Toponyme : Manouan, Rivière
Index toponymique -> Manouan, Rivière
1 No d'identification : 21829 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dollard Dubé, de la Société d’histoire régionale de Trois-Rivières, explique l’organisation de la St-Maurice Forest Protective Association lors d’un voyage au poste de la Manouan.

Référence
Le Nouvelliste (16 août 1933): 3, col. 1-2.
2 No d'identification : 22265 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel :
« La mise en radeaux des billots marche à merveille. L’on reçoit de bonnes nouvelles du bois de M. Stoddard dans la rivière Manouan et l’on espère qu’il en descendra une partie cette année. »

Référence
Le Constitutionnel (19 juin 1874): 2, col. 3.
3 No d'identification : 22267 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les premiers billots de la Manouan sont arrivés dans les estacades. Ce sont les premiers qui aient été fabriqués dans des régions aussi éloignées et le mérite en revient à M. Stoddard. Quand on songe que ces billots sont manufacturés sur le territoire d’Ottawa, près de la rivière du Lièvre et qu’ils ont passé par Weymontachingue, on est étonné de l’esprit d’entreprise qu’il a fallu pour arriver à bonne fin et conduire ces billots à l’embouchure du St-Maurice.

Référence
Le Constitutionnel (19 mai 1875): 2, col. 4.
4 No d'identification : 23178 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« État indiquant les forces hydrauliques vendues ou louées par la province, du 30 juin 1905 au premier juillet 1906. »

Rapide des Hêtres, sur le St-Maurice. Chute sur la rivière Manouan. Puissance, acheteur, date de vente, prix payé, puissance utilisée, etc.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 40, 5, app. 65 du rapport du ministre des terres et forêts, 1906 (1907): 201-202.
5 No d'identification : 23553 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Vente de limites, juin 1903. »
Agence : St-Maurice
Étendue (Mille carré) : 398
Noms des acheteurs : Hiram Calvin et William Power
Étendue achetée par chacun : 228 (Calvin) 170 (Power)
Bonus obtenu: 40 198$ pour les deux
Bonus moyen par mille carré : 101,10$ pour les deux
Localisation des concessions : Arrière Manouan (Calvin) et Rivière St-Maurice (Power).

Référence
«Vente de limites, juin 1903», Documents de la Session (D.S.), 37, 5, Rapport du ministre des terres, mines et pêcheries (1904): IX.
6 No d'identification : 23569 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« État des coupes de bois figurant dans l’avis officiel des enchères de juin 1906 : vendues par le ministre des Terres et Forêts, les dates auxquelles elles ont déjà été offertes à l’enchère, l’étendue du territoire que chacune renferme, les régions où elles sont situées et le nom de la personne qui les a explorées. »
Manouan et Haut St-Maurice.

Référence
«État des coupes de bois figurant dans l’avis officiel des enchères de juin 1906», Documents de la Session (D.S.), 40, 5, app. 20 du rapport du ministre des terres et forêt (1907): 46-47.
7 No d'identification : 23921 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
P. 419: « Cette forêt n’est pas partout semblable à elle-même. La latitude impose aux bois une différenciation que l’homme par son exploitation a involontairement précisée.
Au nord du 49e degré, la véritable forêt boréale se déploie dans sa sobriété un peu morne. Sous un dur climat où la saison végétative ne dure que 5 à 6 mois coupés de gelées, le nombre d’espèces qui peuvent s’accommoder de ces rigueurs est restreint, leur croissance est lente et leurs dimensions demeurent médiocres. Les conifères en sont rois : en amont de la Manouan : épinettes, 2/3 du peuplement. Le bouleau constitue le 3/4 des feuillus. Le peuplier baumier et le tremble le suivent.
Cela fait 7 espèces prédominantes parmi lesquelles deux occupent ensemble le 4/5 du territoire.
La forêt mixte : De nouveaux conifères font leur apparition au sud : les pins blancs et rouges à l’aval de la Manouan, la pruche à Shawinigan. La proportion de résineux diminue régulièrement vers le sud. Les nouveaux feuillus sont plus nombreux encore : le merisier et l’érable apparaissent après le confluent de la Vermillon; l’orme et le frêne à La Tuque; le noyer, le chêne, le hêtre à Shawinigan. [...] les Laurentides habitées, c’est-à-dire la tranche de 100 à 150 km qui longe les basses terres du fleuve, sont un domaine des feuillus plus que des conifères. L’exploitation intensive dont ont été l’objet certains conifères a favorisé les feuillus qui prennent leur place, les incendies ont fait le reste en permettant au bouleau et au tremble d’occuper les territoires dont le feu à fait disparaître les épinettes et sapins. »

Référence
Raoul Blanchard, Le centre du Canada français, Montréal, Beauchemin, 1947: 419.
8 No d'identification : 23532 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Rapport du service hydraulique pour l’année finissant le 30 juin 1919.

Réservoir du Haut St-Maurice (réservoir Gouin) avec addition de 3 barrages sur la Manouan affluent St-Maurce.

Recettes totales provenant des eaux des réserves Gouin et autres.

Référence
«Rapport du service hydraulique pour l’année finissant le 30 juin 1919», Documents de la Session (D.S.), 52, II, app. 22 du Rapport du ministre des terres et forêts, session 1919-1920 (30 juin 1919): 49-53.
9 No d'identification : 23120 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
On se prépare pour le commerce du bois cet hiver. On s’attend à ce que les affaires soient aussi bonnes que l’année dernière. Tous les terrains du St-Maurice sont sous licence. La Manouan, jusqu’alors considérée comme inaccessible, sera ouverte par Stoddard.

Référence
Le Constitutionnel (30 septembre 1872): 2, col. 2.
10 No d'identification : 23059 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Auteur: Paul Dufresne.
Juillet-août 1944.

La rivière St-Maurice atteint à sa source environ 1 500 pieds au-dessus du niveau de la mer, ses principaux affluents sont les rivières Mékinac, les deux Bostonnais, la Croche, la Trenche, les deux Pierriche, la Windigo, la Wabano, la Shawinigan, la Mattawin, la Wessonneau, la Rivière-aux-Rats, la Vermillon, la Flamand, la Manouan, la Ruban, etc., qui varient en longueur de 20 à 100 milles.

Référence
Paul Dufresne, «La situation forestière dans le St-Maurice et possibilité de développement», La forêt québécoise, VIII, 1 (1 juillet 1944): 47.
11 No d'identification : 23053 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les principaux affluents de la rive sud sont: les rivières Vermillon, Flamand et Manouan. Ceux de la rive nord sont: la Croche, la Trenche, les rivières Petite et Grande Pierriche et la Windigo. Les compagnies Canada Power et Paper Corporation, Belgo Canadian Paper et Brown Corporation y ont des réserves dont elles font grand cas.

Référence
Études économiques, 3 (1933): 12.
12 No d'identification : 23045 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Comtés de Maskinongé et St-Maurice.
Levé du plan des rivières Poste, Mattawin, des Ceuilles, du lac Long, Vermillon, Manouan et Ligne Arcand et Temple, par J.O. Lacoursière, A.G.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 59, 5, app. 14 du Rapport du ministre des terres et forêts, session 1926 (1926): 107-110.
13 No d'identification : 22994 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les principaux affluents de la rivière St-Maurice sont la Shawinigan, la Mékinac, la Mattawin, le Petit Bostonnais, le Grand Bostonnais, les rivières Croche, Vermillon, Trenche, Grande Pierriche et Manouan.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 11, 6 (1877).
14 No d'identification : 22974 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dolard Dubé, de la Société d’Histoire Régionale de Trois-Rivières, décrit le poste de la Manouan.

Référence
Le Nouvelliste (19 août 1933): 3, col. 1-2.
15 No d'identification : 22972 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dolard Dubé, de la Société d’Histoire Régionale de Trois-Rivières, relate ses relations avec le personnel de la « St-Maurice Forest Protective Association » lors d’un voyage au poste de la Manouan.

Référence
Le Nouvelliste (17 août 1933): 3, col. 1-2.
16 No d'identification : 22971 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dolard Dubé, de la Société d’Histoire Régionale de Trois-Rivières, relate ses relations avec le personnel de la « St-Maurice Forest Protective Association » lors d’un voyage au poste de la Manouan.

Référence
Le Nouvelliste (16 août 1933): 3, col. 1-2.
17 No d'identification : 22961 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Comtés de Champlain et de St-Maurice.

Ligne séparative des comtés précités, établie par Monsieur l’arpenteur J.F. Fafard, comme contrôle cartographique et pour nous permettre de bien localiser les concessions forestières situées dans cette région.

« De Shawinigan à Parent, le terrain est fortement ondulé et impropre à la culture. Les principales essences forestières sont l’épinette, le sapin et le cyprès. La plus grande partie de ce bois peut être flottée dans la rivière St-Maurice par les tributaires que nous y rencontrons, comme la rivière Mattawin, Vermillon et La Manouan. »

Référence
Documents de la Session (D.S.), 58, 5, app. 14 du Rapport du ministre des terres et Forêts, session de 1925 (1925): 87.
18 No d'identification : 22864 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La rivière Manouan, de la ligne de temple au lac Kent (le territoire couvert commence à la décharge du lac Wabaskoutyunk).

M. Stoddard et Cie ont ouvert un chemin de 45 1/2 milles de la Mattawin à la Manouan.

En janvier 1873, Stoddard a une quarantaine d’hommes employés à construire des bâtisses sur la rivière Metabeckegziebi pour servir de logement.

Référence
Département des terres de la Couronne et Commission géologique du Canada, Description des cantons arpentés et des territoires explorés de la province de Québec: extraits des rapports officiels d’arpentages qui se trouvent au département des terres ainsi que de ceux de la commission géologique du Canada et autres sources officielles, Québec, Imprimeur de la Reine, 1889, 18 août: 499.
19 No d'identification : 2381 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
MM. L.O.A. Arcand et E.B. Temple, arpenteurs, chargés par le Département des terres de la couronne de l’exploitation de la rivière Manouan et du Lièvre sont partis hier, pour six mois.

Référence
Le Constitutionnel, 110 (4 mars 1870): 2, col. 4.
20 No d'identification : 22517 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
On se prépare pour le commerce du bois cet hiver. On s’attend à des affaires aussi bonnes que celles de l’année précédente. Tous les terrains du St-Maurice sont sous licence. La Manouan jusqu’alors considérée inaccessible sera ouverte par Stoddard.

Référence
«Notes locales», Le Constitutionnel, 5, 49 (30 septembre 1872): 2, col. 2.
21 No d'identification : 21975 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dossier sur St-Maurice Forest Protective Association par Alain Dion.

Le bureau de direction était composé de 6 directeurs, chacun représentant une des 6 plus importantes entreprises papetières de la région.

Le territoire est divisé en 4 districts:
a) St-Michel, courant les bassins des rivières Mattawin, Assomption, Maskinongé et du Loup.
b) La Tuque comprenant tout le bas St-Maurice et les rivières Trenche, Croche et Bostonnais.
c) Windigo-Flamand, Pierriche.
d) Manouan-La Loutre, regroupant tout le Haut St-Maurice et les rivières Manouan et Ruban.

Référence
Le Nouvelliste (25 avril 1928).
22 No d'identification : 21571 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Rivière Najona située sur la rive droite du St-Maurice dans le comté de Champlain à environ 15 milles en amont de la rivière Manouan. Le sol en général est pierreux et tout à fait impropre à la culture [...]. Le terrain avoisinant cette rivière en général est très montagneux, il y a un brûlé qui couvre la majeure partie de cette contrée, tel que j’ai pu le constater par le relevé des petites criques.

Référence
Région du St-Maurice: description des cantons arpentés, explorations de territoires et levers de plans de rivières, 1889-1908, Québec, Ministère des terres et forêts, Service des arpentages et Service du cadastre, 1908: 55.
23 No d'identification : 21310 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La plus grande partie du territoire dont je parle est composée de mauvaises terres, consistant généralement en plaines dont le sol est léger et sablonneux, et dans les localités plus accidentées, lorsqu’on s’éloigne des rivières le sol est dur et l’aspect du pays est rocheux et en montagnes. Il n’est par conséquent pas approprié aux établissements, et je ne justifierai pas le gouvernement à faire des dépenses, soit pour des arpentages ou autrement dans le but de l’établir. Il y a cependant de vastes prairies le long de presque toutes les rivières; en certains endroits on peut y faire du foin en quantités presque illimitées, et dans d’autres endroits des défrichements peu coûteux donneraient les mêmes résultats. Ces prairies ont beaucoup de valeur, et à mesure que l‘exploitation des bois se développera, il s’y formera indubitablement des établissements plus ou moins considérables.

La rivière St-Maurice reçoit 24 tributaires entre Trois-Rivières et Weymontachingue, assez considérables pour le flottage des bois. En voici les noms: en commençant à Weymontachingue, les rivières Manouan, Petit-Rocher, Petit Flamand, Windigo, Flamand, Coucoucache, Pierriche, La Trenche, Vermillon, Croche, Rivière-au-Lait, Bostonnais, Petite Bostonnais, Petit Ruisseau, Montagne, des Caribous, Rivières-aux-Rats, Wessonneau, Petit Batiscan, Rivière l’Oiseau, Bête Puante, Mattawin, Mékinac, Rivière au Lac des Pêches, Shawinigan. Les obstacles que ces rivières présentent à la descente des bois peuvent être facilement surmontés.

Référence
«Rapport de Olivier Wells», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 11 (1852).
24 No d'identification : 20311 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La construction du barrage s’achevait à peine que la Brown Corporation s’établissait à Sanmaur et entreprenait dans la région une vaste opération d’exploitation forestière. La Brown acheta les bateaux et le tronçon de chemin de fer qui avait servi de transport des matériaux pour le barrage La Loutre. La commission des eaux courantes du Québec construisit une grande maison pour loger les personnes qui travaillaient aux trois barrages sur la rivière Manouan et au barrage la Loutre. Finalement, la St-Maurice Forest Association installa un camp de gardes forestiers. Sanmaur devenait rapidement un petit centre très vivant. Tous les bûcherons de la Brown passaient par Sanmaur en montant ou en descendant des chantiers. Avant Noël, ils se trouvaient plus d’un millier à attendre le train pour retourner chez eux. Une telle concentration de monde est un phénomène impressionnant. Mille hommes, mille sacs de linge sale, mille blasphémeurs prenant le train. Je n’aurais recommandé à personne de les accompagner tant ces hommes étaient rudes.
Beaucoup d’hommes restaient toujours à Sanmaur et travaillaient au transport des provisions de foin, d’avoine et de nourriture que la Brown envoyait aux chantiers. Ces nombreux travailleurs de la Brown à Sanmaur traversaient tous les dimanches pour assister à la messe à Weymontachingue.
Après 1940, la Brown, ayant construit une route de Sanmaur au barrage Gouin, cessa d’utiliser les bateaux et le chemin de fer et approvisionna ses chantiers par camion. Cela mit fin à nos dimanches de fête et d’affluence.

Référence
Joseph-Étienne Guinard et Serge Bouchard, Mémoire d’un simple missionnaire: le père Joseph-Étienne Guinard, Québec, Ministère des affaires culturelles, 1980: 171.
25 No d'identification : 19740 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Je crois devoir faire mention des travaux que M. Stoddard et Cie ont fait dans le cours de l’hiver dernier. Tout en travaillant dans leur propre intérêt, ils ont ouvert un chemin de communication de 45 et un demi milles de longueur qui plus tard pourra être très utile pour la colonisation, car ils se proposent de faire ce chemin, dès cet été, pour pouvoir s’en servir en toutes saisons. En effet ce chemin relie la rivière Mattawin à la Manouan, à l’endroit appelé Métabeskegaziebi, tel qu’indiqué sur mon plan, et sur ce parcours, le terrain est généralement uni et sablonneux, et le bois, tels que merisier, épinette blanche et rouge, bouleau, etc. sont d’une plus belle pousse. Il pourrait s’y former des cantons offrant plus d’avantages que les établissements qui ont été formés à St-Émilie de l’Énergie, St-Zénon, etc. que j’ai parcourus en montant à la Manouan, qui cependant paraissent en voie de progrès malgré les accidents de terrain. MM. Stoddard et Cie paraissent vouloir sérieusement faire de grands travaux sur la Manouan, car dès le mois de janvier dernier, ils avaient déjà une quarantaine d’hommes employés à construire des bâtisses sur la rivière Métabeskegaziebi pour servir de logements pour les travailleurs et contenir des approvisionnements qui, déjà, étaient assez considérables, car il y avait alors 200 barils de fleurs et 150 barils de lard de rendus sur les lieux. Ils sont maintenant en voie d’y construire un vapeur pour faire le service des bois sur le grand lac Wabaskoutyunk.

Référence
Département des terres de la Couronne et Commission géologique du Canada, Description des cantons arpentés et des territoires explorés de la province de Québec: extraits des rapports officiels d’arpentages qui se trouvent au département des terres ainsi que de ceux de la commission géologique du Canada et autres sources officielles, Québec, Imprimeur de la Reine, 1889, 18 août: 499.
Index toponymique -> Manouan, Rivière