Thème : Fermes et entrepreneurs |
Index thématique -> Agroéconomie -> Fermes et entrepreneurs |
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1 | No d'identification : 21227 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire La compagnie de la Baie d’Hudson avait un poste à La Tuque en 1828. La compagnie, en 1828, avait un poste à la Rivière aux Rats « qui consiste en un magasin, deux maisons et un très bon jardin qui fournit au poste tous les légumes nécessaires. Il y a des vaches. » En 1821, la compagnie organise un poste à Weymontachingue. Référence Raoul Blanchard, Le centre du Canada français, Montréal, Beauchemin, 1947: 425. |
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2 | No d'identification : 21228 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Arpenteur à commencer à l’embouchure de la rivière communément appelée Rivière-aux-Rats, affluent du côté ouest [...] où se trouve situé un poste de la Compagnie de la Baie d’Hudson. Rapport de John Bignell, 13 novembre 1848. La rivière Vermillon offre aussi des commodités aux exploiteurs de bois pour le fourrage, etc. attendu que depuis le 6e mille jusqu’au 23e mille, les rives des deux côtés sont des prairies naturelles, avec un bon sol produisant spontanément du foin, et susceptibles d’être mises en état de culture à peu de frais. Référence «Instructions à John Bignell, arpenteur provincial 15 mars 1847», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, App. W.W. (1850). |
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3 | No d'identification : 21229 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Les commerçants de bois ont fait des défrichements sur divers points du St-Maurice entre les Piles et le confluent du Mattawin, ainsi qu’en remontant ce dernier cours d’eau jusqu’au Lac des Pins où il existe un établissement considérable qui appartient à la maison Gilmour & Cie, de Québec. Référence «Rapport du commissaire des terres de la Couronne», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15, 25 (1857). |
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4 | No d'identification : 21230 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Il y a à La Tuque et dans quelques autres places des fermes qui fournissent une partie des provisions nécessaires pour les chantiers. » - Il s’agit peut-être des fermes des entrepreneurs. - Référence L’écho du St-Maurice (5 février 1858): 2, col. 1-3. |
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5 | No d'identification : 21231 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Il y a deux fermes sur le front de ce canton, l’une appartenant à la succession Hall et l’autre à M. Baptist (canton Polette). Il y a dans le 2e rang à l’embouchure de la Rivière aux Rats une grande ferme appartenant à M. Baptist (canton Turcotte), et sur laquelle on récolte de grandes quantités de foin, d’avoine, de pommes de terre, etc. Il y a aussi plusieurs défrichements le long de la Rivière aux Rats, quelques-uns appartiennent à M. Baptist, et d’autres ont été abandonnés par les hommes du chantiers après qu’on eût fini la coupe du pin dans le voisinage. Référence Département des terres de la Couronne et Commission géologique du Canada, Description des cantons arpentés et des territoires explorés de la province de Québec: extraits des rapports officiels d’arpentages qui se trouvent au département des terres ainsi que de ceux de la commission géologique du Canada et autres sources officielles, Québec, Imprimeur de la Reine, 1889, 18 août: 93. |
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6 | No d'identification : 21232 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire M. Adolphe Larue aurait été le premier colon de la Croche, s’y étant établi dès l’année 1868, sur la ferme que M. G. Gouin de Trois-Rivières y avait fait défricher les années précédentes. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 184. |
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7 | No d'identification : 21233 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire En 1869, il y aura sur le bord du lac des Pins [...] « la ferme des Pins grand défrichement en pleine culture appartenant à M. Hall, riche marchand de Québec. Là est l’entrepot de tous les chantiers de la Mattawin, de la rivière du Poste et du Lac Clair. » Référence Raoul Blanchard, Le centre du Canada français, Montréal, Beauchemin, 1947: 432. |
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8 | No d'identification : 21234 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Il y a de très bonnes terres le long de cette rivière qui prend sa source dans le voisinage de l’Ottawa [il s’agit de la rivière Matawin]. Plusieurs fermes ont même été défrichées, entre autres au Joug-au-Boeuf et au lac des Pins où M. Hall a des établissements considérables, et où M. Brassard essaie de fonder une colonie. » Référence Le Constitutionnel (31 août 1871): 2, col. 3-4. |
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9 | No d'identification : 21237 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « Nous voilà déjà rendus à la Grand’Anse, à douze lieues plus haut que les Piles. Nous ne sommes plus dans un pays sauvage. De chaque côté de la rivière sont les fermes de M. Hall où l’on aperçoit d’immenses prairies et des pâturages qui s’étendent à perte de vue. Sur le côté gauche du St-Maurice sont les fermes de M. Gouin et l’établissement de M. Théodore Olscamp. » Extrait du récit de voyage de Édouard Fortin. Référence Le Constitutionnel (31 août 1871): 2, col. 3-4. |
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10 | No d'identification : 21241 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Tiré d’un récit de voyage, les voyageurs sont dans la région du Rapide Croche. « M. A.P. Sweesey est logé plus bourgeoisement, à la Grande Pêche. Sa maison est même peinturlurée. On dirait un cottage qu’un banquier s’est fait construire à quelques lieues de la ville pour aller s’y reposer aux jours de grande chaleur. C’est sur la ferme de M. Stoddard que M. Sweesey est si bien logé. La compagnie américaine n’a pas donné à cette ferme tous les soins qu’elle devait avoir. Nous perdons de vue la ferme qui se trouve sur la rive gauche du St-Maurice et nous nous dirigeons vers les grandes prairies de Quinn. » Texte écrit par Edouard Fortin. Grande Pêche est située entre la Rivière-au-Rats et Petite Bostonnais. Référence Le Constitutionnel (18 septembre 1871): 2, col. 2-4. |
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11 | No d'identification : 21245 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Docithé Mathe, 45 ans, conducteur avec Mathias A... cuisinier: 40 ans. Arpents occupés: 200 Arpents améliorés: 153 Minots d’avoine: 1800 Minots de pois: 60 Patates arpents: 3, minots: 400 Foin arpents: 150 tonneaux de 2000 lbs ou bottes de 16 livres: 10 000 4 chevaux au-dessus de 3 ans 4 vaches laitières 200 lbs de beurre 4 cochons 8 bétails vendus ou tués pour boucherie 2 cochons vendus ou tués pour boucherie. Référence Recensement nominatif du Canada, 1871. |
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12 | No d'identification : 21248 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Alexandre Adams, 24 ans, cultivateur, avec toute sa famille. Dans la même maison, Pierre Adams, 70 ans, foreman, Georges Adams 23 ans, foreman, James Dickey, 30 ans, foreman. Arpents occupés: 3 000 Arpents améliorés: 200 Minots d’avoine: 1 500 Arpents en patates: 6 - 1 500 minots Navets: 40 minots Arpents en foin: 150; 17 000 (tonneaux de 2 000 livres ou bottes de 16 livres) 45 chevaux au-dessus de 3 ans 7 vaches laitières 5 cochons 2 moutons 1 bétail tué ou vendu pour boucherie 3 cochons tués ou vendus pour boucherie 200 livres de beurre 150 cordes de bois de chauffage. David McGregor, marchand de bois déclare 40 000 billots de foin. Référence Recensement nominatif du Canada, 1871. |
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13 | No d'identification : 21254 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire James Elliott, 36 ans, cultivateur. Ellen Elliott 29 ans. 2 maisons 2 entrepôts, magasins 4 granges et écuries 78 charrettes, chariots et traînes 11 embarcations ordinaires ou de plaisir 6 charrues et cultivateurs 1 machine à battre Locataire Arpents occupés: 1 500 Arpents améliorés: 200 Arpents en pâturage: 100 Minots d’avoine: 400 Patates: 3 arpents, 800 minots Betteraves: 2 minots Carottes: 1 minot Foin: Arpents: 100. Tonneaux de 2 000 lbs ou bottes: 6000 18 chevaux de plus de 3 ans 2 boeufs de travail 6 vaches laitières 6 autres bêtes de race bovine 7 moutons 4 cochons Bétail tué: 3 Moutons tués: 1 Cochons tués: 3 200 livres de beurre 50 cordes de bois de chauffage. Référence Recensement nominatif du Canada, 1871. |
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14 | No d'identification : 21258 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Alexandre Sweesey, 49 ans, cultivateur et famille: 6-15 Toussaint Bellemare, 57 ans, cultivateur et famille: 1-12 Théodore Olscamps, 45 ans, cultivateur et famille: 3-17 Ovide Dontigny, 40 ans, cultivateur et famille: 5-8 Pierre Mercure, 26 ans, fermier et famille: 6-5 Alselon Bause, 38 ans, cultivateur et famille: 7-11 6-15: 1 000 arpents occupés, 40 améliorés: Ferme Stoddard 1-12: 300 arpents occupés, 54 améliorés: Ferme Stoddard 3-17: 380 arpents occupés, 50 améliorés: Ferme Stoddard 5-8: 760 arpents occupés, 97 améliorés: Ferme Stoddard 6-5: 555 arpents occupés, 65 améliorés: Ferme de G.-A. Gouin 7-11: 180 arpents occupés, 45 améliorés: Ferme de G.-A. Gouin Alex Sweesey déclare 42 034 billots de pin et 6 880 billots d’autres bois. Référence Recensement nominatif du Canada, 1871. |
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15 | No d'identification : 21267 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Auteur: E. Gérin. M. Hall possède des fermes à la Grand’Anse. Sur le côté gauche du St-Maurice, ce sont celles de M. Gouin et l’établissement de Théodore Olscamp. A cause de l’éloignement, les récoltes se vendent à prix double qu’à Trois-Rivières. En 1870, M. Olscamp a tiré un bénéfice net de 800.00$ sur la vente de sa récolte. Référence Elzéar Gérin-Lajoie, «Le Saint-Maurice: notes de voyage», Revue canadienne, 9 (1872): 44. |
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16 | No d'identification : 21270 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Auteur: E. Gérin. « Ces grandes fermes que possèdent nos marchands de bois à la Rivière-aux-Rats et en d’autres endroits du St-Maurice leur sont d’un immense avantage. Elles leur fournissent à peu près tout le foin dont ils ont besoin. Ainsi M. Baptist n’achète plus de foin pour ses chantiers; il en a suffisamment sur ses fermes. M. Hall n’en achète presque pas non plus. » On mentionne aussi que M. Stoddard possède une ferme à Grande Pêche mais sans plus de détails. Référence Elzéar Gérin-Lajoie, «Le Saint-Maurice: notes de voyage», Revue canadienne, 9 (1872): 47. |
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17 | No d'identification : 21276 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Auteur: E. Gérin. M. Baptist a une ferme à l’embouchure de la Mattawin qui est tenue par un nommé Vaillancourt. Référence Elzéar Gérin-Lajoie, «Le Saint-Maurice: notes de voyage», Revue canadienne, 9 (1872): 41. |
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18 | No d'identification : 21279 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Maisons, hangars, granges, magasins, tout ce qu’il y avait sur la ferme de M. Hall, à la Rivière Croche, a été emporté par l’eau. Les granges pleines de foin de MM. Ritchie et Cull, à La Tuque, ont également été emportées, ainsi que les magasins et les autres édifices construits par M. Stoddard. Référence Le Constitutionnel (30 mai 1873): 2, col. 3. |
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19 | No d'identification : 21282 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Auteur: E. Gérin. MM. Broster, Baptist et Gouin ont une ferme près de l’embouchure de la Rivière-aux-Rats et Wessonneau. À la droite du St-Maurice près de l’embouchure de la Wessonneau et de la Rivière-aux-Rats, il y a la ferme de M. Broster, logée avec élégance, la ferme de M. Baptist, exploitée par M. Adams, [qu’on] peut trouver chez nos meilleurs cultivateurs des vieilles paroisses. Sur la rive gauche, en face de la Rivière-aux-Rats, il y a la belle ferme de M. Gouin, tenue avec un ordre parfait par M. Mercure. Référence Elzéar Gérin-Lajoie, «Le Saint-Maurice: notes de voyage», Revue canadienne, 9 (1872): 45. |
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20 | No d'identification : 21283 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Le pin n’est pas en grande quantité, ayant déjà été exploité partout (ce canton couvre le lac Wayagamack et ses environs). Des fonds de rivière, comme sur les lots nos 40 et 41, mis en culture par M. William Ritchie, et sur les lots nos 2 et 3 du même rang, par M. G.B. Hall, qui s’y sont livrés à l’exploitation des bois, servent à alimenter les chantiers de foin et d’avoine. Ces fermes sont tenues avec soin et l’on voit dans leurs étables des animaux de race de magnifique apparence. On remarque des ravages causés par le feu dans ce rang, depuis la grande jusqu’à la petite rivière Bostonnais sur un parcours d’environ 3 milles. La chaîne de montagnes du côté nord sépare la rivière Croche de la Rivière Bostonnais, laquelle rivière Croche se décharge dans le St-Maurice à 2 milles et 3/4 plus haut et du même côté. De magnifiques terrains s’étendent depuis le St-Maurice jusqu’à une certaine distance dans l’intérieur, laissant la chaîne de montagnes dont je viens de parler comme une arrête isolée entre les rivières Croche et Bostonnais. Une grande partie de ce beau terrain est occupée par G.B. Hall, qui y fait des défrichements près de son poste d’affaires: la ferme est tenue sur un bon pied et très fournie de bétail. Référence Département des terres de la Couronne et Commission géologique du Canada, Description des cantons arpentés et des territoires explorés de la province de Québec: extraits des rapports officiels d’arpentages qui se trouvent au département des terres ainsi que de ceux de la commission géologique du Canada et autres sources officielles, Québec, Imprimeur de la Reine, 1889, 18 août: 88. |
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21 | No d'identification : 21286 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Incendie de deux granges appartenant à George Baptist de la Rivière-aux-Rats. Le feu aurait été allumé par Adolphe Cossette qui avait été congédié quelque temps auparavant. Référence Le Journal des Trois-Rivières (4 novembre 1880): 2, col. 3. |
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22 | No d'identification : 21287 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire M. Adolphe Larue est un Trifluvien [...] puis il est venu ici, il y a 19 ans [vers 1868], prendre possession d’une belle ferme qui appartenait d’abord à un commerçant de bois, M. George Gouin. M. Larue est le premier colon de la Rivière-Croche [à 4 milles de l’embouchure de la Rivière Croche]. Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 72. |
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23 | No d'identification : 21289 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « La ferme de M. John Baptist. Cette ferme est tenue par M. Alexander Adams, qui a sous ses ordres une équipe de 13 hommes tous catholiques. Il récolte une grande quantité d’avoine, et plus de 30 000 bottes de foin sur cette terre magnifique. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 52. |
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24 | No d'identification : 21291 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire « À l’endroit où la Rivière Croche se jette dans le St-Maurice, il y a deux magnifiques fermes; celle qui est du côté de La Tuque appartient à M. Alex Baptist et a été louée à M. B. Hall. Celle qui est du côté nord appartient à Jean Baptiste Boucher, ci-devant chef des Sauvages de Montachinque. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 68. |
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25 | No d'identification : 21294 | Fonds : Exploitation forestière |
Information documentaire Au-delà de la Grande Bostonnais commence une large plaine de terrain d’alluvion couvert de foin bleu et de vigoureuses pousses d’aulnes, qui s’étend jusqu’à la rivière Croche, à 6 milles plus loin. Le sol est partout ici d’une richesse extraordinaire et des plus faciles à défricher, puisqu’il n’y a guère de grands arbres. La ferme de la maison Hall située en cet endroit est une des plus importantes du St-Maurice. Les grains et le foin y donnent un rendement égal aux meilleures terres d’alluvion du fleuve St-Laurent. Référence La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 17. |