Thème : Métiers, outils, main d'oeuvre
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1 No d'identification : 22584 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Travailleurs forestiers dans le comté de Champlain.
1851 : 81
1861 : 1226

Référence
«Main d’oeuvre : travailleurs forestiers», L’Ère Nouvelle (8 avril 1861): 2, col. 4.

2 No d'identification : 22516 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Thomas Boucher
« Les civets et les chamards étaient les préposés à l’ébranchage des arbres abattus, à l’effardochage d’un chemin d’approche pour les skiddeurs. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 78.

3 No d'identification : 22518 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Les skiddeurs sortaient les billots pour les empiler en roule sur un grand chemin en attendant leur transport à la jetée. Le skiddage [sic], ou swopage [sic], s’effectuait au moyen de la chaîne et du bacul, ou encore au moyen de la chienne ou du bobsleigh. L’équipe de skiddeurs comprenait le conducteur de bêtes, boeufs ou chevaux, qui était astreint aux mêmes devoirs que le charretier [...] Le travail de skiddeur était le plus éreintant. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 78.

4 No d'identification : 22521 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Division du travail de la drave. Deux métiers : hommes de barge et « hurlots ».

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 157-158.

5 No d'identification : 22524 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Fonction des hurlots.

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 160.

6 No d'identification : 22526 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Résumé :
Il est le chef de camp. Il dirige les travaux, s’assure des provisions de bouche, des outils, des chevaux, indispensables. Il contrôle les dépenses et le rendement de ses employés. Son équipe se compose de 50 à 100 personnes.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 18-19.

7 No d'identification : 22527 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Voir : répartition des tâches dans un camp de bûcherons, ex. : les « chats-morts ».

Référence
«Reportage dans les chantiers», Le Canada Français, 22, 5 (1942): 328.

8 No d'identification : 22529 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les différents types d’ouvriers.
Hommes préposés à la coupe, à la drave, à la construction de routes et barrages, à l’entretien du téléphone, au nettoyage des passes et des criques, pour permettre le libre passage des pitounes se rendant vers les papeteries.
Il y a les gardes forestiers, les ingénieurs et les marcheurs (walkers), les mesureurs ou les colleurs (scalers), les forgerons, les menuisiers, et les mécaniciens, les comptables des bureaux et leurs aides, les commis des magasins, les cuisiniers, rois et maîtres dans leur coin respectif. Il y a les médecins, rares de nos jours et les inspecteurs sanitaires, qui s’occupent des premiers soins à donner aux accidentés.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 41-42-43.

9 No d'identification : 22532 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Différents métiers spécialisés dans le bois.
Les chats morts, employés aux routes, ainsi nommés parce qu’inaptes à l’abattage des arbres.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 22.

10 No d'identification : 22534 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Edgard Porter
Les métiers:
Gérant du bois
Ingénieur forestier
Comptable du bois
Pourvoyeur, etc.

Hors période, fonctionnement des grandes compagnies.

Référence
«L’exploitation forestière», L’actualité économique (1 août 1943): 388 à 391.

11 No d'identification : 22537 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
L’homme qui s’engage pour travailler en forêt peut être appelé à remplir les fonctions suivantes : 1. cuisinier 2. assistant-cuisinier 3. préposé à l’entretien des chemins 4. skiddeur (transporter les billes à la chaîne avec un cheval de la souche à l’amas) 5. charretier 6. bûcheron 7. forgeron. Généralement, dans un chantier d’exploitation forestière, 50 à 60 % des hommes sont des bûcherons, 25 à 30 % sont des charretiers, parmi les 10 à 25 % qui restent, on compte les cuisiniers, les aide-cuisiniers, ceux qui travaillent aux chemins et ceux qui sont préposés au chargement et déchargement des billots.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 67 (1934): 15-17.

12 No d'identification : 22539 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Les commis en ont pour leur argent lors de ces départs. Il faut organiser cuisines, vivres et accoutrement, le plus tôt possible. Des chefs cuisiniers, rudes comme leur chaudron, surveillent le travail et demandent toujours de la vaisselle neuve. Il faut si peu pour satisfaire les grands enfants. »

Référence
Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 68.

13 No d'identification : 22542 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les mesureurs et les forestiers se surveillent.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 23.

14 No d'identification : 20333 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
À la suite d’une rencontre, le journaliste Germain Leduc évoque sa vie au temps où il travaillait dans les chantiers.

Référence
Le Nouvelliste (13 janvier 1930): 3, col. 7-8.

15 No d'identification : 22545 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les commis et le coupage du bois.

Référence
Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 163.

16 No d'identification : 22550 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Qu’on ne s’étonne donc plus d’avoir trouvé, dans le Haut St-Maurice, des haches de 4 livres à manche de 4 pieds, et des godendards d’un modèle particulier et long de huit pieds. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 79.

17 No d'identification : 22554 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les méthodes d’abattage à cette époque (vers 1850) étaient bien rudimentaires, tout le travail de débitage, façonnage, se faisait à la hache.

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (28 avril 1911): 6, col. 2-3.

18 No d'identification : 22557 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Outils utilisés par les bûcherons jusqu’à l’avènement de la sciotte à cadre de fer en 1925.
« Antérieurement à 1890, le bûchage se fait exclusivement à la hache; abattage, ébranchage et tronçonnage. Pour l’équarissage, la “grande hache”. Vers 1890, apparition du godendard dans la Batiscan, révolution dans le rendement de l’équipe; scie de 13 pieds et demi de long.
La morue; godendard à une poignée qui portait une pesée à l’autre bout. 1920, scie à godin avec cadre de bois au tourniquet. Cède la place à la sciotte à cadre de fer dès 1925. »

Référence
Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 81.

19 No d'identification : 22560 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La technique de la coupe s’est simplifiée. On n’y emploie plus comme autrefois le godendard ni même beaucoup la cognée. L’outil par excellence est une scie légère , le « bucksaw » des Anglais qu’un homme manie d’un bras. Elle affecte la forme d’un arc grossier, dont le manche serait la poignée et la lame, la corde. C’est la sciotte. Chaque arbre se coupe à 12 pouces du sol. À la hache, le bûcheron entaille le tronc, du côté où il tombera, et la sciotte achève la besogne meurtrière.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 21.

20 No d'identification : 22566 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les outils employés dans la coupe du bois et leur utilité.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 21.

21 No d'identification : 22567 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Voir : la technique de la coupe simplifiée, avec le « bucksaw », sciotte (scie légère).

Référence
«Reportage dans les chantiers», Le Canada Français, 22, 5 (1942): 327.

22 No d'identification : 22569 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les outils du draveur. Description et origine de l’appellation « pivé ».

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 158-159.

23 No d'identification : 22571 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Origine et maniement du « handdog » pour débarrasser les « jams » de rapides.

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 161.

24 No d'identification : 22573 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Il saisit sa gaffe, solide bâton de douze pieds de long, armé d’une sorte d’hameçon de fer aussi solide que pointu. »

Référence
Eugène Achard, Aux quatre coins des routes canadiennes, Montréal, Librairie Générale canadienne, 1940: 92.

25 No d'identification : 22574 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dans le camp des bûcherons, la meule à aiguiser tient une place d’honneur.

Référence
Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 155.