Toponyme : Caxton
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1 No d'identification : 5093 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
« Nous espérons donc [que] la vente des terres qui a eu lieu dernièrement, les arpentages que le gouvernement fera faire si on le demande dans les seigneuries de Batiscan et du Cap, ainsi que l’établissement de townships entre ces seigneuries et en arrière de Caxton, donneront une nouvelle vie à notre commerce et feront cesser l’apathie presque léthargique dans laquelle se meut péniblement depuis 170 ans la ville des Trois-Rivières. »

Référence
Gazette des Trois-Rivières (29 mai 1847): 2.
2 No d'identification : 6342 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Municipalité de la paroisse de St-Barnabé, Avis public.

Je donne par les présentes avis public que le demi-lot de terre ci-après mentionné sera vendu par encan public au village de St-Barnabé, comté de St-Maurice, lundi le 1er février prochain à 10:00 du matin, pour les cotisations et charges dues à la municipalité ci-haut mentionnée, à moins qu’elles ne soient déjà payées, avec les frais, au moins deux jours avant le jour ci-dessus indiqué. Le dit demi-lot se trouvant dans la municipalité de St-Barnabé, coté nord, du no 7, dans le quatrième rand du township de Caxton.

Moïse Carbonneau, secrétaire-trésorier du comté de St-Maurice.

Référence
L’Ère Nouvelle, 95 (30 novembre 1863): 2, col. 6.
3 No d'identification : 7550 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Vente par encan public de terres pour non-paiement de taxes, à Shawinigan et Caxton.

Référence
Le Bien Public (7 janvier 1910): 1, col. 4-5.
4 No d'identification : 7697 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
À vendre

Les lots de terre suivants, situés dans le Township de Caxton, savoir : no 1 dans le 1er rang, no 3 dans le 2e rang, nos 5, 6 et 10 dans le 3e rang, no 9 dans le 4e rang, no 16, 17 et 18 dans le 7e rang. La juste moitié du no 4 dans le 3e rang, avec maison, grange et autres dépendances.
S’adresser au soussigné, propriétaire
D.Grant.

Référence
L’écho du St-Maurice (24 septembre 1858): 3, col. 4.
5 No d'identification : 8134 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Olivier Dostaler fils, de St-Maurice qui veut abandonner l’agriculture offre en vente 6 terres à St-Maurice :
- Rang St-Alexis : 2 terres, 1 de 60 arpents, l’autre de 100 à 1/2 mille du village avec maison, grange et dépendances

- Rang St-Jean : 2 terres, 1 de 60 arpents, l’autre de 250. À 1/2 mille du village avec maison, grange et dépendances

- 2 terres au rang Ste-Marguerite : 60 arpents chacune, avec maison, grange, etc.

- 2 terres à Notre-Dame-du-Mont-Carmel

- 10 terres dans la paroisse de St-Narcisse, bien boisées et près du chemin de fer des Piles.

- 3 terres dans le 3e rang du township de Caxton.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (8 juillet 1886): 3, col. 1.
6 No d'identification : 8145 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Oliver Dostaler fils de St-Maurice met plusieurs terres en vente pour cause de maladie :

À St-Maurice (4 terres) :
- 2 dans le rang St-Alexis (50 arpents de superficie et 60 arpents de superficie) avec maison, granges et dépendances
- 2 dans le rang St-Jean à 1/2 mille du village (60 arpents de superficie et 250 arpents de superficie) avec granges, maisons, etc.

À Mont-Carmel : 2 terres

À St-Narcisse : 8 terres bien boisées près du chemin de fer des Piles

Dans le Township de Caxton : 3 terres.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (3 mai 1888): 3, col. 4.
7 No d'identification : 2853 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« Etat des polls pour le comté St-Maurice à l’élection d’un membre pour la Chambre d’assemblée législative de Québec :

Desaulniers Fontaine

Caxton 80 58
St-Sévère 42 72
St-Boniface 120 21
St-Etienne 108 28
Yamachiche 169 71
St-Banarbé 52 46
Pointe-du-Lac 107 38

Total : 678 334

Majorité pour M. Desaulniers 344 ».

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (6 septembre 1867): 2, col. 5.
8 No d'identification : 9848 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« On vient de découvrir une mine de phosphate sur les terres de Monsieur Valère Magnan et Zoël de Bellefeuille, à St-Mathieu, dans le township de Caxton, à peu de distance de la rivière Shawinigan.

Toutes les personnes intéressées sont priées d’aller faire une visite sur les lieux. »

Référence
La Concorde (3 septembre 1880): 2, col. 5.
9 No d'identification : 9887 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Présence des minerais de fer, de sulfure de fer et de cuivre, de plomb, de nickel, de cobalt et de plombagine (plomb-noir), de mine de fer des marais, celle d’aimants.

La mine de fer des marais près de la rivière Batiscan. Forges St-Maurice et Radnor.

Les sources minérales du St-Maurice, St-Léon, à Caxton, au Cap-de-la-Madeleine et aux Forges.

Référence
«Rapports du commissaire des terres de la Couronne : Territoire du St-Maurice.», Documents de la Session (D.S.) (1856).
10 No d'identification : 19609 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Il y a 4 ans on fit une chemin, de la côte à Turcotte à la Baie de Shawinigan, à l’aide d’un fonds créé expressément dans ce but en prélevant un bon de 10 louis sur la vente de chaque limite à bois. Le chemin des Piles, qui n’est que le prolongement du premier et qui conduit aux eaux navigables du St-Maurice, a été construit l’hiver dernier avec une somme d’argent avancée par le gouvernement, en anticipation du fonds que doit produire l’impôt d’une rente annuelle de 10 louis établie sur chaque limite à bois qui dorénavant sera mise en vente. En outre, on s’est servi quelque peu du fonds de colonisation, qui a fourni les moyens de construire le chemin de Caxton, de St-Barnabé et de St-Étienne. Pendant la plus grande partie des travaux, la route a été faite avec des fonds prélevés de la même manière et dans cette intention sur les limites à bois, ou avec des sommes avancées par le gouvernement en anticipation de ce qui proviendra de cette source. Mais, bien que les chemins fussent ouverts principalement dans le but de faciliter les opérations des commerçants, le commerce du bois et la colonisation sont si intimement liés l’un à l’autre qu’il est impossible d’aider le premier sans faire avancer celle-ci [...]; et les chemins ouverts pour l’avantage de l’industrie forestière ont été aussi la meilleure voie que l’on put prendre pour étendre des défrichements. Deux ans après que la route de Shawinigan fut terminée, elle se trouvait bordée d’établissement, d’une extrémité à l’autre.
Le chemin des Piles a permis aux véhicules à roues de se rendre en été jusqu’aux eaux navigables [...] et il a ouvert par conséquent le pays qui longe le St-Maurice sur une longueur de 120 milles. Il est donc important que toute cette voie soit entretenue toujours en bon ordre. L’ancien chemin qui va de Trois-Rivières à la côte à Turcotte où commence la nouvelle route a bien besoin de réparations.

Le chemin des Piles construit seulement l’été dernier a en ce moment le même résultat. On vient de faire le cadastre d’une commune sur la ligne de cette voie.
Joseph Cauchon.

Référence
Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15 (1857).
11 No d'identification : 19635 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Il n’y a pas de chemins de colonisation, à proprement parler, dans aucun de ces townships ou territoires (Polette, Turcotte, Shawinigan, Caxton, etc.) excepté celui qui part de St-Barnabé, dans Caxton, et qui va à St-Étienne. »
La longueur du chemin de St-Barnabé à St-Étienne n’est que d’une douzaine de milles, et toutes les bonnes terres qui les bordent de chaque côté sont occupées. Le chemin de colonisation qui doit aller de Ste-Flore à la rivière aux Rats sera long d’environ 40 milles. Il n’y a que 4 milles de ce chemin faits en partie l’été dernier et cependant de nombreuses demandes de terres ont été faites dans le voisinage. Le chemin des Piles, c’est-à-dire le chemin du gouvernement qui va de Trois-Rivières aux Grandes Piles sur le St-Maurice, a environ 38 milles de longueur.
[...] Les cantons de Polette et de Turcotte ne sont maintenant accessibles que par les canots et les portages, par la rivière St-Maurice, c’est-à-dire, après avoir dépassé les Piles.
Témoignage de Richard Lanigan, marchand de Trois-Rivières.

Référence
Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 20 (1862).
12 No d'identification : 20749 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Suite à la faillite de J.U. Ritter, ce dernier met en vente tout le stock de bois dont il dispose à son moulin dans Caxton. Quantité des pièces de bois de pin et de pruche mises en vente, date et termes de la vente.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (23 décembre 1848): 2, col. 1.
13 No d'identification : 21093 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Faillite de J.V. Ritter, ce dernier met en vente tout le stock de bois dont il dispose à son moulin dans Caxton. Quantité de pièces de bois de pin et de pruche mises en vente.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (23 décembre 1848): 2, col. 2.
14 No d'identification : 21492 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Le feu a déjà commencé ses ravages dans nos bois. Malgré les lois et les sages conseils, il y a toujours des imprudents qui mettent le feu aux abattis dans les plus grandes sécheresses, sans se soucier du vent. Dans St-Étienne, dans Caxton, les dégâts sont considérables. Nos cultivateurs et nos colons demandent de la pluie à grands cris.

Dans le haut du St-Maurice, cependant, il paraît que l’eau monte d’une façon alarmante. Il y a quelques jours, elle était à la Tuque d’une vingtaine de pieds au-dessus de son niveau ordinaire. »

Référence
Le Constitutionnel, 148 (29 mai 1871): 1, col. 1.
15 No d'identification : 3111 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
« ... Le gouvernement propose encore un nouveau bill pour régler la vente des terres publiques. Ce bill d’après ce qu’on peut en juger à première lecture est un amélioration considérable sur ce qui a été jusqu’à ce jour. Mais ce qui est surtout bien pour notre localité, c’est la libéralité que le gouvernement a montrée dans le règlement des affaires des Township de Caxton et de St-Étienne. Était-il possible de faire plus en faveur des courageux propriétaires de ces Township; était-il possible de mettre ces nouveaux colons dans une position plus favorable; était-il possible de soulager plus efficacement ces jeunes prisonniers de la colonisation que de leur vendre ces terres à prix normal? Je ne crois pas, hormis de leur faire un présent, un don pur. Mais le public en général et les gens dont je parle, en particulier, avoueront que ce serait une injustice faite à la partie du pays déjà habitée que de donner entièrement les terres nouvellement accordées à la population. Il faut au moins que la somme dépensée pour l’arpentage des Township soit remboursée par la vente de ces Township, et c’est cela seulement que le gouvernement a en vue en fixant le prix des terres. Caxton ne doit payer qu’un écu par âcre et St-Étienne aura probablement moins que cela à payer parce que les terres valent moins que cela à payer parce que l’ouverture de cette localité est de date plus récente. »

Référence
L’Ère Nouvelle (19 mars 1860): 2, col. 4.
Index toponymique -> Caxton