Thème : Opérations du travail en forêt |
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1 | No d'identification : 21985 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les bourgeois de chantiers commencent à faire monter leurs hommes dans le St-Maurice. On se plaint généralement que les hommes sont plus rares que durant les années dernières. » Référence Le Constitutionnel, 43 (15 septembre 1871): 2, col. 4. |
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2 | No d'identification : 21986 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Une centaine d’hommes venant des chantiers de M. Hall et de M. Baptiste sont arrivés en ville samedi et ont pris de suite de chemin de leurs foyers respectifs. » Référence Le Constitutionnel (4 juin 1883): 2, col. 6. |
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3 | No d'identification : 21987 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral et textuel : « Les bûcherons commencent à descendre des chantiers. On nous dit qu’il n’y aura pas autant de bois que l’année dernière. » Référence Le Clairon (19 mars 1884): 2, col. 4. |
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4 | No d'identification : 21988 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Les bûcherons arrivent des chantiers en grand nombre depuis quelques jours et se disposent à repartir pour la descente des billots (drave). » Référence Le Clairon (4 avril 1884): 3, col. 4. |
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5 | No d'identification : 21989 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Textuel et intégral : « L’abondance des pluies qu’il fait depuis quelques jours a déjà obligé de suspendre les charroyages dans les bois, surtout dans les Cantons de l’est où il se fait encore un certain nombre de chantiers. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (10 janvier 1889): 2, col. 4. |
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6 | No d'identification : 21990 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Textuel et intégral : « La bordée de neige de lundi a fait un bien incalculable en nous procurant d’excellents chemins et en favorisant la réouverture des chantiers qui avaient été fermés à cause des obstacles que les dégels avaient mis au transport du bois. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (24 janvier 1889): 2, col. 5. |
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7 | No d'identification : 21991 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les hommes de chantier commencent à revenir du St-Maurice. Un certain nombre sont déjà arrivés. Référence Le Trifluvien (23 mars 1889): 3, col. 4. |
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8 | No d'identification : 21992 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « La plupart des chantiers sur le St-Maurice sont fermés. » Référence La Paix, 38 (2 avril 1889): 2, col. 5. |
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9 | No d'identification : 21993 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Textuel et intégral : « Tous les chantiers de la rivière Nicolet sont clos pour la saison. Et les rues de Nicolet sont remplies de draveurs et de caqeurs [sic] qui attendent que la glace soit partie. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (18 avril 1889): 2, col. 4. |
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10 | No d'identification : 21994 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « M. N.T.R. Neilson, autrefois de la société Hall, Neilson et Co. de cette ville, et aujourd’hui gérant des scieries Gooday, Benson et Cie à Exploit River, Terre-Neuve, est ici depuis quelques jours, occupé à engager des hommes de chantier et à acheter les approvisionnements nécessaires pour son établissement. Un certain nombre d’hommes sont déjà partis et les autres doivent s’embarquer ces jours-ci. À tous nous souhaitons bon voyage et heureux retour. » Référence Le Trifluvien (14 septembre 1892): 3, col. 4. |
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11 | No d'identification : 21995 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un grand nombre de personnes sont déjà parties pour les chantiers du St-Maurice et la fermeture des scieries sera l’occasion du départ d’un certain nombre d’autres. » Référence Le Trifluvien (12 novembre 1895): 3, col. 5. |
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12 | No d'identification : 21996 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les doux temps que nous avons eus depuis une quinzaine ont grandement nui à l’exploitation forestière dans le St-Maurice et ailleurs. Un grand nombre d’hommes de chantier ont dû, par suite, revenir à la ville. » Référence Le Trifluvien (31 décembre 1895): 5, col. 3. |
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13 | No d'identification : 21997 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les hommes de chantier continuent à descendre en foule. » Référence Le Trifluvien (5 mars 1897): 5, col. 4. |
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14 | No d'identification : 21998 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Les hommes de chantier ont fini leur campagne d’hiver. Le train des Piles nous en a amené un très grand nombre. Ils paraissaient tous assez satisfaits. Voilà de braves gens qui méritent bien de prendre de joyeuses vacances à l’occasion de la fête de Pâques. » Référence Le Trifluvien (25 mars 1902): 8, col. 2. |
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15 | No d'identification : 21999 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’industrie forestière est très active. Les entrepreneurs et les chantiers ayant travaillé depuis octobre, il y a beaucoup de billes à couper, et le St-Maurice est couvert de glace presque partout. Référence Gazette du travail (1 janvier 1903): 513. |
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16 | No d'identification : 22000 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les hommes des chantiers auront fini leurs travaux vers le 25 mars. Référence Gazette du travail (1 mars 1903): 670. |
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17 | No d'identification : 22001 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les hommes de chantier commencent à monter dans le St-Maurice pour la coupe du bois de 1906. Il se fera peut-être un peu moins de billots cette année que l’an dernier car le commerce de bois paraît vouloir être un peu moins actif et les prix sont un peu moins rémunérateurs. » Référence Le Trifluvien (28 août 1905): 8, col. 3. |
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18 | No d'identification : 22002 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les travaux dans les bois ont commencé plus tôt que de coutume. Jusqu’à présent, le nombre des employés n’a pas atteint la moyenne. Référence Gazette du travail (1 janvier 1906): 709. |
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19 | No d'identification : 22004 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « M. Hercule Arcand est parti la semaine dernière pour le Lac St-Joseph, pour surveiller un moulin à scie appartenant à J.A. Rousseau de Ste-Anne de la Pérade. M. Pierre Arcand est parti le 24 courant avec des hommes et des chevaux pour ouvrir un chantier sur ses lots en arrière de Ste-Thècle. » Référence Le Bien Public (29 octobre 1909): 4, col. 3. |
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20 | No d'identification : 22005 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « Les hommes de chantier escomptent un bon automne et un bon hiver. » Référence Le Nouveau Trois-Rivières (5 novembre 1909): 7, col. 7. |
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21 | No d'identification : 22006 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description détaillée du mode d’exploitation forestière pratiqué par une compagnie dans la région de la rivière l’Assomption et du Lac Ouareau. Référence Documents de la Session (D.S.), 42, 5, app.20 du premier rapport du service forestier (1909): 49-65. |
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22 | No d'identification : 22007 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les jobbers viennent alors trouver l’agent pour obtenir des contrats. Celui-ci conduit dans les territoires où l’on doit couper, et là, sur place, après un examen rapide, une couple de jours suffisent à ces gens qui ont une grande expérience de la chose, pour arrêter la quantité de billots qu’ils auront à faire sur tel terrain entre tel et tel point, on détermine également les divers endroits où le bois sera charroyé, puis on arrête les conditions et prix. Le prix payé est tant de dollars par cent billots de tel diamètre, ou bien par les mille pieds, ou par cent standards (étalon). Il ne reste plus qu’à signer le contrat. Ces contrats étaient donnés un peu tardivement dans le passé. Il faut nécessairement que l’exploitation commence de bonne heure, le premier octobre le plus tard, tandis qu’autrefois on ne commençait l’abattage qu’à partir du 15 novembre, et encore, de sorte qu’au lieu de finir les coupes à Noël, on les continuait jusqu’en février ou mars, alors que les fortes neiges empêchaient de couper aussi bas que vers le commencement de l’hiver. Cela occasionnait un déchet considérable, au moins 5% du bois abattu. Référence Documents de la Session (D.S.), 43, 5 (1910): 53. |
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23 | No d'identification : 22008 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Il est certain que les coupes se font aujourd’hui avec une grande économie: on gaspille très peu de bois, et tout ce qui peut servir dans l’arbre abattu est mis en billot et transporté aux usines. La proportion de débris diminue, par conséquent, d’une façon remarquable; le plancher des coupes demeure moins encombré, et, par suite, les dangers de feu sont moins grands. Nous devons signaler l’initiative de plusieurs exploitants qui obligent leurs entrepreneurs de coupe à commencer leurs exploitations dès la mi-août dans le but de leur faire ramasser tout le matériel gisant sur le sol et qui peut renfermer quelque bon bois. Référence Documents de la Session (D.S.), 51, 5, app.13 du rapport du ministre des terres et forêts (1918): 25. |
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24 | No d'identification : 22009 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Une fois son camp achevé, le jobber y transporte ses provisions, monte ses chevaux, ses traîneaux, etc. Souvent même, il fera monter aussi sa femme pour faire la cuisine, ou bien emploiera un cuisinier appelé « cook » et si ce dernier a un assistant, celui-ci est appelé « cookie » et « show-boy ». Référence Documents de la Session (D.S.), 43, 5 (1910): 55. |
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25 | No d'identification : 22010 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Intégral : « À peine nos gens sont-ils arrivés des chantiers qu’un bon nombre se dispose à partir pour le flottage des billots; triste vie que celle de passer la plus grande partie de l’année éloigné de sa famille et exposé à des dangers toujours menaçants; il semble que si l’on voulait s’occuper plus de l’agriculture, on en tirerait autant de bénéfices et l’on aurait la joie de vivre en famille. » Référence Le Bien Public (28 avril 1911): 2, col. 1. |