Thème : Bois de chauffage - divers |
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1 | No d'identification : 20389 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « À vendre, 500 cordes de bois à 5 S. M.L.C. Chenevert. » Référence L’Ère Nouvelle (31 janvier 1861): 3, col. 1. |
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2 | No d'identification : 20390 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Est par le présent donné que ceux qui ont du bois de corde à vendre, tel qu’érable, merisier et épinette rouge, trouveront à le vendre à bon prix aux soussignés. Wm Gildas & Cie Champlain, 15 avril 1868. » Référence «Avis», Le Journal des Trois-Rivières (17 avril 1868): 3, col. 4. |
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3 | No d'identification : 20398 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire À vendre, 1200 cordes de bois de corde de 3 pieds de long, moitié bois franc et moitié bois mou, et aussi 5000 piquets de cèdre, tout le bois sera livré à la Rivière-du-Loup (en haut) dans le courant du mois de mai prochain. S’adresser à Pierre Héroux, St-Sévère. Référence Le Constitutionnel (14 avril 1875): 3, col. 2. |
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4 | No d'identification : 20410 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « À vendre. À bon marché. Bois de corde mêlé, cèdre de toute dimension, bois de charpente et bois rond (round timber). G. & A. McDougall Trois-Rivières, 6 mai 1878. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (9 mai 1878): 3, col. 2. |
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5 | No d'identification : 20419 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Vente de cordes de bois, poteaux, perches en cèdre. Référence «Annonce», Le Trifluvien (20 juin 1893): 2, col. 6. |
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6 | No d'identification : 22668 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On nous informe que la corporation, prenant en considération l’extrême rareté du bois de chauffage et le prix élevé auquel il se vend en ce moment, a fait des démarches auprès du gouvernement militaire pour obtenir qu’il lui cède une centaine de cordes de son bois de réserve, et qu’il est probable que ces démarches seront couronnées de succès. Par ce moyen, l’on pourrait fournir aux pauvres, à un prix comparativement modique, du bois pour se chauffer d’ici à l’ouverture de la navigation. » Référence «Bois de chauffage», Le Journal des Trois-Rivières (21 avril 1868): 3, col. 3. |
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7 | No d'identification : 22669 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « M. V. Brunelle, de la paroisse de St-Étienne, a en vente dans cette paroisse, à la jetée de M. Gouin, plusieurs centaines de cordes de bois franc de trois pieds. Ceux qui en ont besoin pourront s’adresser à M. Brunelle qui leur vendra à des conditions libérales. Le bois sera livrable à St-Étienne ou aux Trois-Rivières. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (24 mars 1870): 3, col. 4. |
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8 | No d'identification : 22670 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « 200 cordes de bois franc à vendre, de trois pieds français première qualité, sur la Rivière-du-Loup, en bonne place pour chargement. Pour les conditions, s’adresser à A. Gouin-Lajoie, Yamachiche. » Référence Le Constitutionnel, 46 (21 septembre 1870): 3, col. 1. |
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9 | No d'identification : 22671 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire À vendre à bon marché pour argent comptant, 300 cordes de bois de chauffage de bonne qualité. S’adresser à J.R. Rankins et Co. Manufacture de cannelle. Référence Le Constitutionnel (15 décembre 1875): 3, col. 1. |
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10 | No d'identification : 22672 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Il y aura beaucoup d’ouvrage cet hiver pour la classe ouvrière. Il doit se faire quantité de billots de traverses (ties) et 5 000 à 6 000 cordes de bois pour le chemin de fer Q.M.O. & O. Référence «Notes locales», Courrier de Maskinongé (28 septembre 1880): 2, col. 2. |
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11 | No d'identification : 22673 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire M. Louis Pagé tient constamment en vente près de la gare de cette ville, toutes les qualités de bois requises pour le chauffage: Bois de corde de toute dimension, bois franc, bois mou de toute qualité, etc. Le bois est transporté aux domiciles des acheteurs immédiatement après la réception des commandes. Prix modérés. S’adresser sur les lieux à Louis Pagé. Référence Le Journal des Trois-Rivières (21 janvier 1884): 3, col. 1. |
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12 | No d'identification : 22674 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire On trouvera à l’enclos de M. Harrey Buckley, à la gare du chemin du Nord, toute espèce de bois de chauffage à des conditions très avantageuses. Bois mou pour la cuisine, bois mêlé, bois franc, à la corde ou autrement. Toutes les facilités désirables sont offertes aux acheteurs. On fait transporter le bois dans les cours sur demande. Référence Le Journal des Trois-Rivières (13 juillet 1885): 3, col. 1. |
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13 | No d'identification : 22675 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Voir région de la Mattawin et bois de chauffage. On annonce le début de la construction d’un chemin de fer devant atteindre la Mattawin partant de Trois-Rivières. On parle de quantités immenses de bois de chauffage et de service qui pourrissent sur place dans la vallée de la Mattawin et de la Croche, faute de bonnes communications avec Trois-Rivières. Référence La Paix, 12 (23 décembre 1887): 2, col. 4. |
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14 | No d'identification : 22676 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le trafic de cette voie ferrée (le chemin des Piles) consiste presqu’exclusivement dans le transport du bois mais il est déjà énorme. Le premier grand résultat qu’on a immédiatement retiré a été une baisse assez marquée sur le prix des bois de chauffage qui tendait à une hausse exorbitante. La cité de Montréal qui achète actuellement une grande quantité de bois de corde du St-Maurice, en a largement bénéficié. Le commerce d’écorce de pruche qui alimente les tanneries de Québec a également son foyer sur le chemin des Piles. Référence La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 27. |
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15 | No d'identification : 22677 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les colons des Laurentides désireux de fournir aux citoyens des Trois-Rivières, aux conditions les plus avantageuses, le bois de corde qu’ils exploitent sur leurs terres nouvelles, se sont constitués en association, sous la présidence de M. le curé de Ste-Thècle. Les bois sont de première qualité, coupés à la scie, livrés sur la ligne du chemin de fer ou sur les chars, selon le désir des acheteurs, soit comme bois de poêle d’un pied, soit en dimensions plus considérables. Ces bois sont l’érable, le merisier, l’épinette et autres essences. Les colons des Laurentides espèrent donner entière satisfaction à leurs clients comme prix, qualité et mesure. En retour, ils comptent sur l’encouragement des citoyens des Trois-Rivières qui, en s’approvisionnant directement chez le colon, contribueront puissamment au défrichement de ces terres incultes, tout en payant bon marché. On peut s’adresser soit au président, soit à Théodore Dupuis, secrétaire de l’association. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (14 mai 1888): 2, col. 5. |
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16 | No d'identification : 22678 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On mande de Ste-Thècle que les habitants de cette localité font cet hiver une grande quantité de bois carré d’érable, de merisier et de fresne, et à des prix très rémunérateurs. On peut juger de la richesse de forêts de bois franc de cette région par le fait qu’on y trouve très souvent des arbres d’une valeur de 20$ à 25$. Avant la construction du chemin de fer, ces arbres étaient brûlés sur place pour défrichement et imposaient un rude travail au colon au lieu de lui rapporter de l’argent. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (14 février 1889): 2, col. 4. |
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17 | No d'identification : 22679 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Rapport de Trois-Rivières. Une grève réduit les approvisionnements en charbon. Le correspondant dit que les particuliers n’ont pas éprouvé d’embarras par suite de l’abondance de bois provenant des scieries. La grève n’a pas occasionné de misère ou de manque d’emploi. L’on a brûlé de 400 à 500 cordes de bois franc durant l’automne, en attendant la fin de la grève. Le bois franc se vendait 75 cents de plus par corde. L’on n’a remarqué aucun autre effet sur les prix. Référence Gazette du travail (1 novembre 1902): 348. |
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18 | No d'identification : 22680 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Récit de voyage par E. Liane. Nous voici à la Pêche où je note en passant la grande exploitation forestière de MM. Drummond. Ces industriels y font couper de grandes quantités de bois de chauffage pour l’alimentation de leurs 13 ou 14 fourneaux des Piles. On jugera de l’importance de ces opérations quand on saura que chaque fourneau consomme par fonte, environ 55 cordes de bois. Déjà les Drummond ont fait faire [à] la Pêche de grands défrichements, qui amèneront probablement avec le temps un établissement assez considérable à cet endroit. Pour le moment, le bois est coupé, charroyé sur le bord du Saint-Maurice, où on le lance à l’eau par une glissoire qui surplombe la rivière. Il est ensuite recueilli, chargé à bord de chalands et conduit aux Piles. Ces opérations donnent de l’emploi à un bon nombre de colons. Référence Le Trifluvien (9 octobre 1894). |
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19 | No d'identification : 22683 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les gros froids vers le temps des fêtes ont donné l’éveil aux gens de s’approvisionner de beaucoup de bois de chauffage. Une grande quantité a été charroyée sur le pont de glace du Lac Ignace. La coutume se généralise de se faire du bois de chauffage un an d’avance. À force d’en prendre sur les terres avoisinantes, le bois recule ses limites; le combustible deviendra précieux et rare avant quelques années, si l’on manque de prévoyance dans le défrichement surtout par les feux des abattis. » Référence «Saint-Ignace-du-Lac», Le Bien Public (31 janvier 1918): 6, col. 4-5. |
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20 | No d'identification : 22684 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La campagne lancée en faveur du bois de chauffage est une autre démonstration de l’interdépendance des groupements urbains et des campagnes. Il faut fournir à nos cultivateurs et à nos colons l’occasion de vendre leurs produits forestiers aussi bien que leurs produits agricoles, afin que leur cycle d’occupation soit complet et profitable. Il faut cesser ou diminuer nos importations de combustibles de l’étranger, surtout quand notre monnaie est dépréciée. Référence Documents de la Session (D.S.), 66, 44, app. 8 du Rapport du ministre des terres et forêts (1933): 25. |
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21 | No d'identification : 22685 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La propagande lancée par la Commission des Produits Forestiers pour l’emploi du bois de chauffage a donné les meilleurs résultats. Elle a contribué à augmenter la vente de ce combustible d’au moins 200 000 cordes. Il en résulte pour des centaines de familles de colons et de cultivateurs, une occasion inespérée de vendre les produits de l’exploitation de leur terre à bois ou du défrichement de leurs terres neuves. Cette coopération entre les villes et les campagnes devrait être continuée, car il est reconnu que le chauffage au bois est possible durant la plus grande partie de l’année; de plus, son emploi représente une économie de 50% sur le prix du chauffage au charbon. Référence «Rapport du service forestier», Documents de la Session (D.S.), 67, 40, app. 8 du Rapport du ministre des terres et forêts (1934): 23. |
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22 | No d'identification : 22686 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Il nous a été suggéré de préconiser la création de marchés pour le bois, comme il en existe un dans la cité des Trois-Rivières. Référence «2e rapport de la Commission des produits forestier de la province de Québec, 1933», Documents de la Session (D.S.), 67, 26 (1934): 19. |
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23 | No d'identification : 22687 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Ainsi pour le bois de chauffage, peu de personnes sont d’accord sur le volume d’une corde, bien que la corde légale est déclarée renfermer 128 pieds cubes. Il se vend, sous le nom de corde, des lots de bois qui ne cubent que 32 pieds, que 64 pieds, que 96 pieds, etc. Référence «2e rapport de la Commission des produits forestier de la province de Québec, 1933», Documents de la Session (D.S.), 67, 26 (1934): 19. |
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24 | No d'identification : 22688 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les enquêtes que nous avons faites et les rapports que nous avons reçus à ce sujet démontrent qu’au-delà de deux cent mille cordes de bois de chauffage ont été vendues de plus que l’année précédente. Au cours de l’enquête sur le trust du charbon, il a été admis que les réductions dans les ventes du charbon, dans la seule province de Québec, s’élevaient à près de cent mille tonnes pour 1932-33. Référence «2e rapport de la Commission des produits forestier de la province de Québec, 1933», Documents de la Session (D.S.), 67, 26 (1934): 17. |
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25 | No d'identification : 22689 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’automne dernier, la Commission a entrepris une campagne en faveur de l’emploi du bois pour remplacer le charbon, dans le chauffage des habitations. Ce bon mouvement a été admirablement secondé par les journaux, par plusieurs personnages éminents et par les corps publics. En peu de temps, il s’est propagé dans toute la province, et nous avons eu la satisfaction de constater avec quel empressement nos concitoyens s’efforçaient d’acheter du bois pour chauffer leurs maisons. Référence «2e rapport de la Commission des produits forestier de la province de Québec, 1933», Documents de la Session (D.S.), 67, 26 (1934): 16. |