Thème : Métiers |
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1 | No d'identification : 22516 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Thomas Boucher « Les civets et les chamards étaient les préposés à l’ébranchage des arbres abattus, à l’effardochage d’un chemin d’approche pour les skiddeurs. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 78. |
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2 | No d'identification : 22518 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les skiddeurs sortaient les billots pour les empiler en roule sur un grand chemin en attendant leur transport à la jetée. Le skiddage [sic], ou swopage [sic], s’effectuait au moyen de la chaîne et du bacul, ou encore au moyen de la chienne ou du bobsleigh. L’équipe de skiddeurs comprenait le conducteur de bêtes, boeufs ou chevaux, qui était astreint aux mêmes devoirs que le charretier [...] Le travail de skiddeur était le plus éreintant. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 78. |
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3 | No d'identification : 22521 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Division du travail de la drave. Deux métiers : hommes de barge et « hurlots ». Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 157-158. |
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4 | No d'identification : 22524 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Fonction des hurlots. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 160. |
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5 | No d'identification : 22526 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Résumé : Il est le chef de camp. Il dirige les travaux, s’assure des provisions de bouche, des outils, des chevaux, indispensables. Il contrôle les dépenses et le rendement de ses employés. Son équipe se compose de 50 à 100 personnes. Référence Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 18-19. |
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6 | No d'identification : 22527 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Voir : répartition des tâches dans un camp de bûcherons, ex. : les « chats-morts ». Référence «Reportage dans les chantiers», Le Canada Français, 22, 5 (1942): 328. |
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7 | No d'identification : 22529 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les différents types d’ouvriers. Hommes préposés à la coupe, à la drave, à la construction de routes et barrages, à l’entretien du téléphone, au nettoyage des passes et des criques, pour permettre le libre passage des pitounes se rendant vers les papeteries. Il y a les gardes forestiers, les ingénieurs et les marcheurs (walkers), les mesureurs ou les colleurs (scalers), les forgerons, les menuisiers, et les mécaniciens, les comptables des bureaux et leurs aides, les commis des magasins, les cuisiniers, rois et maîtres dans leur coin respectif. Il y a les médecins, rares de nos jours et les inspecteurs sanitaires, qui s’occupent des premiers soins à donner aux accidentés. Référence Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 41-42-43. |
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8 | No d'identification : 22532 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Différents métiers spécialisés dans le bois. Les chats morts, employés aux routes, ainsi nommés parce qu’inaptes à l’abattage des arbres. Référence Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 22. |
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9 | No d'identification : 22534 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Edgard Porter Les métiers: Gérant du bois Ingénieur forestier Comptable du bois Pourvoyeur, etc. Hors période, fonctionnement des grandes compagnies. Référence «L’exploitation forestière», L’actualité économique (1 août 1943): 388 à 391. |
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10 | No d'identification : 22537 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’homme qui s’engage pour travailler en forêt peut être appelé à remplir les fonctions suivantes : 1. cuisinier 2. assistant-cuisinier 3. préposé à l’entretien des chemins 4. skiddeur (transporter les billes à la chaîne avec un cheval de la souche à l’amas) 5. charretier 6. bûcheron 7. forgeron. Généralement, dans un chantier d’exploitation forestière, 50 à 60 % des hommes sont des bûcherons, 25 à 30 % sont des charretiers, parmi les 10 à 25 % qui restent, on compte les cuisiniers, les aide-cuisiniers, ceux qui travaillent aux chemins et ceux qui sont préposés au chargement et déchargement des billots. Référence Documents de la Session (D.S.), 67 (1934): 15-17. |
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11 | No d'identification : 22539 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les commis en ont pour leur argent lors de ces départs. Il faut organiser cuisines, vivres et accoutrement, le plus tôt possible. Des chefs cuisiniers, rudes comme leur chaudron, surveillent le travail et demandent toujours de la vaisselle neuve. Il faut si peu pour satisfaire les grands enfants. » Référence Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 68. |
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12 | No d'identification : 22542 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les mesureurs et les forestiers se surveillent. Référence Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 23. |
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13 | No d'identification : 20333 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire À la suite d’une rencontre, le journaliste Germain Leduc évoque sa vie au temps où il travaillait dans les chantiers. Référence Le Nouvelliste (13 janvier 1930): 3, col. 7-8. |
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14 | No d'identification : 22545 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les commis et le coupage du bois. Référence Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 163. |
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15 | No d'identification : 15364 | Fonds : Société régionale |
Information documentaire L’auteur de l’article nous entretient du mouvement industriel et commercial qui est bien amorcé dans le district de Trois-Rivières. Ce progrès local est surtout axé sur l’exploitation forestière qui nourrit beaucoup d’autres industries. (Bilan d’ensemble sur l’essor économique de la région.) Référence La Concorde (30 août 1882): 2, col. 1-2. |
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16 | No d'identification : 15436 | Fonds : Société régionale |
Information documentaire Les Piles en 1888: « Le village des Piles renferme aujourd’hui trente-cinq maisons. On y voit une gare de chemin de fer, quatre maisons de pensions, six magasins, une scierie; on y trouve un boulanger, un boucher, un cordonnier, un forgeron et cinq menuisiers ou charpentiers. Vous voyez donc qu’on y est pourvu de tout ce qui est nécessaire aux besoins ordinaires de la vie. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 180. |