Thème : Salaires |
Index thématique -> Conditions de travail et de vie -> Salaires |
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1 | No d'identification : 22547 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Enquête concernant les salaires des ouvriers forestiers (rapport des enquêteurs). Référence Documents de la Session (D.S.), 67 (1934): 90. |
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2 | No d'identification : 19716 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les hommes sont rares pour la drive et les gages atteignent à l’impossible. La plupart des hommes ne veulent pas s’engager à moins de 36$ à 45$ par mois. On compte cependant que les prix vont tomber un peu. » Référence Le Constitutionnel (17 avril 1872): 2, col. 3. |
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3 | No d'identification : 19717 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Grâce aux bordées de neige de mars, les chantiers ont fermé plus de bonne heure que de coutume. Il s’est fait une aussi grande quantité de billets que les années précédentes. La flottaison de bois va coûter cher. Les hommes de la drive obtiennent jusqu’à 2.50$ par jour. Les prix communs varient de 1,50$ à 2$. » Référence Le Constitutionnel (14 avril 1873): 2, col. 4. |
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4 | No d'identification : 19718 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Vu le petit nombre de chantiers qu’on fera cet hiver, sur le St-Maurice et ses tributaires, les gages offerts aux travailleurs ne sont que de 12.00$ à 14.00$ par mois pour toute la saison. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (19 octobre 1874): 2, col. 2. |
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5 | No d'identification : 19719 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Nous sommes informés que le pont de glace est formé sur le St-Maurice depuis les Piles jusqu’à Mékinac. Il se fait cette année plus de chantiers dans le St-Maurice que les années précédentes. Ce qui fait qu’un si grand nombre de travailleurs de cette ville n’y ont pas d’emploi, c’est qu’ils refusent les gages offerts comme trop bas et que la plupart des grandes maisons de commerce ont donné des contrats de bois aux colons de nouveaux établissements. Ces derniers, à raison de la proximité des lieux et du peu de gagne qu’il y a cet hiver, ont pu prendre des constats à des prix très réduits. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (29 novembre 1875): 3, col. 2. |
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6 | No d'identification : 19720 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les gages des hommes de chantier cette année sont de sept ou huit piastres par mois au lieu de 18 et 20 qu’ils étaient, il y a deux ans. Les choses nécessaires à la vie sont restées au même prix. Qu’on juge de la position de ces pauvres gens. » Référence Le Constitutionnel (2 février 1876): 2, col. 3. |
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7 | No d'identification : 19721 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les hommes employés à la descente des bois dans le St-Maurice et ses tributaires ont trente piastres de gage par mois. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (22 avril 1880): 3, col. 1. |
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8 | No d'identification : 19722 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Le fait de la reprise des affaires de la nouvelle compagnie de bois d’Hunterstown, ajouté aux autres, y compris ceux de l’aqueduc, a fait la main d’oeuvre très rare. Les gages des journaliers sont d’une piastre par jour. L’on offre seize piastres par mois aux hommes de chantier. » Référence Courrier de Maskinongé (27 octobre 1881): 2, col. 4. |
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9 | No d'identification : 19723 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les chantiers du St-Maurice vont s’ouvrir comme par le passé cet hiver, mais le prix des hommes est considérablement réduit. Référence Le Journal des Trois-Rivières (22 octobre 1883): 2, col. 5. |
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10 | No d'identification : 19724 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On nous informe que les Messieurs Hall, qui avaient décidé de fermer cet hiver leurs chantiers, sont sur le point de les ouvrir de nouveau. Les gages des hommes, là comme ailleurs, sont malheureusement peu élevés. C’est à peine si les travailleurs les plus en renom peuvent obtenir douze piastres par mois. » Référence La Concorde (14 décembre 1883): 3, col. 2. |
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11 | No d'identification : 19725 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les propriétaires de chantiers de bois ont commencé à faire les engagements de leurs hommes. D’après le News de Kingston, les prix sont de 16$ à 22$ par mois. C’est la moyenne des salaires pour la saison prochaine. Les mains nouvelles auront 16$ par mois et les anciennes 20$ à 22$. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (18 août 1887): 2, col. 5. |
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12 | No d'identification : 19726 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Rapport de Trois-Rivières par John Ryan. « Les bûcherons et les hommes de chantier sont en grande demande. Les gages sont de 18.00$ à 20.00$ par mois, avec la nourriture. L’on s’attend à ce que la quantité de bois abattue doublera l’hiver prochain. » Référence Gazette du travail (1 novembre 1901): 269. |
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13 | No d'identification : 19727 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Rapport de Trois-Rivières. Les chantiers ont maintenant leur personnel à peu près complet. Les salaires des hommes expérimentés s’élèvent jusqu’à 22.00$. Les marchands de bois ont commencé leurs opérations de la saison 1902-1903 et paient des salaires variant de 18.00$ à 20.00$ par mois. Les entrepreneurs paient de 24.00$ à 28.00$ par mois. Référence Gazette du travail (1 décembre 1902): 420. |
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14 | No d'identification : 19728 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les gages des bûcherons et des hommes de chantier sont de 18$ à 20$ par mois avec leur nourriture. On prétend que la quantité de bois abattue doublera cet hiver. Nous avons eu trois scieries instamment en opération employant 400 à 450 hommes recevant de 1,10 à 1,50. La saison de sciage dure de 4 à 4 1/2 mois. » Référence Le Trifluvien (17 février 1903): 2, col. 4. |
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15 | No d'identification : 19729 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Il y a cependant une rareté d’hommes pour le flottage, et ils coûteront plus cher que l’année dernière. Les hommes demandent de 28.00$ à 30.00$ par mois et la nourriture. Référence Gazette du travail (1 avril 1903): 763. |
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16 | No d'identification : 19730 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Canada en général « Tout indique généralement une diminution dans la production, en vue d’une dépression qui existe dans les principaux marchés. La conséquence, les salaires des bûcherons, ainsi qu’on l’a dit plus haut, seront beaucoup moins élevés que l’année dernière: 28.00$ par mois et la pension étant le maximum offert. » Référence Gazette du travail (1 septembre 1904): 215. |
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17 | No d'identification : 19749 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Canada en général Les salaires des bûcherons ont eu une tendance à augmenter sur les prix offerts en septembre, quoiqu’ils soient toujours considérablement en dessous des prix de 1903. Référence Gazette du travail (1 novembre 1904): 447. |
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18 | No d'identification : 19750 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En Mauricie. Les marchands de bois engagent des hommes pour les chantiers. Plusieurs centaines d’hommes ont déjà laissé au même salaire que l’an dernier. Référence Gazette du travail (1 octobre 1905): 397. |
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19 | No d'identification : 19751 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En Mauricie. Un grand nombre d’hommes ont quitté pour se rendre dans les chantiers, les salaires étant à peu près les mêmes que l’année dernière et variant de 22.00$ à 36.00$ par mois avec la pension. Référence Gazette du travail (1 décembre 1905): 649. |
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20 | No d'identification : 19752 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En Mauricie. Les salaires pour le flottage sont de 1.50$ par jour, à peu près les mêmes que l’année dernière. Référence Gazette du travail (1 avril 1906): 1089. |
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21 | No d'identification : 19753 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Chez les jobbers. « Les prix payés sont assez élevés car les ouvriers sont nourris et logés. On paie jusqu’à 40.00$ par mois aux bons hommes. Le moyen prix est de 25.00$. » Référence «Premier rapport annuel du service forestier», Documents de la Session (D.S.), 41, 5, app. 20 Rapport du ministre des Terres et Forêts (1908): 44-65. |
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22 | No d'identification : 19754 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les bûcherons sont payés à la pièce. Le mesureur que la compagnie a engagé mesure au petit bout. Les billots qui ont moins de 4 pouces de diamètre sont refusés ainsi que ceux dont le bois n’est pas sain. Le mesureur marque d’un coup de crayon chaque billot qu’il reçoit et quand le mesurage est fini, il en donne un reçu au bûcheron; ce reçu servira aux bûcherons pour se faire payer au bureau de la compagnie. » Référence Le Nouveau Trois-Rivières (7 juin 1912): 6. |
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23 | No d'identification : 19756 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Durée de la coupe et moyen utilisé pour payer les bûcherons. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (7 juin 1912): 6, col. 2-6. |
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24 | No d'identification : 19757 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « La paye des chantiers de la compagnie Laurentide Pulp de Grand-Mère a lieu ici présentement dans les quinze premiers jours d’avril. Environ 80 000 se distribuent par l’entreprise au gérant, M. Albert L’heureux. St-Ignace-du-Lac. » Référence Le Bien Public (20 avril 1916): 6, col. 3. |
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25 | No d'identification : 19760 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On demande 2 “Buttermen” pour trier, tailler et marquer l’épinette et le pin. Gages 2.75$ par jour. 2 “Edgermen” doivent être des hommes de première classe. Inutile de faire application si l’on [n’] a pas l’aptitude voulue. Gage 3.50$, 6 pilleurs. On désire des hommes compétents. Gages: 3.30$. Aussi des hommes pour toutes sortes de travaux au moulin à scie et dans la cour à bois. Gages 2.00$ en montant. Travail de 9 heures. Ouvrage extra, payé temps et demi. Le travail durera 6 mois. Brown Corporation, La Tuque, Québec. » Référence Le Bien Public (19 avril 1917): 2, col. 1. |