Thème : Heures de travail |
Index thématique -> Conditions de travail et de vie -> Heures de travail |
![]() |
![]() |
1 - 22 sur 22 | ![]() |
![]() |
Imprimer |
1 | No d'identification : 19905 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Chacun se rendait à son poste au lever du soleil après un léger goûter armé d’un peevey, d’un Kendog, d’une perche ou de l’avion selon la tâche. La journée était divisée en 4. 1- 4 heures à 7 heures du matin 2- de 7 à 11 heures 3- de 11 à 4 heures 4- de 4 au coucher du soleil. En avril et en mai, cela faisait une journée de 16 heures. Congés de 3 1/2 heures pour les repas principaux à 7 heures 30, 11 et 4 heures. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 79. |
||
2 | No d'identification : 19907 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Heures de travail de flottage. « De plus, les heures de travail sont longues et comme il est de toute nécessité de profiter de la crue des eaux, les hommes sont réveillés dès 3 heures du matin et ne cessent que lorsqu’il fait trop noir pour continuer. Il est vrai qu’ils font 4 repas par jour et qu’un homme accoutumé gagne 2.50% par faire plus la nourriture. » Référence Le Nouveau Trois-Rivières (7 juin 1912). |
||
3 | No d'identification : 19909 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les heures de travail sont de 6 a.m. à 6 p.m., avec vers midi, les 20 minutes strictement nécessaires pour prendre leur repas. Quant aux infractions à la loi des accidents du travail, elles sont aussi flagrantes que nombreuses, mais je m’en expliquerai ultérieurement avec vous. Référence «Rapport de Louis Morin au Premier ministre sur sa visite au Témiscamingue», Documents de la Session (D.S.), 67, 70 (23 décembre 1933): 4. |
||
4 | No d'identification : 19910 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La durée du travail est limitée à environ 10 heures parce qu’il se fait à l’époque où les jours sont les plus courts, soit du milieu d’octobre au commencement de mars. Les hommes quittent donc le camp, le matin vers 6 1/2 heures, et abandonnent l’ouvrage le soir vers 4 1/2 heures. Ils consacrent d’ordinaire 1 heure au dîner. Pour ce qui est des charretiers, un homme consciencieux soigne ses chevaux le matin, deux heures avant de les mettre à l’ouvrage. Il doit également en prendre soin le soir durant la veillée, ce qui contribue à augmenter considérablement ses heures de travail. Toutefois sa tâche n’est pas aussi ardue que celle du bûcheron, parce qu’il est assis sur sa charge pendant au moins 4 heures par jour. Référence «Enquête du Ministre des Terres et Forêts», Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 18-19. |
||
5 | No d'identification : 19912 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire 1934. Le bûcheron qui travaille à forfait a à coeur de prolonger ses heures de travail parce que son salaire en dépend. Référence «Enquête du Ministre des Terres et Forêts», Documents de la Session (D.S.), 67, 90 (1934): 19. |
||
6 | No d'identification : 19913 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La durée du travail, laissée également à l’initiative de l’employeur, était réglée par la succession du jour et de la nuit, et encore empiétait-on sur celle-ci par les deux bouts. « D’une étoile à l’autre », comme on disait. Surtout à l’époque du charroyage et sur la fin de la saison, alors que la proximité de la fonte des neiges forçait à presser les travaux, la journée atteignait les douze, les treize, voir les quatorze heures sans compensation d’aucune sorte, il va sans dire. Référence Esdras Minville, La forêt, Montréal, Fides, 1944: 314. |
||
7 | No d'identification : 19915 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Ils faisaient des journées plus longues que les bûcherons. Dès 4 heures du matin, ils devaient voir à leurs chevaux. Ils faisaient 3 ou 4 voyages par jour. Ils n’étaient prêts à souper qu’à 8 heures en certaines occasions (entretien des chevaux). Ils avaient de plus gros salaires. « Il y a un siècle, la journée de travail dans les chantiers était de pas moins de onze heures; on commençait tôt le matin et on finissait tard le soir. Tous se levaient pour être prêts à déjeuner à six heures sonnant [...] J’ai entendu dire par des hommes dignes de confiance que, en différentes occasions, on était obligé de faire du feu pour ne pas se faire geler avant que l’on puisse voir assez clair pour travailler. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 77. |
||
8 | No d'identification : 19917 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Horaire d’une journée de travail du draveur batiscanais. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 163. |
||
9 | No d'identification : 19919 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Durée de la journée du draveur avant et après la guerre de 39-45. Référence Roland St-Amand, Les Laurentides batiscanaises; une géographie de l’exploitation des ressources naturelles, Thèse de maîtrise (géographie), Québec, Université Laval, 1969: 165. |
||
10 | No d'identification : 19920 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les scieries Ross (moulin des Américains). Ces scieries n’ont marché que durant le jour (été 1883), les heures de travail étant de 6 heures du matin à 6 heures du soir. Référence Le Journal des Trois-Rivières (22 novembre 1883): 2. |
||
11 | No d'identification : 19921 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Aux scieries Hall, Neilson et Co., durant toute la saison, on a travaillé jour et nuit, les journées de travail étant de 10 heures. Référence Le Journal des Trois-Rivières (15 novembre 1888): 2, col. 4-5. |
||
12 | No d'identification : 19923 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les propriétaires de scieries se plaignent de la difficulté qu’ils éprouvent à se procurer la main-d’oeuvre nécessaire. Quoique les gages payés soient assez élevés, le fait que les employés des moulins à scie soient obligés de faire des journées de onze heures explique peut-être cette difficulté. » Référence Le Trifluvien (22 août 1905): 8, col. 2. |
||
13 | No d'identification : 19924 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les employés des différentes scieries viennent d’obtenir des compagnies la journée de 10 heures au lieu de 11 heures qu’elle était autrefois. Les patrons se sont rendus de bonne grâce à une aussi juste demande. » Référence Le Trifluvien (4 juin 1907): 8, col. 4. |
||
14 | No d'identification : 19926 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Nous disions mardi que toutes les scieries de cette ville avaient accordé à leurs employés la journée de 10 heures. Ceci n’est pas tout à fait exact. La “Union Bag” a annoncé dernièrement à ses hommes, sans qu’ils en aient fait la demande, qu’ils auraient la journée de 10 heures et depuis les ouvriers des diverses scieries ont demandé à leurs patrons le même privilège. Cette demande a été accueillie favorablement par certaines compagnies mais toutes n’ont pas encore fait droit à cette demande. » Référence Le Trifluvien (7 juin 1907): 8, col. 4. |
||
15 | No d'identification : 19928 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « M. J.W. Dalton, gérant des scieries de la Union Bag & Paper Co., a été l’objet d’une sympathique démonstration de la part de ses employés ces jours derniers. Il lui fut offert un superbe cadeau pour le remercier d’avoir inauguré la journée de 10 heures aux scieries de la Union Bag. » Référence Le Trifluvien (18 juin 1907): 8, col. 2. |
||
16 | No d'identification : 19929 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Aussi des hommes pour toutes sortes de travaux au moulin à scie et dans la cour à bois. Travail de 9 heures. Ouvrage extra payé temps et demi. Le travail durera 6 mois. Brown Corporation, La Tuque. Référence Le Bien Public (19 avril 1917). |
||
17 | No d'identification : 20381 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire 3 rd, séries, section I. Auteur: E.Z. Massicotte. L’engagement: p. 18 Salaire: p. 19 Montée et descente du chantier: p. 19 Condition de vie (garde robe): p. 19 La nourriture: p. 21 La Banque: p. 22 La durée: p. 22 Hygiène (toilette et lessive): p. 23 Nourriture (approvisionnement): p. 23 Pratiques religieuses: p. 24 Les loisirs: p. 24-25 Chansons: Chansons de départ et d’engagement: p. 26 Chansons d’aviron: p. 27-28 Chansons des misères et des accidents du métier: p. 28-31 Chansons de blondes: p. 32-36 Chansons de drave: p. 36-37 Chansons de retour: p. 37 Référence Édouard-Zotique Massicotte, «La vie des chantiers», Transactions of the Royal Society of Canada, 3rd series, 16, sect. I, 1922: 17-37. |
||
18 | No d'identification : 19930 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Contre le travail du dimanche. » Un comité du maire et des échevins essaiera d’obtenir des compagnies de ne pas travailler le dimanche. Référence Le Nouvelliste (8 mars 1924). |
||
19 | No d'identification : 19931 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « La campagne pour le repos du dimanche. » Le R.P. Beaudry, aumônier, rencontre de nouveau le conseil du Cap-de-la-Madeleine avec un groupe de citoyens. Référence Le Nouvelliste (1 avril 1924). |
||
20 | No d'identification : 19933 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Le travail du dimanche, les ouvriers du papier et de la pulpe du Cap-de-la-Madeleine en faveur du système actuel. » Contre le projet de recommencer à minuit. Référence Le Nouvelliste (3 avril 1924). |
||
21 | No d'identification : 19934 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Le travail du dimanche va cesser à la Belgo à partir du premier janvier. » M. le curé Emile Cloutier de St-Pierre-de-Shawinigan prononce un vibrant plaidoyer pour le repos dominical, un geste bien accueilli. Référence Le Nouvelliste (7 janvier 1926). |
||
22 | No d'identification : 19936 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « La Consolidated Paper accusée d’avoir violé la loi du dimanche. » Référence Le Bien Public (5 octobre 1933): 16. |