Toponyme : Mattawin, Rivière
Index toponymique -> Mattawin, Rivière
1 No d'identification : 23113 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Le commerce du bois sur le St-Maurice diminue considérablement parce que le bois n’est plus accessible. Le bois bordant la rivière sont [sic] épuisé par une longue exploitation; pour pénétrer à l’intérieur par les affluents du St-Maurice, on rencontre des obstacles presqu’insurmontables. Je pense que si on améliorait les principaux affluents, tels que la Mattawin, le Vermillon et le Bostonnais, il en résulterait de grands avantages pour le commerce et, plus tard, pour le revenu de la province.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 2, 4, app. F du Rapport du ministre des terres et forêts, 1863 (1864).
2 No d'identification : 22314 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Le commerce du bois sur le Saint-Maurice diminue considérablement parce que le bois n’est plus accessible. Les bois bordant la rivière sont épuisés par une longue exploitation; pour pénétrer à l’intérieur par les affluents du Saint-Maurice, on rencontre des obstacles presqu’insurmontables. Je pense que si l’on améliorait les principaux affluents, tels que la Mattawin, le Vermillon et le Bostonnais, il en résulterait de grands avantages pour le commerce et plus tard pour le revenu de la province.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 2, 4, app. F du RAMTP (1864).
3 No d'identification : 22994 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les principaux affluents de la rivière St-Maurice sont la Shawinigan, la Mékinac, la Mattawin, le Petit Bostonnais, le Grand Bostonnais, les rivières Croche, Vermillon, Trenche, Grande Pierriche et Manouan.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 11, 6 (1877).
4 No d'identification : 2424 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Il fait la description (terrain, sol, bois) de la rivière Matawin et ses tributaires et arrive à la conclusion : « en général, ce pays m’a paru propre à la colonisation. »

Référence
Département des terres de la Couronne et Commission géologique du Canada, Description des cantons arpentés et des territoires explorés de la province de Québec: extraits des rapports officiels d’arpentages qui se trouvent au département des terres ainsi que de ceux de la commission géologique du Canada et autres sources officielles, Québec, Imprimeur de la Reine, 1889, 18 août: 518-519.
5 No d'identification : 16086 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Propriétaires des limites Milles carrés Localités
David Burnett 150 La Croche
Pemberton & Frères 300 Bostonnais et Flamand
Campbell Moody 640 Croche, La Trenche
George Baptist 705 Rivière-aux-rats, Mattawin
Gilmour & Cie 1 360 Mattawin et Vermillon
George B. Hall 1 900 Mattawin, La Trenche
Antoine St-Cyr 70 Batiscan
Joseph-O. Méthot 98 Township Gosford
William Price & Cie 430 Batiscan
William Price & Cie 860 Saguenay

Référence
Pierre Dupin, Anciens chantiers du St-Maurice, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1953: 28.
6 No d'identification : 19768 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Voir : Le chemin qui mène de la rivière Mattawin (à son embouchure du St-Maurice) au Lac Brown, dépôt d’un camp forestier.

Référence
«Reportage dans les chantiers», Le Canada Français, 22, 5 (1942): 322.
7 No d'identification : 20251 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« C’est pendant cette période relativement reculée que s’établirent différents relais, à St-Roch, à la Mattawin, à la Grand-Anse, à la Rivière-aux-Rats et à la Tuque et même à la Croche, où, selon Mtre Auguste Désilets, M. Adolphe Larue aurait été le premier colon de l’endroit, s’y étant établi dès l’année 1868, sur la ferme que M. George Gouin, des Trois-Rivières, y avait fait défricher les années précédentes. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 184.
8 No d'identification : 20264 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Le poste situé à l’embouchure de la rivière Mattawin et au pied des cascades par lesquelles elle se précipite dans le St-Maurice est placé dans un site superbe, et entouré de terres propres à la culture et dont une étendue assez considérable est défrichée. Les quelques familles de ce poste s’occupent peu de culture et s’adonnent principalement au commerce du bois. Il y a dans les environs des terrains suffisants pour former une belle paroisse. En remontant la rivière Mattawin, qui est un des plus riches tributaires du St-Maurice pour le bois, on rencontre un très beau pays coupé de petites rivières et de lacs où le poisson est en abondance. On y trouve partout aussi au milieu des monticules qui paraissent de prime abord rendre le pays difficile, de magnifiques vallons et même des plaines assez étendues pour offrir place à de larges groupes de colons. Tel est l’aspect de tout ce pays jusqu’à l’établissement Brassard près du lac des Pins, à 60 et quelques milles de l’embouchure de la Mattawin.

[...] Il est certain qu’avec le moindre encouragement, avec la moindre persévérance, on verrait bientôt toute une série d’établissements échelonnés sur la Mattawin, depuis son embouchure jusqu’au Canton Brassard, former une chaîne de communication qui recevrait l’immigration des colons à flots, et nous renverrait en abondance, par le St-Maurice ou par quelque ligne de chemin de fer, comme celle projetée du chemin de fer de Trois-Rivières et Nord-Ouest, les produits de l’agriculture, de l’industrie et du commerce. »

Référence
La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 11.
9 No d'identification : 20270 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
C’est à Grand-Anse. Nous sommes en plein pays civilisé à 12 milles de la Mattawin. De chaque côté de la rivière des défrichements s’étendent à plusieurs milles. Du côté ouest sont les fermes des MM. Hall et l’on aperçoit d’immenses prairies et des pâturages qui s’étendent à perte de vue; sur le côté est sont les établissements d’une vingtaine de colons logés comme dans les vieilles paroisses et jouissant de tout le confort désirable. Il y a place ici pour une grande et belle paroisse. Une jolie chapelle catholique a été érigée récemment en cet endroit et plusieurs fois l’année, monsieur le curé St-Jacques des Piles vient y faire la mission.

Référence
La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 13.
10 No d'identification : 20275 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
[...] Et l’on arrive bientôt au poste de la Rivière aux Rats qui est à 12 milles environ de la Mattawin. Nous sommes ici au milieu du poste le plus important du Haut-St-Maurice, un véritable village. [...] Le St-Maurice nous offre ici des plaines unies et fertiles couvertes de bois mêlé, et arrosées par nombre de petites rivières.
Sur la rive ouest sont de grandes et riches fermes appartenant aux commerçants de bois. Sur la rive est se trouve le village composé d’une vingtaine d’habitations et au milieu duquel s’élève une jolie chapelle où se fait la mission 4 ou 5 fois par année.
Tout annonce ici l’activité de nos campagnes canadiennes et si les vigoureux colons ici s’occupent largement pendant l’hiver de la chasse ou de l’exploitation du bois, ils ne négligent pas l’agriculture en été. On trouve d’aussi luxuriantes moissons sur les fermes de la Rivière aux Rats que sur celles qui bordent les rives du St-Laurent.
Il devrait y avoir ici déjà une petite ville et de vastes défrichements, mais comme ailleurs, c’est le manque de communication qui paralyse le progrès et décourage les meilleures volontés.

Référence
La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 14.
11 No d'identification : 20303 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Fondé en 1890, au moment où régnait la plus grande prospérité, prospérité de l’étape principale entre Trois-Rivières et le nord de la Mauricie. L’objectif principal du commerce nouveau fut de ravitailler les entrepreneurs de la Mattawin, de la rivière aux Rats, de La Tuque et d’autres endroits du St-Maurice.

Référence
«Le magasin des Piles (étape principale entre Trois-Rivières et le nord de la Mauricie)», Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 21, col. 1.
12 No d'identification : 20477 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Un nouveau chantier d’opération forestière, le plus considérable dans la vallée du St-Maurice, sera ouvert sur la rivière Mattawin, par Jean J. Crête, pour le compte et dans les limites forestières de la Consolidated Paper.

Référence
Le Nouvelliste (7 août 1940): 3, col. 7-8.
13 No d'identification : 20562 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Textuel :
« Baptist était possesseur de 700 milles carrés de terrain sous permis de coupe dans les bassins de la Mattawin et de la Rivière aux Rats, d’où il tirait, un peu plus tard, une centaine de mille billots de pin et d’épinette par année. »

Référence
Thomas Boucher, Mauricie d’autrefois, Trois-Rivières, Éditions du Bien Public, 1952: 19.
14 No d'identification : 20889 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Il est prouvé également que le climat de ce territoire n’est pas défavorable à la culture des produits agricoles et qu’il existe sur tous les points de cette contrée des bandes d’une terre excellente. Il serait impossible de demander des conditions plus favorables à la colonisation.

Le commerçant de bois est le meilleur précurseur du colon: les besoins de celui-là sont les agents les plus puissants pour attirer le cultivateur à sa suite; c’est là un fait qu’on peut observer déjà sur le St-Maurice. Avant les premiers essais du commerce du bois, les défrichements étaient sinon stagnants, du moins sans grande activité, parce que, - et c’est là une des plus simples raisons qui se présenteront immédiatement à l’esprit de chacun, - plus le colon s’éloigne des voies frayées et moins il retire du fruit de son travail, à cause des dépenses qu’il doit encourir pour transporter ses produits à un marché. À présent cet ordre des choses est complètement renversé, et plus le cultivateur s’avance dans l’intérieur des terres, plus il vend chèrement les denrées dont il peut dispenser.

Le peuple a eu la pénétration de faire ces observations et nous en avons des preuves satisfaisantes dans les nouvelles colonies de Shawenegan et de Radnor et dans celle qui est derrière Berthier d’où une compagnie entreprenante a fait ouvrir un chemin d’hiver qui va jusqu’à Mattawin, à la rivière des Envies et à divers autres points.

Référence
«Rapport du commissaire des terres de la Couronne, 1856», Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 15, 25 (1857).
15 No d'identification : 22124 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Les équipes s’organisent. 4 contremaîtres choisissent leurs employés. Joseph Boiscler ira au lac Jérôme, à 2 milles du dépôt. Philias l’Épicier se rendra au lac Caribou pour y descendre 60 000 bûches jusqu’à la rivière du Poste, par le lac Jérôme, alors que toutes les équipes se joindront aux hommes de Ferdinand Boisvert. Ce dernier monte au lac Croche, à 19 milles du lac Clair, et doit y descendre 60 000 billots par le tributaire principal, la rivière du Long, laquelle s’unit à la rivière du Poste en aval du lac Jérôme. Puis tous les groupes travailleront au nettoyage des deux rives jusqu’à l’île de France, but actuel des opérations, et située à l’embouchure de la rivière Mattawin, la principale artère du St-Maurice.
Une dernière équipe, sous les ordres d’Agapit Desrosiers, surveillera les rapides du lac Albert, à mi-chemin entre les lacs Clair et Croche. »

Référence
Adolphe Nantel, À la hache, Montréal, Éditions A. Lévesque, 1932: 67.
16 No d'identification : 22206 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« La Mattawin n’est pas navigable mais elle descend très bien le bois. Depuis nombre d’années, M. Hall fait des billots en arrière de Joliette et, par la Mattawin, ces billots arrivent à Trois-Rivières, à la fin de juin ou de bonne heure en juillet. »

Référence
Le Constitutionnel (31 août 1871): 2, col. 3-4.
17 No d'identification : 22360 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
St-Ignace.
« Le temps de la drive ou flottage des billots commencera bientôt. La compagnie de Grand-Mère “L.P. Co.”, fait de grands préparatifs, par les réparations aux chaussées, écluses sur les différentes criques et affluents de la rivière Mattawin dans les environs du lac Clair. Toutefois, le nombre de billots, quoique considérable, l’est beaucoup moins qu’il devait être, si la fameuse loi de conscription n’avait pas fait perdre tant de temps aux hommes de chantier pour se rapporter aux bureaux des juges d’exemption. »

Référence
Le Bien Public (4 avril 1918): 2, col. 5.
18 No d'identification : 22362 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
S-Ignace-du-Lac.
« Le flottage des billots de la compagnie de Grand-Mère se fait actuellement sur la rivière Mattawin. Du lac des Pins où l’on arrive, les drivers prendront bientôt les rapides dangereux jusqu’au St-Maurice. »

Référence
Le Bien Public (20 juin 1918): 3, col. 3.
19 No d'identification : 22390 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« La Mattawin n’est pas navigable, mais elle descend très bien le bois. Depuis nombre d’années, M. Hall fait des billots en arrière de Joliette et, par la Mattawin, ces billots arrivent à Trois-Rivières, à la fin de juin ou de bonne heure en juillet. »

Référence
Elzéar Gérin-Lajoie, Le St-Maurice: notes de Voyage, Trois-Rivières, s.n., 1871: 42.
20 No d'identification : 22403 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Le service forestier du gouvernement a réorganisé les districts forestiers.

District de St-Maurice sous la direction de J.E. Trottier I.F. de La Tuque; ce district comprend tout le basin du St-Maurice, sauf le haut du bassin de la Mattawin, et s’étend sur le transcontinental jusqu’à Monet, comprenant ainsi une petite partie du haut bassin des voies du chemin de fer. La superficie des terrains affermés dans cette région est de 12 500 milles carrés. Celle des forêts vacantes est d’environ 2 950 milles carrés.

Référence
Documents de la Session (D.S.), 59, 5, Rapport du ministre des terres et forêts (1926): 21.
21 No d'identification : 22675 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Voir région de la Mattawin et bois de chauffage.

On annonce le début de la construction d’un chemin de fer devant atteindre la Mattawin partant de Trois-Rivières. On parle de quantités immenses de bois de chauffage et de service qui pourrissent sur place dans la vallée de la Mattawin et de la Croche, faute de bonnes communications avec Trois-Rivières.

Référence
La Paix, 12 (23 décembre 1887): 2, col. 4.
22 No d'identification : 23232 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les rivières qu’il serait désirable de diviser immédiatement en limites sont la rivière aux Rats, Vermillon, Flamand, et Mattawin du côté ouest du St-Maurice, et les rivières Corche, La Trenche, Bostonnais et Mékinac du côté est; ces relevés pourront être ensuite étendus à d’autres rivières aussi importantes, mais pour lesquelles les demandes sont moins pressantes.

Référence
Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 11 (1852).
23 No d'identification : 23356 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Avis aux commerçants de bois et autres. Seront offertes en vente, par encan public, mardi le 15 août, immédiatement après la vente des limites du gouvernement, deux superbes limites situées dans le territoire du St-Maurice, numéro 3 en arrière de la branche est de la rivière Croche, et numéro 4, Mattawin sud. Ces limites sont offertes en vente par les syndics de la session de biens de Geo. B. Hall. James Reynar, pour les syndics. »

Référence
L’Ère Nouvelle, 68 (24 août 1863): 2, col. 6.
24 No d'identification : 23528 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Limites à bois mises à l’enchère le 28 avril 1897.
Agence du St-Maurice.

Limites : Superficie: Mises à prix :
Rivière St-Maurice, 10 est 50 milles carrés 40$
Rivière Trenche, no 1 ouest 31 milles carrés 40$
Rivière Trenche, no 2 ouest 50 milles carrés 50$
Rivière Trenche, no 2 est 40 milles carrés 50$
Rivière Mattawin, no 10 48 milles carrés 75$
Arrière rivière du milieu, A 29 milles carrés 75$



Référence
«Limites à bois mises à l’enchère le 28 avril 1897», Documents de la Session (D.S.), 31, 91 (1897-1898).
25 No d'identification : 23766 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Dans son rapport pour l’année 1858, le surintendant des travaux du St-Maurice attire l’attention sur les « améliorations importantes et profitables qui devraient être faites plus en amont de la rivière St-Maurice et sur ses tributaires, les rivières Mattawin, Vermilon, etc., et au moyen desquels l’accès des terres richement boisées serait rendu facile pour les fabriquant du bois » au dire des marchands de bois. Quant aux améliorations à faire ou faites aux équipements existants sur la partie inférieure du St-Maurice, il dit que ceux-ci « n’ont point souffert de dommage, que rien n’a été perdu, que les fabricants de bois ont été satisfaits des travaux » effectués. Il souligne aussi que toute l’attention possible a été donnée à l’urgence de l’économie. Il en est résulté une diminution des frais d’entretien de 1222$ sur ceux de 1857. Pour l’année 1858, le coût approximatif des travaux effectués de l’embouchure à Grand-Mère est estimé à un total de 1205$ incluant une nouvelle maison pour le maître de la glissoire de Shawinigan au coût de 800$.
Le 12 mai dans l’Ère Nouvelle 1859, le surintendant des travaux sur le St-Maurice donne avis aux intéressés que les booms et les glissoires sur le St-Maurice, sont actuellement en pleine opération et prêts au passage du bois.

Référence
L’Ère Nouvelle (25 avril 1859): 2, col. 6.
Index toponymique -> Mattawin, Rivière