Thème : Accidents de travail aux chantiers |
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1 | No d'identification : 19956 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On parle de plusieurs accidents survenus dans les chantiers. Cinq ou six hommes sont estropiés gravement. On n’a pas de nouvelles de M. Sébastien dont nous avons annoncé, l’autre jour, la disparition. » Référence Le Constitutionnel, 2, 78 (10 décembre 1869): 2, col. 5. |
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2 | No d'identification : 19958 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « A Deschambault, P.Q., un jeune homme du nom de Hamelin, fils de Mad. D. Hamelin, a été écrasé par un voyage de bois. On a beaucoup de sympathie pour sa mère dont il était le support. » Référence Le Constitutionnel, 108 (13 février 1871): 2, col. 4. |
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3 | No d'identification : 19959 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire L’article décrit un accident de travail aux chantiers de Messieurs Ross Ritchie et Co. Bras écrasé par un billot. Référence Le Constitutionnel (25 janvier 1882): 2, col. 6. |
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4 | No d'identification : 19961 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Lundi dernier, un matelot norvégien employé à la coupe du bois dans le chantier de M. Tommy Boyce, pour la maison Ross, Ritchie et Cie, s’est fait broyer une jambe par la chute d’un arbre qu’il était à abattre. On a fait transporter en cette ville le malheureux qui est actuellement sous les soins d’un médecin. » Référence La Concorde (20 décembre 1882): 2, col. 5. |
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5 | No d'identification : 19962 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Nous apprenons avec regret que M. Francis Dasylva, ci-devant constable à la gare de cette ville, s’est affreusement gelé la figure, les mains et les pieds, dans l’un des chantiers de bois du St-Maurice où il travaillait. Nous sympathisons avec la famille du malheureux. » Référence La Concorde (29 janvier 1883): 2, col. 6. |
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6 | No d'identification : 19965 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Mercredi Mr Alfred Lamarre de St-Jacques-de-Piles a été blessé grièvement. Il était à bûcher du bois lorsque sa hache rencontra une corde tendue au-dessus de lui. La tête de la hache vint le frapper avec force à la tête. M. Lamarre sera probablement obligé de garder le lit pendant trois ou quatre semaines. » Référence Le Trifluvien, 3 (17 novembre 1888): 3, col. 2. |
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7 | No d'identification : 19967 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les Piles. Ces jours derniers, M. Aimé Ricard, employé aux chantiers de Messieurs Hall, s’est versé l’eau bouillante sur un pied. Il est dans un état critique et l’on craint que l’amputation soit nécessaire. » Référence Le Trifluvien, 32 (6 mars 1889): 3, col. 4. |
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8 | No d'identification : 19969 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Pénible accident. Israël Lemoine de cette ville, employé dans les chantiers du St-Maurice depuis quelque temps, s’est fracturé un bras la semaine dernière en abattant un arbre. Lemoine a été ramené à Trois-Rivières samedi dernier où il est depuis sous les soins du médecin. Il n’est pas probable qu’il puisse travailler de l’hiver. » Référence Le Trifluvien (18 janvier 1893): 3, col. 4. |
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9 | No d'identification : 19970 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un pénible accident est arrivé ces jours derniers dans les chantiers du St-Maurice. Un brave ouvrier, M. Louis Allard, de cette ville, travaillant à l’équarrissage d’un billot, s’est fendu le genou. On le transporta chez lui ou, depuis lors, il garde le lit. Sa blessure, quoique douloureuse, semble ne présenter aucun danger. » Référence Le Trifluvien (28 janvier 1902): 8, col. 2. |
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10 | No d'identification : 19972 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « M. Hormidas Cossette, fils de Hubert, s’est fait briser une jambe par la chute d’un arbre alors qu’il était dans les chantiers du St-Maurice. Il y a deux ans il lui est arrivé un accident semblable dans lequel il se fractura alors l’autre jambe. Il est actuellement dans sa famille. » Référence «St-Narcisse de Champlain», Le Nouveau Trois-Rivières (12 avril 1912): 2, col. 1. |
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11 | No d'identification : 19973 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un ouvrier du nom de Jimmy Cadorette, à l’emploi de la “Saint-Maurice Lumber Co.” s’est fait fracturer une jambe par la chute d’une pierre, dans le haut du St-Maurice. Il a été transporté en chemin de fer à Trois-Rivières, où il demeure. » Référence «Accident sérieux», Le Nouveau Trois-Rivières (14 mars 1913): 10, col. 3. |
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12 | No d'identification : 19974 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un homme du nom de Dupont, employé comme bûcheron dans le canton de Blandford, s’est fait tuer par la chute d’un arbre qu’il était à abattre, jeudi dernier. Lorsqu’on a relevé l’infortuné, il était mort et avait le corps horriblement mutilé. Ce malheureux, qui laisse une femme et des enfants, demeurait dans les environs de notre ville. » Référence La Concorde (28 mars 1881): 2, col. 4. |
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13 | No d'identification : 19975 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Décédé subitement, le 18 avril dernier, dans les chantiers du St-Maurice, François-Xavier Bédard, second fils de Pierre Bédard, cultivateur de la paroisse de Notre-Dame-du-Mont-Carmel, il a été tué par un éboulis de terre gelée, qui est tombé sur lui, il était âgé de vingt ans et sept jours. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (1 mai 1868): 3, col. 3. |
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14 | No d'identification : 19976 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Un nommé Joseph Dupont employé aux chantiers de M. Stoddard se casse une jambe lorsqu’un arbre tomba sur lui. Le bûcheron est mort de la suite de ses blessures. Référence Le Journal des Trois-Rivières (5 avril 1871): 3, col. 3. |
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15 | No d'identification : 19977 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Un jeune homme de 21 ans est décédé à la suite d’un accident de travail dans un chantier à St-Prosper. Il s’était donné un coup de hache sur le pied. Détails sur l’accident. Référence Le Journal des Trois-Rivières (12 mai 1874): 2, col. 3-4. |
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16 | No d'identification : 19978 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un nommé Courteau de St-Grégoire, employé dans les chantiers du Lac des Piles, s’est fait tuer mardi dernier, par la chute d’un arbre, son cadavre a été transporté en cette ville. » Référence Le Constitutionnel (23 décembre 1881): 3, col. 1. |
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17 | No d'identification : 19979 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Histoire du décès d’un employé des chantiers à cause d’une indisposition. Référence Le Constitutionnel (5 février 1883): 3, col. 1. |
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18 | No d'identification : 19980 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un jeune trifluvien, Ed. Young, s’est fait tuer par la chute d’un arbre dans les chantiers de M. Little, sur le St-Maurice. » Référence La Concorde (11 janvier 1884): 2, col. 3. |
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19 | No d'identification : 19982 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Un homme de cette ville, du nom de Napoléon Girard, employé dans les chantiers de la rivière Tunt [ce nom n’est peut-être pas exact, il est mal écrit], s’est fait tuer accidentellement, la semaine dernière, par la chute d’un arbre qui lui tomba sur la tête. Son corps a été transporté à sa demeure en cette ville et sa sépulture a eu lieu ce matin. Référence Le Journal des Trois-Rivières (12 février 1885): 2, col. 3. |
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20 | No d'identification : 19984 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « On nous écrit de St-Adelphe qu’un bûcheron de cette paroisse a été tué accidentellement dans les chantiers près de St-Tite, par une branche d’arbre. Le défunt était à l’emploi d’un jobber et portait le nom de L. Milhomme. La mort a été instantanée. Le coroner a été notifié. » Référence «Accident mortel», Le Nouveau Trois-Rivières (25 novembre 1910): 6, col. 3. |
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21 | No d'identification : 19986 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Un accident fatal a eu lieu récemment dans nos chantiers. M. Urgel Jetté, cultivateur, employé comme foreman au chantier de M. Sinaï Morin, son beau-frère, a été frappé à la tête par une grosse branche de pin lorsque l’arbre bûché tomba par terre. Le blessé fut trouvé évanoui à quelques pas de là dans la neige. Transporté au campement où M. le curé a été appelé en toute hâte, puis à St-Ignace du Lac sous les soins empressés d’un médecin, le malade resta paralysé du côté gauche du corps, à l’opposé du côté qui reçut le coup mortel. Après trois ou quatre jours de souffrance, il mourut de ses blessures. Le défunt avait, cet automne, pris une police d’assurance sur la vie contre les accidents. Il laisse une veuve sans enfant. » Référence Le Bien Public (19 décembre 1918): 7, col. 3-4. |
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22 | No d'identification : 19987 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Suicide dans l’un des chantiers de Messieurs Benson, sur les bords de la Bostonnais. Référence La Concorde (31 janvier 1883): 2, col. 5-6. |
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23 | No d'identification : 19988 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Un suicide dans un des chantiers du haut St-Maurice. Référence Le Trifluvien (4 février 1893): 3, col. 5. |
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24 | No d'identification : 19989 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Suicide. Rivière-aux-Rats. Référence Le Trifluvien (14 février 1893). |
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25 | No d'identification : 19990 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « M. Olivier Frigon, de la paroisse de St-Maurice, travaillant un jour à un pilier d’estacade, perdit l’équilibre et fut entraîné dans le courant. Personnes ne se trouvait en état de la secourir, et sous les yeux de ses compagnons consternés, il gagna rapidement vers la chute (Chute des Piles). On croyait bien que c’en était fait de lui, mais il est bon et sage d’espérer contre tout espoir. Notre bon ouvrier, au moment où il perdit l’équilibre, portait une varlope d’une main et une planche de l’autre, et, selon l’habitude des naufragés, il ne laissa pas échapper ces objets; c’est à cette circonstance qu’il doit son salut. Il passa dans la chute avec la rapidité d’une flèche, mais la planche qu’il portait le protégeait contre le choc des pierres, et on alla le recueillir sain et sauf dans le grand remous dont nous avons déjà parlé. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 184-185. |