Toponyme : Croche, Rivière |
Index toponymique -> Croche, Rivière |
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1 | No d'identification : 1821 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Aperçu général des avantages qu’offre la vallée du St-Maurice au point de vue industriel et commercial (forêt, agriculture, minerai, etc.). Ensuite, pour définir davantage le sujet, on explique les possibilités que détient la rivière St-Maurice, au plan industriel, [...] etc. Elle fait bénéficier ses rives par le transport qu’elle offre et son débit d’eau. Pour mieux saisir l’importance d’un tel affluent, une courte description des paroisses est présentée depuis les Trois-Rivières jusqu’à La Croche, avec pour chacune un résumé des activités (agriculture, commerce de bois, commerçants, établissements forestiers, forges, etc.). Référence La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 32 p.. |
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2 | No d'identification : 8224 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Meurtre à la Croche. Vol de cordes à Yamachiche. Référence Le Journal des Trois-Rivières (22 janvier 1872): 3, col. 1. |
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3 | No d'identification : 19761 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Auteur: Paul Dufresne. D’abord de Montréal à la Croche, de l’autre côté de La Tuque, sur une distance de 220 milles, le chemin est en très bonne condition. Entre la Croche et la rivière Trenche, une distance de 15 milles, le chemin sera probablement construit par la Shawinigan Water & Power Co. très prochainement. Entre la Trenche et le chemin de Brown Corporation, il y a une distance de 25 milles à construire; de cet endroit la Brown Corporation a un chemin de 40 milles venant faire le raccordement avec le chemin de la Canadian International Paper Co., à Dessane et qui a 20 milles de longueur. Entre Dessane et Sanmaur, il y a 10 milles de chemin à construire. De Sanmaur, il y a un chemin jusqu’au bassin du lac à la loutre ou barrage Gouin sur une distance de 55 milles. Donc de Montréal au barrage Gouin sur une distance de 385 milles, il n’y aurait qu’une quarantaine de milles à construire tandis que le reste ne demanderait que quelques améliorations. Référence Paul Dufresne, «La situation forestière dans le St-Maurice et possibilité de développement», La forêt québécoise, 8, 1 (1 juillet 1944): 59. |
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4 | No d'identification : 19796 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « M. A. Larue, un colon de la rivière Croche du Haut du St-Maurice, était en cette ville ces jours derniers. M. Larue doit suggérer l’établissement d’une voie de communication entre les Piles et La Tuque au moyen d’un vapeur, ce qui développerait beaucoup les divers postes du St-Maurice. En dehors du commerce qui pourrait être créé par l’établissement d’une pareille ligne, il est convaincu que les touristes afflueraient bientôt dans ces régions où la nature a caché des beautés qu’on ne recouvre plus dans les pays défrichés, et où le poisson et le gibier peuvent faire les délices des amateurs. Nos gouvernement devraient faire quelque chose pour faciliter à ces braves colons un moyen de communiquer avec les anciens établissements, en été du moins, autrement qu’en canot d’écorce. Référence La Paix, 23 (3 février 1888): 3, col. 2. |
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5 | No d'identification : 20251 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « C’est pendant cette période relativement reculée que s’établirent différents relais, à St-Roch, à la Mattawin, à la Grand-Anse, à la Rivière-aux-Rats et à la Tuque et même à la Croche, où, selon Mtre Auguste Désilets, M. Adolphe Larue aurait été le premier colon de l’endroit, s’y étant établi dès l’année 1868, sur la ferme que M. George Gouin, des Trois-Rivières, y avait fait défricher les années précédentes. » Référence Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 184. |
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6 | No d'identification : 20280 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire À 18 milles de la Rivière aux Rats, on arrive à La Tuque qui est le terminus de la navigation depuis les Piles. Placé à la tête de la navigation, entouré d’un pays aussi fertile que pittoresque, servant d’intermédiaire au commerce de la Baie d’Hudson avec les Trois-Rivières, à portée de communications faciles et assez rapprochées avec la vallée du Lac St-Jean par la rivière Croche, le poste de La Tuque promettait beaucoup pour l’avenir, au point de vue du commerce et de la colonisation. Possédant des pouvoirs d’eau admirables et de grandes estacades pour retenir les bois de commerce provenant des plus puissants tributaires du St-Maurice, il devait attendre beaucoup de l’exploitation industrielle; et tous ceux qui connaissent quelque chose du St-Maurice, désignaient cet endroit se transformer dans un avenir prochain en une populeuse et florissante cité. Aujourd’hui il n’y a plus que quelques familles à la Tuque et la plupart des maisons construites jusqu’à ces derniers temps sont désertes. L’abandon de la ligne de navigation par bateau à vapeur établie autrefois par la compagnie américaine Philipps & Norcross et l’abolition de la station d’estacades du gouvernement, ces dernières années, ont enlevé ces espérances légitimes et brillantes, pour un temps, c’est-à-dire jusqu’à ce qu’on puisse rétablir la navigation à vapeur ou que quelque compagnie puissante fasse revivre toutes ces promesses de progrès, par la construction d’une voie ferrée reliant La Tuque aux grands centres commerciaux. Référence La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 15-16. |
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7 | No d'identification : 21287 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire M. Adolphe Larue est un Trifluvien [...] puis il est venu ici, il y a 19 ans [vers 1868], prendre possession d’une belle ferme qui appartenait d’abord à un commerçant de bois, M. George Gouin. M. Larue est le premier colon de la Rivière-Croche [à 4 milles de l’embouchure de la Rivière Croche]. Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 72. |
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8 | No d'identification : 21294 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Au-delà de la Grande Bostonnais commence une large plaine de terrain d’alluvion couvert de foin bleu et de vigoureuses pousses d’aulnes, qui s’étend jusqu’à la rivière Croche, à 6 milles plus loin. Le sol est partout ici d’une richesse extraordinaire et des plus faciles à défricher, puisqu’il n’y a guère de grands arbres. La ferme de la maison Hall située en cet endroit est une des plus importantes du St-Maurice. Les grains et le foin y donnent un rendement égal aux meilleures terres d’alluvion du fleuve St-Laurent. Référence La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 17. |
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9 | No d'identification : 22123 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « MM. Harry Downs et Ernest Gélinas, du service forestier, sont revenus la semaine dernière d’un travail de six semaines dans le district no 5, Croche Ouest, faisant les levers de plans de la coupe du bois en cette région, soit environ 35 milles carrés. Les lacs en cette région, disent-ils, sont encore couverts de glace et il y eut 8 jours mardi dernier, ils traversèrent le lac Commissaire avec un attelage de chiens. La neige dans les bois a une épaisseur d’environ 3 pieds. La région où ils furent est à 170 milles environ au nord de Grand-Mère. » Référence «Les lacs sont encore couverts de glace», Le Digesteur (27 avril 1921): 1, col. 3. |
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10 | No d'identification : 22124 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Les équipes s’organisent. 4 contremaîtres choisissent leurs employés. Joseph Boiscler ira au lac Jérôme, à 2 milles du dépôt. Philias l’Épicier se rendra au lac Caribou pour y descendre 60 000 bûches jusqu’à la rivière du Poste, par le lac Jérôme, alors que toutes les équipes se joindront aux hommes de Ferdinand Boisvert. Ce dernier monte au lac Croche, à 19 milles du lac Clair, et doit y descendre 60 000 billots par le tributaire principal, la rivière du Long, laquelle s’unit à la rivière du Poste en aval du lac Jérôme. Puis tous les groupes travailleront au nettoyage des deux rives jusqu’à l’île de France, but actuel des opérations, et située à l’embouchure de la rivière Mattawin, la principale artère du St-Maurice. Une dernière équipe, sous les ordres d’Agapit Desrosiers, surveillera les rapides du lac Albert, à mi-chemin entre les lacs Clair et Croche. » Référence Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 67. |
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11 | No d'identification : 22199 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « D’après une correspondance adressée de La Tuque au Lumberman, la descente du bois s’opère assez bien. MM. Benson et Cie, G.A. Gouin, Ritchie et Cull, Armstrong et Elliot ont tout sorti le bois qu’ils avaient dans les petites rivières. Il y a eu des incendies dans la forêt, surtout sur le Vermillon et entre les rivières Trenche et Croche. Les dommages sont peu considérables. Le feu a cependant détruit une petite quantité de billots appartenant à MM. Ritchie et Cull. » Référence Le Constitutionnel, 8 (20 juin 1870): 2, col. 5. |
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12 | No d'identification : 22237 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « Maisons, granges, hangars, magasins, tout ce qu’il y avait sur la ferme de M. Hall, à la rivière Croche, a été emporté par l’eau. Les granges pleines de foin de MM. Ritchie et Cull à La Tuque, ont également été emportées, ainsi que les magasins et autres édifices construits par M. Stoddard. On rapporte aussi que la glissoire de Shawinigan a été emportée par le courant. » Référence Le Constitutionnel (30 mai 1873): 2, col. 3. |
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13 | No d'identification : 23232 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Les rivières qu’il serait désirable de diviser immédiatement en limites sont la rivière aux Rats, Vermillon, Flamand, et Mattawin du côté ouest du St-Maurice, et les rivières Corche, La Trenche, Bostonnais et Mékinac du côté est; ces relevés pourront être ensuite étendus à d’autres rivières aussi importantes, mais pour lesquelles les demandes sont moins pressantes. Référence Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 11 (1852). |
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14 | No d'identification : 23356 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Intégral : « Avis aux commerçants de bois et autres. Seront offertes en vente, par encan public, mardi le 15 août, immédiatement après la vente des limites du gouvernement, deux superbes limites situées dans le territoire du St-Maurice, numéro 3 en arrière de la branche est de la rivière Croche, et numéro 4, Mattawin sud. Ces limites sont offertes en vente par les syndics de la session de biens de Geo. B. Hall. James Reynar, pour les syndics. » Référence L’Ère Nouvelle, 68 (24 août 1863): 2, col. 6. |
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15 | No d'identification : 23458 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire C’est M. George Baptist qui le premier a eu le courage de s’aventurer dans le bois pour y chercher une place de moulin. C’est aussi lui qui a obtenu le premier un permis de coupe du bois. Ce permis porte la date de 1847 et est signé de M. A. Bochet, agent des terres de Ste-Anne de la Pérade. Mais M. Baptist avait dès cette époque visité la plus grande partie du St-Maurice, car ces permis sont pour le bois situé entre la Croche et la Trenche. Et la Croche qui est le moins loin des deux est à plus de cent milles de Trois-Rivières. Il n’y avait alors ni carte du territoire ni règlement pour la coupe du bois. C’est en 1852 qu’il y eut pour la première fois une vente régulière de permis ou licences pour la coupe du bois. Référence Le Constitutionnel (18 octobre 1871): 2, col. 2. |
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16 | No d'identification : 23923 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Le sol se compose de sable et de terre franche; il est souvent médiocre mais en d’autres endroits il est excellent, produisant des sapins, bouleaux, frênes, trembles, épinettes et pins. Pendant trois ou quatre milles à partir de l’embouchure, le terrain s’élève en côtes abruptes à quelque distance de la rivière; elles sont quelques fois rocheuses et sont recouvertes d’un repoussis [sic] de trembles et peupliers, mais l’intérieur est recouvert de pins qui se trouvent en grande quantité des deux côtés de la rivière jusqu’au 17e mille; au-delà on trouve des pins rouges de petite venue, mais leur grandeur et leur nombre augmentent à mesure qu’on remonte la rivière jusqu’aux lacs où on dit qu’ils sont sans pareils. D’après mes observations et les renseignements que m’ont donnés MM. Vassal et Comeau, je dirais que les bois des rivières Vermillon, Croche et Ice Chisel sont supérieurs à ce que la rivière des Outaouais a jamais offert. » « La rivière Vermillon offre aussi des commodités aux exploiteurs de bois pour le fourrage, etc., etc., attendu que depuis le 6e mille jusqu’au 23e mille, les rives des deux côtés sont des prairies naturelles, avec un bon sol produisant spontanément du foin, et susceptible d’être mis en état de culture à peu de frais. » Référence «Rapport de John Bignell du 13 novembre 1848», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, App. W.W. (1850). |
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17 | No d'identification : 23829 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Au-delà d’un million de billots de sciage ont retenu par des estacades à l’embouchure de la rivière Croche. Référence Le Nouveau Trois-Rivières (9 septembre 1909): 2, col. 1-3. |
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18 | No d'identification : 23128 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Région de la rivière Croche en gagnant le lac Wayagamack: canton Mailhot. Le pin blanc est très rare; les marchands de bois n’ont laissé debout que les arbres ou trop éloignés ou trop pourris, leur coupe étant impossible ou peu profitable. Cette essence s’est peu reproduite, on trouve ici et là des bouquets de jeunes plants qui paraissent souffrir de l‘ombre épaisse que font les têtes de sapins. Là où on fait des coupes, le sol est jonché de têtes d’arbres non débranchées et de toutes sortes de débris qui sont le résultat d’une exploitation mal [le mot n’est pas écrit] et mal conduite: à tous ces détritus viennent s’ajouter les arbres que le vent a déracinés; on voit aussi les éclaircis occupés par une masse confuse qui empêche les semences de prendre terrain, ou de se développer lorsqu’elles ont pu germiner. Référence Région du St-Maurice: description des cantons arpentés, explorations de territoires et levers de plans de rivières, 1889-1908, Québec, Ministère des terres et forêts, Service des arpentages et Service du cadastre, 1908: 15-16. |
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19 | No d'identification : 23059 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Auteur: Paul Dufresne. Juillet-août 1944. La rivière St-Maurice atteint à sa source environ 1 500 pieds au-dessus du niveau de la mer, ses principaux affluents sont les rivières Mékinac, les deux Bostonnais, la Croche, la Trenche, les deux Pierriche, la Windigo, la Wabano, la Shawinigan, la Mattawin, la Wessonneau, la Rivière-aux-Rats, la Vermillon, la Flamand, la Manouan, la Ruban, etc., qui varient en longueur de 20 à 100 milles. Référence Paul Dufresne, «La situation forestière dans le St-Maurice et possibilité de développement», La forêt québécoise, VIII, 1 (1 juillet 1944): 47. |
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20 | No d'identification : 23053 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Les principaux affluents de la rive sud sont: les rivières Vermillon, Flamand et Manouan. Ceux de la rive nord sont: la Croche, la Trenche, les rivières Petite et Grande Pierriche et la Windigo. Les compagnies Canada Power et Paper Corporation, Belgo Canadian Paper et Brown Corporation y ont des réserves dont elles font grand cas. Référence Études économiques, 3 (1933): 12. |
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21 | No d'identification : 23048 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Levé du plan d’une partie du bassin de la rivière Croche, par J.F. Fafard, a.g. Référence Documents de la Session (D.S.), 64, 30, app. 23 du Rapport du ministre des terres et forêts, session 1930-31 (1931): 133-134. |
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22 | No d'identification : 23002 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « La rivière Croche doit son nom au cours sinueux qu’elle suit et vous pouvez donner libre cours à votre imagination, pour prendre une idée de la manière dont elle serpente au milieu des terres. Nous allons donc tantôt du nord au sud, tantôt du sud au nord, tantôt de l’est à l’ouest; pour faire un serpent, il faut décrire autour d’une pointe une parabole qui en a cinq. » Référence Napoléon Caron, Deux voyages sur le St-Maurice, Trois-Rivières, P.V. Ayotte, 1889: 70. |
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23 | No d'identification : 22994 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Les principaux affluents de la rivière St-Maurice sont la Shawinigan, la Mékinac, la Mattawin, le Petit Bostonnais, le Grand Bostonnais, les rivières Croche, Vermillon, Trenche, Grande Pierriche et Manouan. Référence Documents de la Session (D.S.), 11, 6 (1877). |
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24 | No d'identification : 22910 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Rapport concernant le relevé de la rivière Croche, tributaire du St-Maurice, par Henri Bélanger. Référence Documents de la Session (D.S.), 48, 5, app. 39 du Rapport du ministre des terres et forêts. (1914): 78. |
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25 | No d'identification : 22675 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Voir région de la Mattawin et bois de chauffage. On annonce le début de la construction d’un chemin de fer devant atteindre la Mattawin partant de Trois-Rivières. On parle de quantités immenses de bois de chauffage et de service qui pourrissent sur place dans la vallée de la Mattawin et de la Croche, faute de bonnes communications avec Trois-Rivières. Référence La Paix, 12 (23 décembre 1887): 2, col. 4. |
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