Toponyme : Abitibi-Témiscamingue |
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1 | No d'identification : 23142 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Établissons maintenant l’inventaire des ressources forestières de la région et voyons quelles sont leurs possibilités d’accroissement. Monsieur Raoul Blanchard estime que la forêt recouvre 86,4 p.c. du sol dans le bassin du St-Maurice. Cette région se place au cinquième rang pour le volume de ses bois, après celles du lac St-Jean-Saguenay, de Manicouagan, et Pontiac-Gatineau, de l’Abitibi-Témiscamingue, avec un grand total de 6,4 milliards de pieds cubes de feuillus. Elle occupe la troisième place pour l’étendue de son boisé. » Référence L’actualité économique, 3 (1 janvier 1947): 514. |
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2 | No d'identification : 22402 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « L’unité forestière du St-Maurice offre plus de complexité que les précédentes. Le réseau hydrographique qui la sillonne prend ses sources à la ligne de partage des eaux des bassins de la Baie James et du St-Laurent, dans la zone des conifères, s’étend au sud du chemin de fer transcontinental à peu près jusqu’à la latitude de Grand-Mère, alors que la forêt se rattache aux bois mêlés à prédominance de résineux, rencontre plus au sud le prolongement oriental des peuplements mixtes de la région méridionale de l’unité Abitibi-Témiscamingue, et débouche dans la plaine du St-Laurent où, pour autant que la hache les aura épargnés, s’étendent des massifs feuillus à dominance d’érable, de hêtre, de merisier, de tilleul et de frêne. » « Sur une superficie totale de 24 076 milles carrés, près de 20 000 milles sont en forêt productive, avec un volume total d’environ six milliards et demi de pieds cubes, dont quatre milliards en résineux. » « L’accroissement annuel du stock ligneux se chiffre par 216 millions de pieds cubes, soit 17 pieds cubes l’âcre, auxquels les résineux contribuent 11 pieds cubes. La production annuelle de bois à pâtes, sciage et bois de feu atteint 80 millions de pieds cubes, de sorte que, si on la met en regard de l’accroissement, il apparaît que le St-Maurice est un excellent territoire d’approvisionnement, même si l’on doit faire quelques réserves à l’égard de certaines aires de coupe mal régénérées et de localités qui offrent peu d’attrait pour l’exploitation en raison de la faible densité des peuplements. » Référence Esdras Minville, La forêt, Montréal, Fides, 1944: 66. |
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