Thème : Montée et descente des chantiers |
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1 | No d'identification : 20426 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Meurtre aux Grès pendant la montée en chantier. Procès: Journal des Trois-Rivières, 02/04/1869, p. 2 et 3. Référence Le Journal des Trois-Rivières (9 octobre 1868): 2, col. 5. |
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2 | No d'identification : 20429 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le gouvernement n’a pas nommé de magistrat stipendiaire à Trois-Rivières, il en faudrait un. L’administration de la justice souffre. A cette époque de l’année, il y a beaucoup d’hommes de chantier et de marins dans la ville. Nécessité d’un tel magistrat afin de réprimer les désordres. Référence Le Constitutionnel (11 août 1869): 2, col. 1. |
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3 | No d'identification : 20430 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Les hommes de chantier commencent à monter dans le St-Maurice pour la coupe du bois de 1906. Il se fera peut-être un peu moins de billots cette année que l’an dernier car le commerce de bois paraît vouloir être un peu moins actif et les prix sont un peu moins rémunérateurs. » Référence Le Trifluvien (18 août 1905): 8, col. 3. |
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4 | No d'identification : 20431 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Pit Chevalier, charretier de l’époque 1900, avait reçu pour mission de l’entrepreneur de chantier Alexander Baptist de se rendre dans tous les bars des Trois-Rivières pour y cueillir des bûcherons qui, autrement, eussent manqué le train des Piles. [...] Chacun avait reçu la veille 5$ d’arbres pour faire une petite fête avant le départ. Plusieurs fêtaient trop et Pit Chevalier était justement engagé pour voir à ce que personne ne manquât à l’appel à la gare. Le lendemain matin, il se présentait au bureau de M. Alexander Baptist [...] et réclamait ses “50 ¢ par tête” du paie-maitre, M. W.D. Fisher. “J’ai ramassé, disait-il, huit, douze ou seize bûcherons dans les tavernes hier soir” et, selon le cas, il ajoutait: “Vous me devez 4$, 6$, ou 8$. » Référence Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 7, col. 1. |
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5 | No d'identification : 20434 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Lors du départ des hommes pour le chantier. « Pour leur remonter le courage et le moral, M. Baptist avançait à chacun d’eux une couple de bouteilles de gin ou de whisky. L’effet en était magique à ce qu’on dit. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 23. |
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6 | No d'identification : 20435 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Une montée habituelle au chantier d’un petit jobber de la Batiscan. Route, portages, campement, préparatifs. Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 79-80-81. |
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7 | No d'identification : 20437 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Préparatifs de départ et date du départ des camps des petits jobbers sur la Batiscan. Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 88-89. |
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8 | No d'identification : 20438 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Ambiance de la montée aux chantiers. Référence Raoul Blanchard, La Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1950: 56-57. |
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9 | No d'identification : 20439 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Trois-Rivières vers 1880. Les engagements pour les chantiers. Maigres salaires. Montée tumultueuse: ribotes et rixes. Les pilules au docteur Thérien. Aux Piles. Mékinac. Mattawin. Les frasques de Dondaine. Théodore Olscamp. A la Rivière-aux-Rats. Référence Pierre Dupin, Anciens chantiers du St-Maurice, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 11-31. |
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10 | No d'identification : 20441 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Quand les forestiers arrêtaient pour faire reposer les chevaux, ils allumaient toujours un feu. Référence Joseph-Charles Taché, Forestiers et voyageurs, Montréal, Fides, 1946: 26. |
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11 | No d'identification : 20536 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Description d’une rixe à St-Jacques-des-Piles à la fin du XIXe siècle. P. 59: L’arrêt à Trois-Rivières fut marqué par une bagarre et plusieurs des hommes furent coffrés. Le convoi comptait 800 hommes et à partir de Mont-Laurier, on mit huit jours pour atteindre le camp avec les hommes et les bagages. Référence Albert Tessier, Jean Crête et la Mauricie, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1956: 30. |
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12 | No d'identification : 20538 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Vers 1900. Les bateaux de Crête ont transporté des hommes à la centaine à l’embouchure de la Mattawin, de la Rivière-aux-Rats et à La Tuque. Cependant les opérations forestières d’été n’exigeaient qu’un petit nombre d’hommes, à comparer aux grandes équipes de la saison d’hiver. On montait alors vers le nord sur la glace du St-Maurice. À côté des chevaux qui tiraient des « bagagnoles », traîneaux plats et très bas chargés de marchandises plus lourdes, les hommes marchaient à pied, havresac au dos... La caravane de neige s’arrêtait à Joseph Roch puis à Mattawin, puis à Rivière-aux-Rats et elle dépassait même assez souvent La Tuque. Ces excursions avaient lieu au plus froid de l’hiver... tempête. Référence Le Nouvelliste (9 décembre 1950). |
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13 | No d'identification : 20381 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire 3 rd, séries, section I. Auteur: E.Z. Massicotte. L’engagement: p. 18 Salaire: p. 19 Montée et descente du chantier: p. 19 Condition de vie (garde robe): p. 19 La nourriture: p. 21 La Banque: p. 22 La durée: p. 22 Hygiène (toilette et lessive): p. 23 Nourriture (approvisionnement): p. 23 Pratiques religieuses: p. 24 Les loisirs: p. 24-25 Chansons: Chansons de départ et d’engagement: p. 26 Chansons d’aviron: p. 27-28 Chansons des misères et des accidents du métier: p. 28-31 Chansons de blondes: p. 32-36 Chansons de drave: p. 36-37 Chansons de retour: p. 37 Référence Édouard-Zotique Massicotte, «La vie des chantiers», Transactions of the Royal Society of Canada, 3rd series, 16, sect. I, 1922: 17-37. |
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14 | No d'identification : 20545 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Vers 1900. Quelques relais étaient semés sur la route du St-Maurice; celui de St-Roch fut particulièrement achalandé. Albert Crête (après 1900) se rappelle avoir causé un scandale général chez ses confrères bûcherons parce que las de coucher dans la cuisine ou dans le salon avec une dizaine d’autres hommes, il a, en une circonstance, préféré louer une chambre pour la nuit. Le tarif était de 25¢ pour trois. Les plus âgés du groupe ont déclaré: « Ce gars-là n’ira pas loin. Il dépense trop, c’est un gaspilleur. » Référence Le Nouvelliste (5 décembre 1950). |
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15 | No d'identification : 20549 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Vers 1925. Cette deuxième étape pourrait commencer historiquement vers 1925, soit l’année où la route terrestre de La Tuque, un casse-cou, même pour cette époque déjà éloignée, a été ouverte des Piles à La Tuque. Jean Crête a alors abandonné sa flotille. La région allait être ouverte de façon plus directe à l’exploitation forestière grâce à cette route de 110 milles qui longeait le St-Maurice et en défiait les innombrables précipices. Référence Le Nouvelliste (2 décembre 1950). |