Toponyme : Cachée, Rivière |
Index toponymique -> Cachée, Rivière |
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1 | No d'identification : 20427 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Le 31 août 1830, Peter Paterson a reçu de John Davidson, agissant pour W.B. Felton, agent des terres de la couronne, le privilège de couper 10 000 billots de pin sur le côté ouest de la rivière St-Maurice, des chutes Shawinigan aux chutes des Grès. Ceci était une erreur car ce territoire appartenait à Matthew Bell. Paterson employa alors des hommes pour explorer le côté est de la chute des Hêtres aux Grès et ces personnes choisirent des sites qu’ils croyaient n’appartenir à personne. Ils ont aménagé le terrain, érigé des camps, fait des chemins et nettoyé la rivière Cachée de ses obstructions sur une distance de 4 milles. Des emplacements similaires ont été faits aux hêtres et aux chutes de Shawinigan. John Stewart, agent des Jésuites, interdit à Paterson de couper du bois sur les terres des Jésuites. Face à cette interdiction, Paterson envoie un mémoire à Lord Aylmer pour lui demander de trancher en sa faveur, sans quoi il ne pourra remplir ses engagements et fournir les 10 000 billots de pin pour le sciage. Référence Archives publiques du Canada. RG4-A1, Vol. 331, Memorial of Peter Paterson, merchant of Québec, 31 août 1830. |
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2 | No d'identification : 20524 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « L’on dit que la propriété appartenant à la succession de feu Edouard Greene, écuyer, située à la Rivière Cachée, à 5 ou 6 milles de la chute de Shawinigan, a été vendue dernièrement à un monsieur Baptist de Québec pour la somme de 14 £; preuve, s’il en est besoin, que les terres situées en haut des forges St-Maurice ne sont pas, quoiqu’on en dise, de la plus mauvaise qualité. » Référence Gazette des Trois-Rivières (17 septembre 1846): 3, col. 2. |
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3 | No d'identification : 20554 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « C’est sur la rivière Cachée que furent établies les premières scieries de quelqu’importance dont il soit fait mention le long du St-Maurice. M. Greeve, qui avait fondé cet établissement, comptait M. John Baptist parmi ses employés. M. Baptist était jeune, mais il était observateur et avait une grande force de volonté; il acquit de l’expérience dans l’exploitation du bois, et quand il quitta M. Greeve, il alla bravement établir ses scieries au rapide des Grès. Tout le monde sait qu’il fit faire un pas immense au commerce du bois, et qu’il sut enfin arriver à la fortune. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 232. |
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4 | No d'identification : 20572 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Edward Grieves est le plus ancien exploitant. En 1837, il faisait la coupe du bois sur la seigneurie du Cap et il en faisait le sciage à la rivière Cachée. En 1839, il fait chantier à la rivière Cachée. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 14. |
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5 | No d'identification : 20573 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Résumé : George Baptist aurait travaillé pour Grieves à titre de commis et pour mesurer de bois. Boucher ajoute que le règne de Grieves est de courte durée et que quelques années après 1839, la scierie de la rivière Cachée a disparu. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 14. |
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6 | No d'identification : 20578 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Rente constituée de 50 livres par année dont il pourra se libérer au paiement de 850 £ courant, intérêt, etc. Pour assurer le paiement, Grieves, hypothèque « a certain Mill dam, one saw Mill and other building situated ans lying at a certain place called Rivière Cachée together with all that tract of land situated in the parish of St-Maurice, in the seigneurie of Cap de la Madeleine and more particulary desaribed at number 420 [de l’enregistrement] ». Référence Bureau d’enregistrement de Trois-Rivières, Registres A et B, Rente constituée de Edward Grieves, 30 mars 1843. |
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7 | No d'identification : 20580 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire George Baptist et John Gordon achètent de Denis Benjamin Papineau, administrateur des biens des Jésuites, une place de moulin sur le côté nord-est de la rivière St-Maurice, sur le lot no 6-7 et 8 de la concession nouvellement explorée au-dessus de la rivière Cachée, dans la seigneurie du Cap de la Madeleine, tel que représenté au plan qui a été dressé par H. Legendre en date du 5-6 du mois de mars 1847, pour la somme de 275 livres courant, 68 livres 15 chelings comptant. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 15 mai 1847. |
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8 | No d'identification : 20612 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire George Baptist et Thomas Gordon vendent à George Hale, marchand de bois demeurant à la rivière Cachée, un lopin de terre de 56 arpents et 5 perches par 20 arpents, formant le bout nord-ouest d’une certaine étendue de terre située dans la seigneurie du Cap de la Madeleine, laquelle contient en tout deux lieues de front sur la profondeur de 20 arpents, front à la rivière St-Maurice, arrière aux terres non concédées, avec ensemble les moulins, maison et autres bâtiments dessus construits, acquis de Margaret Grieves, le 8 décembre 1847 devant le notaire W. [...], le prix de la présente transaction étant de 1000 livres courant. Référence Archives municipales de Trois-Rivières. Conseil municipal, Procédés du conseil municipal de Trois-Rivières, 17 novembre 1885. |
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9 | No d'identification : 20753 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Résumé : Le plus exploitant de la forêt est M. Edward Grieve. Il faisait la coupe dans la seigneurie du Cap-de-la-Madeleine (1837) et faisait sciage à la rivière Cachée près de la Gabelle. En 1839, il fait chantier à la rivière Cachée. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952. |
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10 | No d'identification : 20790 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Extrait : Tiré d’un rapport d’exploration présenté aux ministères de l’Agriculture et des Travaux publics. « À environ trois milles et demi au nord de l’Islet, coule de la rivière Cachée autre tributaire du St-Maurice. Cette rivière fournit plusieurs bons pouvoirs d’eau déjà exploités en partie. Messieurs J. Bapt. Gaudet et Joseph Lord y ont des moulins à farine et à scie. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (11 mars 1875): 1, col. 4-5. |
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11 | No d'identification : 20791 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Tiré d’un rapport d’exploitation du comté de Champlain présenté aux ministère de l’Agriculture et des Travaux publics. Textuel : « Enfin, à deux milles et demi plus au nord que la rivière Cachée, on rencontre, en suivant le chemin Labarre, la petite rivière de l’Île aux Tortues, qui s’est creusée un lit profond dans un terrain argileux, et qui forme quelques bons pouvoirs d’eau. M. Pierre Lord, colon de l’endroit, y possède tout près du chemin Labarre, un petit moulin à scie qui sera d’un grand secours aux colons qui commencent à s’établir le long de ce chemin, trois milles au moins des autres établissements. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (11 mars 1875): 1, col. 4-5. |
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12 | No d'identification : 22749 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Comté Champlain, paroisse St-Maurice. Trois personnes, occupation : bourgeois du bois. Le reste sont « engagés » ou « journaliers » (1 feuillet) : 50 personnes dont 8 femmes. On donne le lieu de naissance mais pas celui de la résidence. Les deux sont-ils confondus? Aucun autre détail sur la nature des bâtiments habités ou autre. Un moulin à scie est recensé. Il s’agit de celui de Grieves à la rivière Cachée qui est tenu par John Baptist. Engagés : tous de Québec. Référence Recensement nominatif du Canada, 1851. |
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13 | No d'identification : 22825 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Deux scieries, combinées avec celles à blé, ont fonctionné durant une dizaine d’années, celle du nommé Bernier et celle des Américains au rang St-Boniface. La rivière Shawinigan en faisait fonctionner 4 ou 5 autres, avant l’érection de celui (moulin) de St-Mathieu en 1882. Le plus célèbre, qui existe encore (1952), est celui construit par M. Théophile Rickaby dès 1856, sur la rivière Shawinigan. 2 ou 3 à St-Maurice et Notre-Dame-de-Mont-Carmel, sur les rivières Cachée et au Lard. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 33-34. |
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14 | No d'identification : 22302 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire En 1831, Petter Patterson de Québec obtient un droit de coupe de 10 000 pins blancs dans le St-Maurice. En 1836, John Thomson obtient un droit de coupe de 3 ans aux sources du St-Maurice. En 1839, Edmond Greive ouvre un chantier à Rivière-aux-Rats. En 1840, Baptist construit un moulin à scie à la Rivière Cachée qu’il déménage à St-Étienne-des-Grès en 1852. Référence Roland St-Amand, La Géographie historique et l’exploitation forestière du bassin de la Batiscan, Mémoire de licence (géographie), Québec, Université Laval, 1966: 67-69. |
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15 | No d'identification : 22301 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « L’exploitation de nos forêts de pins a fait surgir le poste des Grès, le déclin de cette exploitation l’a fait précipiter et mourir. Or on sait que l’exploitation des forêts du St-Maurice n’a commencé qu’au début du siècle dernier. Elle ne prendra vraiment d’ampleur qu’après les travaux d’aménagement du St-Maurice, à partir de 1852. Le plus ancien exploitant est M. Edward Grieve. En 1837, il faisait la coupe du bois sur la seigneurie du Cap-de-la-Madeleine et il en faisait le sciage à la rivière Cachée près de la Gabelle. En 1839, il fait chantier à la rivière Cachée. Son règne fut de courte durée: quelques années plus tard, sa scierie était disparue. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 14-15. |
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16 | No d'identification : 15425 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Il [George Baptist] vint ensuite dans la région des Trois-Rivières et travailla au service d’un Monsieur Reeve, qui faisait couper du bois sur le St-Maurice et en opérait le sciage à l’embouchure de la rivière Cachée (Mont-Carmel). Monsieur Baptist acquit plus tard du bois à son compte et s’organisa pour le scier afin de pouvoir l’exporter: en 1846, il construisit à cette fin une scierie aux Grès. En 1852, il dirigeait un très considérable commerce de bois et possédait dans les bassins des rivières aux Rats et Mattawin sept cents milles de “limites”, dont il tirait en cette même année vingt-cinq mille grandes bûches. En 1867, il édifia une scierie sur l’île St-Christophe près des Trois-Rivières. » Référence Auguste Désilets, La Grand’Mère, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1933: 13. |
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17 | No d'identification : 15399 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Deux scieries ont fonctionné durant une dizaine d’années, celle du nommé Bernier et celle des Américains au rang St-Boniface. La rivière Shawinigan en faisait fonctionner 4 ou 5 autres, avant l’érection de celui (moulin) de St-Mathieu en 1882. Le plus célèbre qui existe encore (1952) est celui construit par Monsieur Théophile Rickaby dès 1856, sur la rivière Shawinigan. 2 ou 3 à St-Maurice et Notre-Dame-de-Mont-Carmel, sur les rivières cachées et au Lard. Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 33-34. |
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18 | No d'identification : 19663 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Chemin de la Madeleine. Conducteur : D.G. Labarre. Ce chemin situé dans la seigneurie de la Madeleine, a son point de départ au rang St-Félix, suit la rivière St-Maurice et doit se terminer aux Piles. Depuis le rang St-Félix, en descendant, le chemin est ouvert jusqu’au fleuve St-Laurent. Cette partie est parachevée; vingt-cinq arpents de chemin ont été ouverts et complétés cette année, ainsi que deux côtes de 3 arpents et 3 1/2 arpents, de chaque côté de la rivière Cachée. Un pont temporaire a été construit sur cette rivière, de 42 pieds de longueur. Il existe des pouvoirs d’eau sur la rivière Cachée, et l’on trouve partout du minerai de fer en grande quantité. M. Labarre m’écrit que ce chemin traverse la meilleure contrée de terre qu’il y ait dans la seigneurie du Cap de la Madeleine. Le sol est très riche et très facile à cultiver. Les terrains sont en partie de terres à grain avec le bois mêlé et en partie de bonne terre jaune avec bois franc. Les terrains adjacents sont de même qualité. Ce chemin offre de grands avantages à la colonisation par l’excellence du sol, par la quantité de bois de commerce qui s’y trouve et l’abondance de minerai de fer que le colon peut exploiter en le vendant aux fonderies établies près du chemin. Dans quelques années, deux belles paroisses seront formées, qui seraient déjà établies si le chemin eut été ouvert plus tôt. Il s’est formé beaucoup d’établissements dans les environs du chemin depuis 5 ans et les terres sont en parties prises. Référence Département de la colonisation Bureau de l’agriculture et des statistiques, Rapport sur les chemins de colonisation dans le Bas-Canada pour l’année 1866, Ottawa, Hunter, Rose & Lemieux, 1867: 16. |
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19 | No d'identification : 16021 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire D’origine irlandaise, Monsieur Denis Gill « fut résident au Mont-Carmel durant quelques années. Ayant des capitaux à sa disposition, il construisit sur la petite rivière à la Rouille, près de la rivière Cachée, un moulin à scie, actuellement (1907) la propriété de Messieurs Veilleux. Bon, affable, généreux, Monsieur Gill a fourni de l’emploi, donné du travail à plusieurs des nouveaux colons, qui ont pu, en gagnant le pain pour leurs familles, faire certaines épargnes et les employer à pousser plus activement le défrichement de leurs terres. Doué d’une belle intelligence, possédant des connaissances étendues en histoire naturelle, spécialement en botanique, en médecine même, Monsieur Gill a pu, en maintes occasions, fournir aux défricheurs des renseignements précieux, des conseils très utiles dans les situations diverses où ils se trouvaient tous. Il a quitté le Mont-Carmel et s’est dirigé vers la province d’Ontario, pour se fixer à Ottawa. Son départ a causé de vifs regrets au sein des familles, qui ont gardé de ce brave homme un bon et durable souvenir. » Référence David-Ovide Sicard De Carufel, Notes sur la paroisse de Notre-Dame-du-Mont-Carmel : Comté de Champlain, P.Q., Trois-Rivières, La Compagnie de Carufel, 1907: 81. |
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20 | No d'identification : 16024 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Monsieur Joseph Lord, natif de St-Grégoire, époux de Dame Victoire Landry, est venu en l’année 1850, se placer sur le lot numéro 2 du rang St-Félix. Monsieur Lord a ensuite quitté le rang St-Félix pour se fixer définitivement au village, où il a été en même temps cultivateur, marchand, propriétaire d’une scierie et d’un moulin à farine construits au rang St-Louis, sur la rivière Cachée. » Référence David-Ovide Sicard De Carufel, Notes sur la paroisse de Notre-Dame-du-Mont-Carmel : Comté de Champlain, P.Q., Trois-Rivières, La Compagnie de Carufel, 1907: 65. |
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