Recensement du Canada, 1844.