1 No d'identification : 21174 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La formation de Consolidated Paper et ses composantes ...

Référence
Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 39 à 45.

2 No d'identification : 22787 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Évaluation de la production des usines de pâtes et papiers dans la Mauricie.

Référence
Le Nouvelliste (22 août 1925): 17, col. 1-2.

3 No d'identification : 22740 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Notes « sur l’industrie de la pulpe » tirées d’une esquisse par M. J.H. Lefebvre, lue devant la Chambre de commerce de Montréal le 9 nov. 1894.

Référence
Le Trifluvien (27 novembre 1894): 4, col. 1-3.

4 No d'identification : 22741 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
L’industrie de la pulpe de bois a été encouragée par les conservateurs.

Référence
Le Trifluvien (25 juin 1895): 3, col. 1.

5 No d'identification : 22743 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Premières industries de pâtes et papiers de la Mauricie: « En 1900, notre seconde usine à papier a été fondée à Shawinigan par la Belgo-Canadian Pulp Company, organisée à Bruxelles en 1900. Ferdinand C. Van Bruyssel, ancien consul-général de Belgique au Canada et représentant canadien d’un groupe de banques belges, semble avoir animé toute cette entreprise dont M. H. Biermans fut gérant-fondateur. Durant trois ans, la Belgo n’a fabriqué que de la pulpe. Mais la pulpe ne payait pas. En février 1904, une première machine à papier était en mouvement à cette usine Shawiniganaise. Une deuxième a produit du papier à l’automne de la même année. »

« En 1908, une ville nouvelle est fondée en Mauricie autour de la Brown Corporation. Ville et usine naissent en même temps à La Tuque. Des intérêts de Berlin, N.H., ont bâti cette pulperie. »

Référence
Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 14, col. 7.

6 No d'identification : 22748 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Le bois de pulpe entre en franchise aux États-Unis tandis que la pulpe et le papier sont taxés. Le Canada fournit 50% du bois de pulpe aux États-Unis. Le journal exige que le gouvernement Parent ne concède pas « une limite à bois » sans la condition que le bois soit manufacturé sur place.

Loin de s’engager dans cette direction, le gouvernement s’est engagé pour 10 ans à ne rien changer à la situation.

Il faudra sans doute quelque temps avant que l’opinion soit éveillée pour de bon. Pendant ce temps, les « gros bonnets américains sont de bonne humeur ».

Référence
Le Trifluvien (26 février 1904).

7 No d'identification : 22750 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Notre commerce de bois de Pulpe. »

Référence
Le Trifluvien (20 octobre 1905): 4.

8 No d'identification : 22751 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Article de C.C. Pichet, ingénieur forestier, Département des terres et forêts.

En 1906, l’état de New-York possédait 87 usines à pulpe produisant journellement 3561 tonnes de pâte mécanique et chimique. Par la suite, l’auteur fait l’inventaire de la capacité de production des boisés de l’état pour démontrer que la consommation est beaucoup trop forte pour la capacité des boisés, de sorte que cet état doit nécessairement s’approvisionner ailleurs. Il conclut que la même situation prévaut dans d’autres états des États-Unis et qu’elle surviendra sans doute ici au Québec, et qu’il est désormais temps de faire des économies et de protéger efficacement ce qui nous reste de forêts.

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (30 septembre 1909).

9 No d'identification : 22753 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La Wayagamack est la doyenne de nos usines à papier aux Trois-Rivières mêmes. Elle fut bâtie en 1911-1912 sur l’île de la Potherie et a commencé à produire en août 1912. Ainsi, l’industrie du papier est venue s’ajouter dans notre ville à celle du fer... et à celle du coton... Les fondateurs principaux de la Wayagamack ont été M. C.R. Whitehead et son ami de toujours, Me J.N. Greenshields, de Montréal, lequel fut l’avocat de Louis Riel et, comme courtier, un des principaux fondateurs d’industries dans notre région. Ajoutons à cette galerie de fondateurs un autre nom, celui de M. L.G. Graig, beau-frère de Charles R. Whitehead. Car le trio Whitehead - Greenshields - Graig fut à la tête de la fondation de la Wayagamack, comme il avait été trois ans plus tôt, à la tête de la fondation de la Wabasso. »

Référence
Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 15, col. 1.

10 No d'identification : 22756 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Historique de plusieurs paroisses de la région tiré d’un livre d’Hormidas Mayrand: Grand’Mère: « Laurentide Pulp and Paper », La Tuque: « St-Maurice Industrial Co. », Shawinigan: nom pas mentionné.

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (23 août 1912): 3, col. 3-6.

11 No d'identification : 22758 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Des villes modernes et prospères comme Shawinigan Falls et Grand’Mère ont su et ont, comme ainsi dire, surgi de la solitude et de la forêt. Cinq compagnies industrielles, entre autres, Belgo-Canadian Pulp et Paper Co., la Laurentide Pulp, la Canada Carbide Co., et la Northern Aluminium, ont investi, dans la vallée du St-Maurice, en ces dix dernières années, des capitaux énormes dont le total se chiffre à peu près de vingt-cinq millions de dollars (25 000 000,00). »

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (29 octobre 1915): 2, col. 3.

12 No d'identification : 22761 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Bâtie en 1919-1920, la “Canadian International”, la plus grande usine à papier de l’univers, a commencé à produire en 1921.

La “St-Lawrence Paper Mills”, bâtie en 1922, a commencé à produire en 1923.

En décembre 1925, la “Wayagamack News” s’est ajoutée à la “Wayagamack Pulp and Paper” et l’industrie du papier journal a marché de pair avec celle du papier Kraft dans les grandes usines de l’île de Potherie. »

Référence
Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 15, col. 4.

13 No d'identification : 22764 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La Canadian International Paper commençait à peine à produire du papier que déjà on parlait de l’établissement d’une autre usine du même genre aux Trois-Rivières. Le 5 août 1921, la compagnie Three Rivers Pulp se procura un permis de construction. Mais les travaux ne devaient commencer que le printemps suivant [...] les travaux ont débuté pour de bon le 10 mai 1922. Le 9 juin de la même année, la compagnie était rebaptisée sous le nom de la St-Lawrence Paper Mills. »

Référence
Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 15, col. 7.

14 No d'identification : 22766 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La Three Rivers Shipyards se plaint des prétendus empiétements sur son terrain. La cité avertira aujourd’hui même la St-Lawrence Paper Mills Ltd qu’elle ne se reconnaît aucunement liée par les travaux de rues exécutés par la compagnie pour le compte de la cité elle-même. On sait que le boulevard St-Olivier est à s’exécuter depuis quelque temps par la St-Lawrence Paper Mills qui avance l’argent nécessaire à la ville, et exécute même les travaux, dont le coût sera défrayé par la ville lorsque celle-ci le pourra légalement.

Dans la résolution autorisant la compagnie à agir ainsi, il était dit que celle-ci devait fournir à la cité gratuitement l’espace de terrain nécessaire pour établir la nouvelle rue, sur la propriété de la Three Rivers Shipyards. Or, M. Lamb, représentant le liquidateur Scott, ici, aux Trois-Rivières, portait à la connaissance de l’hon. Dr Normand, hier, que la St-Lawrence Paper a empiété sur le terrain de la Three Rivers Shipyards et y a fait des travaux sans l’autorisation du liquidateur.

MM. Robichon et Lamy considèrent que c’est là une violation d’une condition express arrêtée entre la compagnie et la ville pour l’exécution des travaux, et que, comme conséquence, la ville ne doit pas être liée par les travaux faits jusqu’ici par la compagnie.

De plus, M. l’échevin Dubé a fait remarquer que ce n’était plus la saison pour faire du pavage, et cet argument a été ajouté dans l’avertissement à donner à la compagnie.

M. Robichon a rédigé une proposition portant en substance que le conseil, étant averti par M. Lamb que la compagnie St-Lawrence Mills exécute des travaux sans avoir au préalable procuré à la ville les terrains mentionnés dans la résolution autorisant ces travaux, ait à déclarer que la ville ne se considère liée d’aucune façon pour les travaux de la compagnie, surtout qu’ils sont exécutés à cette époque avancée de l’année. »

Référence
Le Nouvelliste (5 novembre 1922).

15 No d'identification : 22770 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les travaux de la St-Lawrence Paper:

« Tout a l’air que les nouvelles rues que l’on projette d’ouvrir dans l’ouest, soit les rues Normand, St-Olivier et St-Laurent, et les rues qu’on avait décidé de prolonger, comme les rues Royale, St-Philippe, St-Denis, vont donner lieu à une controverse entre la ville et la St-Lawrence Paper. On se souvient que par résolution du conseil, la St-Lawrence Paper avait été autorisée à faire des travaux, avec le concours de l’ingénieur de la cité, et à avancer les fonds nécessaires qui lui seraient remboursés par la ville, quand, disait la résolution, la ville pourrait légalement le faire.

Or, hier soir, par l’entremise de ses procureurs, la compagnie a adressé une lettre au conseil, demandant quelles mesures la ville avait prises pour effectuer le remboursement de l’argent qui a dû être déboursé jusqu’ici par la compagnie et demandant aussi les intentions de la ville quant à la finition des chemins.

M. l’échevin G.H. Robichon a rappelé que la résolution plus haut mentionnée autorisait la confection des travaux par la compagnie et le remboursement de leur coût par la ville, à condition que la compagnie eût cédé d’avance les terrains nécessaires à l’ouverture des rues, soit une partie des terrains appartenant à la “Three Rivers Shipyards” et une autre, à Mme Vve Lamy.

M. Robichon a fait observer que ces terrains n’avaient pas encore été cédés malgré l’avis déjà donné par le conseil que tous travaux effectués avant cette procédure ne seraient pas reconnus par la ville.

M. l’échevin J.D. Lampron a aussi émis l’opinion que la ville ne se mêle pas de la chose et ne négocie avec la St-Lawrence Paper qu’après avoir obtenu les terrains de la compagnie.

En définitive, le conseil a décidé que M. Arthur Béliveau réponde à la compagnie que la ville attend l’acte de possession des rues avant de déposer tout acte quelconque. Une motion pour autoriser la Three Rivers Traction à prolonger ses voies jusqu’à la nouvelle pulperie, en passant par quelques-unes des rues à ouvrir, est restée sur la table pour n’être apportée qu’après la cession des terrains à la ville. »

Référence
Le Nouvelliste (27 mars 1923).

16 No d'identification : 22772 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Nos exportations de pâtes et papiers. » (chiffres) (Elles ont augmenté de 23 429 726$ au cours de l’année 1923.)

Référence
Le Nouvelliste (5 janvier 1924).

17 No d'identification : 22777 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Des chiffres inédits établissent la valeur de la production de la pâte à papier et du papier dans notre région à plus de 40 000 000 par an. »

Référence
Le Nouvelliste (9 janvier 1924).

18 No d'identification : 22778 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Limiter l’exportation de notre bois de pulpe. »

La Canadian Pulp and Paper Association demande la conservation de nos richesses hydrauliques et forestières.

Référence
Le Nouvelliste (24 janvier 1924).

19 No d'identification : 22780 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Les travaux à la St-Maurice Paper. » La pulperie du Cap commencera des travaux pour plus d’un million et demi.

Référence
Le Nouvelliste (7 mars 1924).

20 No d'identification : 22781 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La St-Maurice Paper va être expropriée » si elle refuse de vendre à la ville le terrain requis pour l’aqueduc.

Référence
Le Nouvelliste (16 mai 1924).

21 No d'identification : 22782 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Fusions de compagnies:

« La Wayagamack News a été inaugurée solennellement le 17 décembre 1925. La compagnie de l’île de la Potherie a alors rejoint l’industrie du papier journal, après avoir fabriqué du papier kraft depuis 1912.

En 1925, une fusion des deux compagnies de papier eut lieu dans la vallée du St-Maurice quand la St-Maurice Valley Corporation fut incorporée pour amener sous une même direction les usines à papier “Belgo” de Shawinigan Falls et St-Maurice du Cap-de-la-Madeleine.

En 1928, une deuxième fusion eut lieu quand la “Canada Power & Paper Corporation” fut incorporée pour inclure la St-Maurice Valley Corporation (les usines de Belgo et de St-Maurice) ainsi que la Laurentide à Grand-Mère. Une nouvelle réorganisation a groupé en 1931 dans la Consolidated Paper Corporation, la Wayagamack des Trois-Rivières, la St-Maurice (maintenant la Wayagamack) du Cap-de-la-Madeleine, la Belgo de Shawinigan et la Laurentide de
Grand-Mère. »

Référence
Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 15, col. 8.

22 No d'identification : 22786 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
L’article énumère les avantages (forêts, électricité) qu’offre la région pour l’industrie des pâtes et papiers. Il évalue aussi la production des usines à papier.

Référence
Le Nouvelliste (4 juin 1925): 5, col. 2-3.

23 No d'identification : 22788 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La richesse que nous apportent les usines de papier. » Une pulperie qui fabrique 500 tonnes par jour emploie près de 2 500 hommes et paie 3 000 000$ de salaires par an.

Référence
Le Nouvelliste (19 octobre 1925).

24 No d'identification : 22789 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Une délégation de la Mauricie se rend à Québec, pour demander au gouvernement provincial qu’il fasse en sorte que les moulins à papier fonctionnent régulièrement (en regard avec la crise du papier).

Référence
Le Nouvelliste (29 janvier 1930): 1, col. 4-5.

25 No d'identification : 22790 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
À travers un historique de la naissance de La Tuque, l’auteur, Albert Plouffe, explique le rôle joué par la forêt sur le développement de la ville.

Histoire que la Brown Corporation surtout, parle de sa formation, construction, production, etc.

Référence
Le Nouvelliste (31 juillet 1935): 11-14-16-18-20-21.