1 No d'identification : 22550 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Qu’on ne s’étonne donc plus d’avoir trouvé, dans le Haut St-Maurice, des haches de 4 livres à manche de 4 pieds, et des godendards d’un modèle particulier et long de huit pieds. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 79.

2 No d'identification : 22554 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les méthodes d’abattage à cette époque (vers 1850) étaient bien rudimentaires, tout le travail de débitage, façonnage, se faisait à la hache.

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (28 avril 1911): 6, col. 2-3.

3 No d'identification : 22557 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Outils utilisés par les bûcherons jusqu’à l’avènement de la sciotte à cadre de fer en 1925.
« Antérieurement à 1890, le bûchage se fait exclusivement à la hache; abattage, ébranchage et tronçonnage. Pour l’équarissage, la “grande hache”. Vers 1890, apparition du godendard dans la Batiscan, révolution dans le rendement de l’équipe; scie de 13 pieds et demi de long.
La morue; godendard à une poignée qui portait une pesée à l’autre bout. 1920, scie à godin avec cadre de bois au tourniquet. Cède la place à la sciotte à cadre de fer dès 1925. »

Référence
Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 81.

4 No d'identification : 22560 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La technique de la coupe s’est simplifiée. On n’y emploie plus comme autrefois le godendard ni même beaucoup la cognée. L’outil par excellence est une scie légère , le « bucksaw » des Anglais qu’un homme manie d’un bras. Elle affecte la forme d’un arc grossier, dont le manche serait la poignée et la lame, la corde. C’est la sciotte. Chaque arbre se coupe à 12 pouces du sol. À la hache, le bûcheron entaille le tronc, du côté où il tombera, et la sciotte achève la besogne meurtrière.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 21.

5 No d'identification : 22566 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les outils employés dans la coupe du bois et leur utilité.

Référence
Harry Bernard, Portages et Routes d’eau en Haute-Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 21.

6 No d'identification : 22567 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Voir : la technique de la coupe simplifiée, avec le « bucksaw », sciotte (scie légère).

Référence
«Reportage dans les chantiers», Le Canada Français, 22, 5 (1942): 327.

7 No d'identification : 22569 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les outils du draveur. Description et origine de l’appellation « pivé ».

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 158-159.

8 No d'identification : 22571 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Origine et maniement du « handdog » pour débarrasser les « jams » de rapides.

Référence
Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 161.

9 No d'identification : 22573 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Il saisit sa gaffe, solide bâton de douze pieds de long, armé d’une sorte d’hameçon de fer aussi solide que pointu. »

Référence
Eugène Achard, Aux quatre coins des routes canadiennes, Montréal, Librairie Générale canadienne, 1940: 92.

10 No d'identification : 22574 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dans le camp des bûcherons, la meule à aiguiser tient une place d’honneur.

Référence
Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 155.

11 No d'identification : 20713 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
De plus, il est digne de remarque que la maladie qui a sévi, durant l’automne, sur les chevaux, fait encore sentir ses effets. On s’aperçoit dans tous les chantiers que les chevaux sont plus faibles que les années précédentes.

Référence
Le Constitutionnel (17 janvier 1873): 2, col. 3.

12 No d'identification : 20715 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La compagnie d’assurances Live Stock d’Hartford continue encore à assurer les chevaux des chantiers. Elle a payé à la satisfaction des intéressés trois pertes, depuis l’établissement de son agence en cette ville. Venez faire assurer vos chevaux de bonne heure contre la mort et contre tout accident.

Bureau, boulevard Turcotte, Trois-Rivières.
6 septembre 1867. »

Référence
«Aux commerçants de bois & autres», Le Journal des Trois-Rivières (6 septembre 1867): 3, col. 4.

13 No d'identification : 20716 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« On annonce que la Laurentide a décidé de vendre tous ses chevaux de trait et de les remplacer par des camions-automobiles. »

Référence
«A la Laurentide», L’écho du St-Maurice (12 avril 1917): 6, col. 3.

14 No d'identification : 20717 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Contrat entre la C.I.P. et un entrepreneur.

27. Le contracteur accepte d’engager ses hommes sur une base de 1000 pieds. La Cie garantira dans ce cas de payer aux employés du contracteur jusqu’à un montant de 3.00$ par mille pieds pour les billots bien empilés sur des empilements dans le bois ou au point d’arrivée à la jetée. Il est entendu que le contracteur devra déduire de ce montant une charge pour pension de 75¢ par homme par jour et de 1.50$ par jour par cheval.

Référence
«Rapport du Ministre des Terres et Forêts», Documents de la Session (D.S.), 67, 91, Exhibit c-3 (1934).

15 No d'identification : 20741 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Condition de travail. Effets de la mécanisation sur le rendement.

L’emploi de la scie mécanique a entraîné une grande révolution dans l’exploitation des forêts. Presque tous les bûcherons utilisent aujourd’hui cet instrument qui leur permet de produire jusqu’à 60% plus de bois qu’autrefois avec la « sciotte ».

Référence
Notre région : cahier de groupe, Trois-Rivières, Séminaire St-Joseph, 1962: 60.

16 No d'identification : 20742 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
M. Pierre Mayrand de Gentilly vient de mettre au point une machine pour couper le bois et le fendre pour le bois de corde. Cette machine est montée sur un radeau et peut charger à mesure sur les bateaux. Elle peut faire 200 cordes de bois par jour avec une main d’oeuvre réduite.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (1 avril 1875): 2, col. 3-4.

17 No d'identification : 20743 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« M. J.P. Coutlée de Montréal a établi ici, le 11 courant, une cour de l’ordre des forestiers catholiques sous le nom de cour Ste-Anne no 321. Ont été élus officiers MM. J.A. Rousseau, chef Ranger, J.L. Gaumond, vic. Ch. Rgr J.A. Baribeau secrétaire, arc. Tel. Paradis trésorier, syndics: N.E. Clément, Na. Piché, et E. Loranger. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (23 décembre 1892): 4, col. 3.

18 No d'identification : 20744 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Auteur: Edgar Porter. Août-septembre 1943.

Spécialisation du travail en forêt p. 389.

Référence
«L’exploitation forestière», L’actualité économique, I, 4 (1 août 1943): 380-406.

19 No d'identification : 20745 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Auteur: Robert Lafrance.

Lafrance donne une évolution du travail qui a conduit à la spécialisation des travailleurs.

Référence
«L’occupation humaine dans la Mauricie», Bulletin de l’Association des Géographes du Québec, 5 (1 mai 1964): 41-48.

20 No d'identification : 20748 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Mécanisation et spécialisation du travail en forêt.

Auteur: Guidon Kelly.

Référence
«La coupe et le charroyage du bois à pâte», Bulletin de l’Association des Géographes du Québec, 5 (1 mai 1964): 80-84.