1 No d'identification : 21791 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Résumé :
On se servait de l’écorce de la pruche pour la tannerie. L’écorce était transportée au cours de l’hiver en paquets de grosseur convenue et de là expédiée à Québec ou à Montréal. Les troncs étaient eux façonnés à la hache et servaient de dormants de chemin de fer. Les lots limitrophes de Shawinigan ont été déboisés par les marchands des forges, Alex, James, Hyacinthe et William pour cet effet. Il en a été de même des boisés de Ste-Flore. On livrait cette marchandise au Lac à la Tortue.

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 32-33.

2 No d'identification : 21792 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Cette paroisse possède une grande manufacture de cuir qui absorbe plus de 3000 cordes d’écorce de pruche par année. Après les travaux des champs et du défrichement, les colons s’occupent du commerce d’écorce de pruche qu’ils vendent un assez bon prix.

Référence
«Écorce de pruche à St-Valère», Le Journal des Trois-Rivières (14 février 1868): 2, col. 5.

3 No d'identification : 21859 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Nous avons dit l’an dernier qu’il se formait en arrière du St-Maurice une belle et grande paroisse, qui a [pour] nom Notre-Dame du Mont Carmel. Il règne aujourd’hui en cette paroisse une activité fébrile. On y pratique sur une très grande échelle le commerce d’écorce de pruche. Cette industrie a amené des résultats extraordinaires au point de vue pécuniaire. Chaque corde d’écorce de pruche, rendue aux tanneries Richardson, se vend 6,50$. Ces beaux établissements sont situés en la paroisse de St-Luc et font tous les ans des affaires pour un montant considérable. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (25 janvier 1867): 2, col. 4.