1 No d'identification : 22760 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Le Trois-Rivières était chargé, hier, d’hommes qui montent déjà dans l’Ottawa pour le commerce de bois. Ces hommes sont envoyés par M. Gouin. »

Référence
Le Constitutionnel, 24 (31 juillet 1871): 2, col. 3.

2 No d'identification : 22762 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Des hommes sont partis travailler sur la Gatineau pour M. Gouin.
La grande maison d’Ottawa engage beaucoup d’hommes de la Mauricie.

Référence
Le Constitutionnel, 27 (19 août 1872): 3, col. 3.

3 No d'identification : 22763 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Une soixantaine de voyageurs canadiens faisaient gaiement leurs adieux à leurs parents et amis en s’embarquant pour la rivière rouge, pour travailler sur le chemin de fer, dans cette belle saison où nos cultivateurs ne peuvent se procurer les bras nécessaires, même à des prix très élevés, pour ensemencer leurs terres. »

Référence
Le Constitutionnel (9 mai 1873): 2, col. 3.

4 No d'identification : 22765 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Un bon nombre d’ouvriers du Cap et de cette ville sont partis hier pour les chantiers de l’Ottawa. Les gages sont de 30$ à 45$ par mois, nous dit-on, pour les hommes de première classe. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (23 septembre 1880): 2, col. 4.

5 No d'identification : 22767 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« On demande 300 hommes pour faire des “ties”, ainsi que des bûcherons à Palestine, Texas. Prix pour faire les “ties” : 20 centins chaque. Dimension des “ties” : 8 pieds de long, 6 pouces d’épaisseur, 8 pouces de face.
Prix pour bûcher le bois de corde : 128 pieds à la corde, bois de 2 pieds : 1,50$ de la corde.
La pension est de 10$ à 14,50$ par mois.
Le départ se fera de Montréal le 24 février 1881. Ceux qui partiront pour travailler un an n’auront aucun frais de voyage à payer. Ceux qui ne partiront que pour 6 mois auront à payer la moitié du prix de passage. S’adresser à Jos. Riendeau, St-James Hotel, Trois-Rivières. »

Référence
La Concorde (2 février 1881): 3.

6 No d'identification : 22768 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel et intégral :
« Samedi, on cherchait à engager en cette ville une quarantaine d’hommes pour les chantiers d’Ottawa. Les gages offerts [sont] de 12$ à 19$ par mois. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (12 septembre 1881): 2, col. 5.

7 No d'identification : 22769 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Cinquante bûcherons ont quitté cette ville ces jours-ci pour les chantiers de M. H. Stevens à Ste-Hélène, Mich. Les gages de ces hommes sont de 22$ par mois, avec en outre la pension et les frais de voyage.
On dit que plusieurs autres personnes de cette ville, engagées au service du même bourgeois, refusent maintenant de remplir les conditions de leur engagement, dans la crainte de ne pas être payées. »

Référence
Le Constitutionnel (16 août 1882): 3, col. 3.

8 No d'identification : 22771 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Plusieurs habitants du Cap et des environs qui s’étaient engagés pour la coupe du bois sur la rivière Trent, Ontario, sont revenus ces jours derniers après un mois d’absence. Les travaux ont été suspendus à raison de la perspective décourageante du commerce du bois.
Il n’est guère question non plus de chantiers considérables sur le St-Maurice et l’Ottawa.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (12 novembre 1883): 2, col. 5.

9 No d'identification : 22773 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Plusieurs habitants du Cap et des environs qui s’étaient engagés pour la coupe du bois sur la rivière Trent, Ontario, sont revenus, ces jours derniers, après un mois d’absence. Les travaux ont été suspendus à raison de la perspective décourageante du commerce de bois.
Il n’est guère question non plus de chantiers considérables sur le St-Maurice et l’Ottawa. »

Référence
La Concorde (19 novembre 1883): 2, col. 6.

10 No d'identification : 22774 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel et intégral :
« Tous les jours, des hommes partent pour les chantiers. Au-delà de cent hommes sont partis, pour la rivière Trent, Ontario, la semaine dernière. Les prix sont bons. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (5 novembre 1888): 2, col. 4.

11 No d'identification : 22775 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel et intégral :
« M. Guay et plusieurs autres employés de la manufacture de boîtes Gravel, qui est fermée depuis quelques jours, sont partis pour Etchemin où ils seront employés. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (26 novembre 1888): 2, col. 5.

12 No d'identification : 22776 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel et intégral :
« Une équipe d’ouvriers engagés par la [compagnie] Hall & Neilson part aujourd’hui pour Terre-Neuve. Ils vont travailler à l’érection d’une scierie que MM. Hall & Neilson vont construire dans les nouvelles limites qu’ils ont achetées dans l’île de Terre-Neuve. Le navire qui les transporte à destination emporte aussi les engins et l’outillage des nouvelles scieries. »

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (5 septembre 1889): 2, col. 5.

13 No d'identification : 22779 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Une cinquantaine d’hommes de chantier de cette ville sont partis pour la vallée de l’Ottawa, les gages sont bons.
Tout promet une bonne saison pour la coupe du bois durant l’hiver prochain. »

Référence
Le Trifluvien (21 septembre 1892): 3, col. 3.

14 No d'identification : 22783 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« M. Charles Miron a engagé cette semaine, pour les MM. Gilmour, chez M. Adélard Gauthier, 160 hommes, dont 60 sont partis lundi dernier et les 100 autres partiront la semaine prochaine. Tous ces hommes se rendent aux chantiers de la Baie Georgienne. Les gages sont de 820 à 826. »

Référence
«Échos de la ville et du district», Le Trifluvien (1 septembre 1893): 3, col. 5.

15 No d'identification : 22784 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Ce matin, une trentaine de journaliers, engagés par MM. Jos Raynar et Hyacinthe Rheault, sont partis pour le chantier, dans l’intérieur de Terre-Neuve. Une autre équipe doit partir mardi prochain.

Référence
«Échos de la ville et du district», Le Trifluvien (15 septembre 1893): 3, col. 5.

16 No d'identification : 22785 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
M. Charles Pinsent de Terre-Neuve a passé quelques jours à Trois-Rivières et a engagé une trentaine de bons hommes de chantier pour les opérations de la compagnie anglaise qui fait le commerce de bois sur la rivière Exploit, à Terre-Neuve.
Il est reparti mardi soir pour Montréal, en route pour Terre-Neuve, après avoir fait une visite aux Chutes de Shawinigan avec M. Thompson et Reynar et le capitaine Davis. Ce dernier et M. Pinsent, qui voyaient les chutes pour la première fois, sont revenus enchantés de leur voyage.

Référence
«Échos de la ville et du district», Le Trifluvien (25 septembre 1894): 3, col. 3.

17 No d'identification : 22791 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Plusieurs paroissiens de Ste-Flore se dirigent vers les chantiers de la Gaspésie. Les gens de Ste-Flore sont satisfaits du rendement des récoltes qui sont terminées partout maintenant. »

Référence
«À Ste-Flore», Le Bien Public (28 septembre 1909): 4, col. 3.

18 No d'identification : 22793 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Des officiers recruteurs sont actuellement occupés à former un régiment d’abatteurs d’arbres dont les alliés ont besoin pour construire des ponts, des voies ferrées, etc. Il y a des bureaux de recrutement dans toute la province, dont un à Trois-Rivières, Shawinigan, Grand-Mère, La Tuque, St-Raymond. Il y a un bureau chef de recrutement de bûcherons à Montréal.
On a besoin de charretiers, scieurs, chargeurs, limeurs, bûcherons. Le travail comprendra la besogne ordinaire des chantiers. On fera des billots, des dormants de chemin de fer, etc.
La solde est bonne et les risques minimes. »

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (17 mars 1916): 4, col. 3.