Thème : Les Bâtiments du chantier |
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1 | No d'identification : 22797 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Certains entrepreneurs prennent beaucoup de précautions dans le choix du site et placent leur camp sur une évaluation où ils savent qu’ils pourront bénéficier des rayons du soleil. D’autres, sous prétexte de se rapprocher de la source d’eau potable, établissent leurs bâtisses au fond d’une vallée où ils souffriront tout l’hiver de l’humidité. Les campements dont les toitures sont défectueuses sont très rares. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 30. |
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2 | No d'identification : 22799 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Emplacement choisi pour le campement. Référence Joseph-Charles Taché, Forestiers et voyageurs, Montréal, Fides, 1946: 28. |
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3 | No d'identification : 22801 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Pour loger 50 ou 60 hommes comme dans les chantiers d’autrefois, il fallait des baraquements relativement grands. C’était d’abord un corps de bâtiment de 30’ par 40’ ou plus, recouvert d’un toit peu incliné, formé de pièces rondes non écorcées sur lesquelles on mettait une couche de mousse d’au moins 6 pouces d’épaisseur pour garder la chaleur en dessous; en dernier lieu, on plaçait des dalles sur deux rangs afin que celles du dessus puissent couvrir les joints laissés par celle d’en dessous. Le carré ou charpente en bois rond ajusté aux angles en tête de chat, était calfeutré avec la mousse. La porte de planche, façonnée à la hache et pendue sur les gonds de bois, était assez large pour laisser entrer un cheval avec un traîneau chargé d’une tonne d’eau. Deux ou trois carrés de verre de 12 à 15 pouces étaient insérés dans les points stratégiques afin de laisser entrer quelques rayons de lumière. Il va sans dire que l’ameublement était sans luxe et à l’avenant. Une moitié de tronc de pin placé face plane en dessus sur des pieux fixés en terre, servait de table. Et comme elle était d’une pied et demi ou plus d’épaisseur, on la lavait non pas à la lavette ni au torchon, mais bien au rabot et à la varlope. Elle pouvait durer des dizaines d’années et rester toujours propre. Les grands bancs qui longeaient la table principale, ainsi que ceux qui longeaient les deux séries de couchettes adossées aux deux grandes parois du logement, se fabriquaient de la même façon. Les autres sièges individuels n’étaient autres que des bûches de la hauteur d’une chaise que l’on appelait des “chiennes”. Ajoutons à cela la “truie”, bidon à l’huile dont on a fait sauter un bout et auquel on a [ajouté] des pattes pour servir de fournaise. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 70-71. |
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4 | No d'identification : 22817 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Avant 1903, les bûcherons de Gatineau vivaient dans des cambuses, type d’abri caractéristique des bûcherons du siècle dernier. Au total, j’ai visité un petit nombre de ces cambuses qui, à l’époque de mes missions, tendaient à disparaître un peu partout pour être remplacées par des habitations plus modernes et plus adéquates. Toutefois, j’ai gardé un bon souvenir de ces cabanes rudimentaires et des bûcherons qui les habitaient. Construites en bois rond et calfeutrées de mousse ou d’herbe, bousillées en glaise, elles se distinguaient par le toit fait de deux rangées d’auges reposant sur les murs des côtés et sur deux grosses poutres. Les auges de la rangée supérieure étaient à l’envers et elles s’emboîtaient exactement dans celles de la rangée inférieure. Ce toit ne dégouttait jamais. Les pentures et les clenches de la porte étaient en bois. Un foyer de sable de 8 pieds de longueur sur 4 pieds de largeur occupait le centre de la cambuse. Un trou dans le toit, de la même dimension que le foyer et pratiqué directement au-dessus, laissait échapper la fumée. Il faut bien dire que cette technique avait ses inconvénients. L’ouverture de la porte provoquait un courant d’air qui refoulait la fumée vers l’intérieur et cela faisait venir les larmes aux yeux. C’était bien là une des seules occasions de voir les bûcherons pleurer. Le soir, avant de pénétrer dans la chambre, quelques hommes plantaient leur hache dans 4 ou 5 grosses billes de bois qui traînaient à l’intérieur, pour les placer debout en forme conique, sur l’emplacement du foyer. Ils allumaient le feu avec des écorces de bouleau et du bois sec, et commençaient ainsi [à| l’attiser du soir et de la nuit. De longs bancs équarris entouraient le foyer. Derrière ces bancs, on retrouvait les lits; il serait plus juste de parler de grabats, recouverts de matelas de foin. À côté de chacun des lits, [une] planche reposant sur des chevilles servait de petite table à tout mettre : pipe, tabac, vêtements et mitaines. Les musiciens accrochaient les violons au mur. Dans toutes les cambuses, un petit espace bien nettoyé sur le plancher, partout ailleurs fort rude, indiquait à l’étranger que ces robustes bûcherons étaient aussi de bons danseurs. Comme tout le reste, la nourriture était simple : du pain cuit sur la braise, des fèves et du lard, rarement du boeuf, de la soupe aux pois, de la mélasse « blackstrap » et du thé très fort. Les matinées du dimanche, les hommes mangeaient souvent du « sea pie » (cipaille), une recette de chantier très populaire qui se préparait de la façon suivante : une rangée de lard, une rangée de pâte, une rangée de boeuf, le tout cuit à l’étouffée, dans un immense chaudron, pendant toute une nuit. Au matin, il faisait extrêmement froid dans les cambuses. Les hommes se réveillaient avec du givre sur les moustaches et dans les cheveux. Dans ces conditions, on comprendra que personne n’avait le coeur à se laver. L’eau glacée donnait des crampes aux mains des braves qui s’obstinaient à se faire quelques ablutions matinales. Toute cette misère rapportait 14$ par mois au bûcheron. Malgré tout, le moral des bûcherons était bon dans les circonstances. Je me souviens d’eux comme d’une bande d’hommes généreux, ingénieux et rieurs. Comme je l’ai indiqué plus haut, les cambuses disparurent dès 1903 sur la rivière Gatineau. Par la suite, les conditions de vie des bûcherons s’améliorèrent en ce qui concerne la nourriture et l’habitation. Par contre, les chantiers demeurèrent les mêmes de façon générale. Référence Joseph-Étienne Guinard et Serge Bouchard, Mémoire d’un simple missionnaire: le père Joseph-Étienne Guinard, Québec, Ministère des affaires culturelles, 1980: 89. |
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5 | No d'identification : 22822 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Résumé : Forpic [sic] séparé du reste de la baraque par une cloison, il est réservé à l’usage du maître. Il est muni d’une table du travail, du lit du maître et d’un lit surmunéraire pour un notable de passage. Il est constitué de longerons, ou pièces de bois de 4 à 5 pouces de diamètre. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 72. |
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6 | No d'identification : 22823 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Résumé : La cambuse était un local d’une superficie d’une centaine de pieds avec un foyer qui servait beaucoup alors pour la bouillotte, la cuisson des haricots et le pain. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 73. |
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7 | No d'identification : 22824 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Six hommes, deux chevaux, c’était la moyenne dans chaque camp. Les hommes et les bêtes couchaient ensemble sous le même toit dans une cabane en bois rond percée d’une porte et de deux fenêtres avec deux stalles pour les chevaux, et par-là un mur ajouré, des lits couverts de branches de sapin, une table, quelques chaises rudimentaires et la « truie » qu’on chauffait à blanc une demi-heure avant chaque repas. Les entrepreneurs Baptist et Ritchie et autres ont répandu de ces camps à la douzaine dans les chantiers d’autrefois. Référence Le Nouvelliste (9 décembre 1950). |
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8 | No d'identification : 22826 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Il lui faut choisir l’emplacement de son camp près de son point de ravitaillement et surtout au centre de son terrain. Il ne faut pas oublier l’eau. On placera donc le camp sur le bord d’un ruisseau, dans un endroit abrité contre la bise, à proximité du bois de chauffage et du bois de construction. Le jobber et ses hommes deviennent charpentiers pour une semaine ou deux selon les cas; ils édifient une bâtisse lourde de forme rectangulaire, avec un toit en pente qu’on appelle camp ou chantier. Les côtés du carré sont faits de tronc, demi-équarris, encastrés aux angles. La couverture est faite en planches ou souvent d’auges superposées, c’est-à-dire de troncs de cèdres (thuya), fendus en deux et évidés. Les interstices sont bouchées avec de la mousse, de la terre, etc. On pose une couple de châssis vitrés, une porte et le camp est prêt. On construit de la même façon une écurie, un fenil, etc. suivant les besoins. L’ameublement intérieur est aussi sommaire. Les bancs sont faits de bois équarri grossièrement, de tronces égobillées [sic] percées aux extrémités de deux trous dans lesquels on fiche deux poteaux formant un banc sommaire. Le plancher est formé de bois rond. Les lits de même. Depuis 1905, le gouvernement charge des droits de coupe sur le bois marchand employé dans la construction des camps, etc. Cette mesure a eu un effet et ces messieurs emploient maintenant des essences moins précieuses comme le sapin, le tremble, etc. Référence Documents de la Session (D.S.), 42, 5, app.20, RMTF 1908 (1909). |
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9 | No d'identification : 22827 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Article portant sur la construction des camps de bûcherons, routes de portage, barrages, etc. « Le camp des hommes mesure 35 par 40 pieds et peut héberger 40 personnes. La cabane du chef peut accommoder environ le même nombre d’hommes. On construit une écurie pour 24 chevaux, 3 magasins, pour le foin, l’avoine et les provisions diverses; une forge, un bureau et une cave. » Référence «Comment nos gars faits [sic] ses camps, barrages, etc.», Le Digesteur (17 mars 1920): 1, col. 2. |
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10 | No d'identification : 22831 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’ouvrier est logé presqu’invariablement dans des constructions de bois rond à un étage, dont le carré s’élève à environ neuf pieds du plancher. Cette construction est recouverte d’une couverture généralement à deux pans, ayant 4 pieds de flèche. La couverture est constituée de pièces de bois rond recouvertes d’une certaine épaisseur de terre. Sur le tout est placé un papier à couverture pour assurer l’étanchéité. Entre les pièces formant les murs du camp, on place généralement un calfeutrage de mousse. Le plancher [est] fait de pièces de bois rond reposant sur la terre, en contact les unes avec les autres et nivelées ensuite à l’herminette pour former une surface aussi plane que possible. [...] Le camp servant à loger les hommes est généralement très mal éclairé à l’exception de certains endroits de la côte nord. Ailleurs, l’éclairage n’est pas le dixième de ce qu’il devrait être. Quelques-unes de ces constructions sont pourvues d’un ventilateur dans la couverture, ce qui a pour effet d’augmenter le confort, en assurant l’aération du camp et en prévenant l’humidité. En effet, dans un camp où la ventilation n’est pas bonne, la vapeur d’eau se condense sur les murs froids et tout ce qui se trouve à l’intérieur demeure constamment humide. Mais on peut dire que, de toutes les bâtisses d’un camp forestier, c’est toujours le logis des hommes qui est le plus négligé au point de vue de la propreté et qui est le plus mal construit au point de vue de la salubrité. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 25. |
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11 | No d'identification : 22835 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Ainsi, nous avons trouvé dans la région de Montréal un campement où une compagnie logeait 60 hommes et dont les murs étaient constitués par une charpente recouverte d’un simple lambris en planches, sur lequel on avait appliqué un papier à construction. Cette habitation était très froide en tout temps. Lors de l’inspection de ce camp, nous avons trouvé les hommes en train de faire leur lessive à l’extérieur dans un grand chaudron de fer par une température de quelques degrés en dessous de zéro. À d’autres endroits, là où le campement avait été établi par des entrepreneurs, nous avons remarqué que l’étanchéité de plusieurs couvertures faisait défaut. Référence Documents de la Session (D.S.), 67 (1934): 28. |
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12 | No d'identification : 22837 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En plus de cette construction affectée au logement des hommes, [il] s’en trouve une autre dans laquelle se trouvent la cuisine et la salle à manger. Cet édifice est également une construction en bois rond, identique à celle où se retirent les hommes. Elle est généralement spacieuse mais mal éclairée. La ventilation de cette construction est moins importante que celle du logis des hommes parce qu’elle ne sert à les abriter que durant 1 h 30 par jour. Généralement, les hommes y sont à leur aise et y reçoivent une nourriture copieuse et appropriée. Il y a aussi une autre bâtisse qui sert à loger l’entrepreneur et quelquefois sa famille et où ce dernier tient son bureau. C’est une construction identique aux autres qui est cependant mieux aménagée. Un peu à l’écart est construite l’écurie. Elle est le plus souvent placée tout près du ruisseau mais à l’aval des bâtisses précédentes, afin d’éviter la contamination des eaux qui servent à l’alimentation du personnel. Malheureusement, l’eau qui se trouve contaminée à l’endroit de l’écurie sert le plus souvent à l’alimentation des hommes qui habitent le camp voisin en aval. Assez souvent, la salle à dîner et le camp des hommes sont juxtaposés ou ils sont reliés l’un à l’autre par un appentis qui sert à abriter les provisions aussi bien des hommes que des chevaux. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 28-. |
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13 | No d'identification : 22841 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire À l’intérieur sont disposés tout autour de l’appartement des lits superposés: les lits inférieurs étant à environ 1 pied du plancher et les lits supérieurs à 4 pieds au-dessus des premiers. Ces lits sont constitués par des montants en bois rond supportant des traverses en planches à un pied et à 5 pieds du plancher. Sur ces traverses, on appuie un fond de lit en planches, qu’on recouvrira d’un matelas de branches de sapin. Le lit mesure 4 pieds de largeur et peut accommoder 2 hommes. Au pied de chaque lit, une planche sert de banc. Ainsi, dans un camp de 20 pieds par 28, à l’intérieur on loge 40 hommes en plaçant [à] chaque extrémité du camp [une] rangée de dix lits doubles, pouvant accommoder chacun deux hommes. Il reste au centre du camp un espace de 16 par 20 pieds où l’on installe un poêle et une table. Près de la porte se trouve une petite table sur laquelle il y a un bassin servant aux hommes pour leurs ablutions. À côté de cette table se trouve un crochet de bois auquel est suspendu un sceau d’eau. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 25. |
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14 | No d'identification : 22843 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Enquête concernant les salaires des ouvriers forestiers. Référence Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 25-31. |
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15 | No d'identification : 22845 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire E.Z. Massicotte. Référence Édouard-Zotique Massicotte, «La vie des chantiers», Transactions of the Royal Society of Canada, 3rd series, 16, sect. I, 1922: 20-21. |
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16 | No d'identification : 22846 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Aménagement intérieur d’un camp et ameublement. Référence Joseph-Charles Taché, Forestiers et voyageurs, Montréal, Fides, 1946: 29-30. |
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17 | No d'identification : 22848 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Type de bâtiments L.A. Fredette. Référence «Camp d’autrefois vs camp d’aujourd’hui», Bulletin de l’Association des Géographes du Québec (1 mai 1964): 89-91. |
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18 | No d'identification : 22849 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En 1936, Jean Crête dit construire le premier camp moderne du St-Maurice, au chapeau de paille sur la Vermillon. C’était un vrai village [...] un chemin moderne aménagé le long de la Wessonneau y conduisait à 41 milles à l’intérieur des terres. Référence Le Nouvelliste (9 décembre 1950). |
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19 | No d'identification : 22852 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Excursion au chapeau de paille, appelé aussi le camp de Jean Crête. L’article nous fait visiter les lieux. Comment était organisé le camp : l’écurie, boutique de forges, etc. La vie dans le chantier, les alentours, les intempéries. Référence «Le monte au chapeau de paille quartiers généraux de Jean Crête», Le Mauricien (1 mars 1938): 4-6 et 32. |
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20 | No d'identification : 22853 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Construction du camp, le « forepick », ameublement sommaire, la cambuse, le site d’un chantier, etc. Référence Pierre Dupin, Anciens chantiers du St-Maurice, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 55 à 72. |
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21 | No d'identification : 22854 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le « campe » d’un petit jobber. Dimensions, nombre d’hommes y habitant, techniques de construction : toiture, ouverture, ameublement, chaises, tables, bids [sic], chauffage (foyers, poêles), éclairage, etc. Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 71 à 74. |
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22 | No d'identification : 22857 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description du « campe » et ses commodités au 19e siècle. Menu dans les « campes » des petits jobbers. Trousse de secours de chantier. Réglementation et coutume dans le « campe ». Le dîner loin du « campe ». Hébergement des chevaux dans le « campe ». Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 71 à 77. |
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23 | No d'identification : 22859 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Transformation de l’habitation et de l’alimentation des bûcherons à la suite de l’intervention gouvernementale dans les années 30. Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 93-94. |
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24 | No d'identification : 22860 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Conditions de logement du draveur sur la Batiscan. Énumération du bagage du draveur. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 196. |
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25 | No d'identification : 22861 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Organisation d’un campement de draveurs sur la Batiscan. Description des instruments de cuisine. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 154-155. |