Toponyme : Champlain, Rivière |
Index toponymique -> Champlain, Rivière |
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1 | No d'identification : 14242 | Fonds : Trois-Rivières | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : Pierre Dosithé Morin, hôtelier de la cité de Trois-Rivières, failli. Je, soussigné, syndic dûment nommé à la faillite ci-dessus, donne avis de la présente, que, vendredi, le dix-huitième jour du mois de mars prochain, 1870, à onze heures de l’avant-midi, à la porte de l’église de la paroisse de Champlain, district des Trois-Rivières, je vendrai, comme appartenant à dit failli, l’immeuble ci-après décrit, savoir : un lot de terre sis et situé en la paroisse de Champlain, dans le troisième rang des terres nommées le rembours, de cent soixante et quatre arpents en superficie, joignant au sud des terres du second rang, au nord, les terre de la rivière Champlain, au nord-est, Joseph Cartier, au sud-ouest, Joachim Boisvert, sans bâtisse. Tous créanciers ayant des hypothèques ou privilèges sur l’immeuble ci-dessus décrit sont tenus de produire et fixer leurs réclamations au syndic, à son bureau, dans la cité des Trois-Rivières, sous six jours après le jour de la dite vente. T.E. Normand, syndic officiel Trois-Rivières, 2 novembre 1869. Référence Le Constitutionnel, 111 (8 mars 1870): 3, col. 2. |
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2 | No d'identification : 8607 | Fonds : Trois-Rivières | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Vendredi, de grand matin, il y a eu une collision entre le steamer “Polino” parti de Montréal, et une goélette qui avait laissé Québec pour apporter à Montréal du charbon, pris de la rivière Champlain, Batiscan. La barque a été fendue en deux parties, la cargaison engloutie; désastre complet. L’équipage est sauvé avec ses bateaux. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (19 juin 1876): 2, col. 4. |
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3 | No d'identification : 15438 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « L’industrie forestière donna lieu à l’établissement de scieries sur les rivières Champlain, Batiscan, Sainte-Anne. En 18??, les scieries Bell exploitaient les forêts de St-Luc et de St-Prosper*. Les billes de bois étaient descendues jusqu’au moulin situé sur la rivière Champlain pour y être sciées. [...] La pénurie de bois dans la région avoisinante des scieries obligea Monsieur Bell à fermer ses portes. » *Histoire de Champlain, Bien Public, Trois-Rivières. Référence André Montgrain, Monographie économique du comté de Champlain, Thèse de licence (sciences commerciales), Montréal, École des Hautes Études Commerciales, 1944: 38. |
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4 | No d'identification : 22493 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire L’auteur parle de l’industrie forestière dans le comté. Il est question des scieries sur les rivières Champlain, Batiscan et Ste-Anne, des industries locales qui surgiront vers 1875, de la naissance de l’industrie de la construction maritime liée au besoin d’exporter le surplus de bois et de produits agricoles. Référence André Montgrain, Monographie économique du comté de Champlain, Thèse de licence (sciences commerciales), Montréal, École des Hautes Études Commerciales, 1944: 38-40. |
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5 | No d'identification : 15703 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « La paroisse de St-Luc, érigée civilement le 3 décembre 1869, comprend une superficie de 14 milles carrés. La population de cette paroisse était en 1871, de 734 habitants et 123 ménages. Elle possède de beaux pouvoirs d’eau sur la rivière Champlain. Le sol y est bon, mais accidenté. On y remarquait les tanneries importantes de Messieurs Richardson, de Québec. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (15 mars 1875): 1, col. 5. |
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