Toponyme : Mauricie
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1 No d'identification : 20528 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
L’exploitation forestière de George Baptist en Mauricie.

Référence
«Bois équarri», Le Constitutionnel, 57 (18 octobre 1871): 2, col. 1-2.
2 No d'identification : 3147 Fonds : Société régionale
  Information documentaire
Un résumé des travaux accomplis pour les besoins des localités et pour l’oeuvre de la colonisation. Établissement de nouvelles routes, progrès de l’agriculture. Des tableaux sur l’état des sommes octroyées et payées pour les travaux qui ont été faits sur les chemins de colonisation dans le Bas-Canada, depuis le premier janvier 1866 jusqu’au premier janvier 1867. Après ces quelques chiffres, un rapport nous décrit chaque chemin de colonisation dans les diverses contrées du Bas-Canada. Pour la Mauricie, nous retrouvons pour chaque comté une description des chemins de colonisation avec l’état du sol, ressources exploitables, le coût, enfin les différentes possibilités qu’offre la région pour fin de colonisation.

Référence
Département de la colonisation Bureau de l’agriculture et des statistiques, Rapport sur les chemins de colonisation dans le Bas-Canada pour l’année 1866, Ottawa, Hunter, Rose & Lemieux, 1867: 66.
3 No d'identification : 5650 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
Parce qu’il faut que Trois-Rivières, la Mauricie et le coeur du Québec soient reliés au reste de l’univers par un service aérien.

Référence
Commission de l’aéroport des Trois-Rivières, L’aéroport de Trois-Rivières: inauguration 22 octobre 1961, s.l., s.n., 1961: 17.
4 No d'identification : 8625 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
Essor industriel et commercial en Mauricie.

Référence
La Concorde (6 septembre 1882): 2, col. 2-3.
5 No d'identification : 12841 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
Article qui traite de l’importance des liens économiques entre les différentes localités qui composent la Mauricie.

Référence
«Le Haut St-Maurice et la cité de Trois-Rivières», Le Nouveau Trois-Rivières (17 septembre 1908): 1, col. 1-3.
6 No d'identification : 12842 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
Article qui traite de l’importance des liens économiques entre les différentes localités qui composent la Mauricie (cet article complète celui paru le 17 septembre).

Référence
«Le Haut St-Maurice et la cité de Trois-Rivières», Le Nouveau Trois-Rivières (24 septembre 1908): 1, col. 1-2.
7 No d'identification : 14940 Fonds : Trois-Rivières
  Information documentaire
Essor industriel et commercial en Mauricie.

Référence
La Concorde (6 septembre 1882): 2, col. 2-3.
8 No d'identification : 19770 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Construction des routes en Mauricie et influence des entrepreneurs forestiers sur leurs constructions.

Référence
A. Turenne, Une richesse à conserver, la forêt du St-Maurice, Thèse de maîtrise (administration et commerce), Québec, Université Laval, 1950: 78.
9 No d'identification : 19774 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Intégral :
« Le gouvernement fit en 1852 ouvrir un chemin, des Forges du St-Maurice jusqu’à la Baie de Shawinigan. [...] En 1856, le gouvernement fit aménager le chemin des Piles. Cette voie de pénétration jusqu’en plein coeur de la Mauricie mettait des magnifiques chutes de Grand-Mère et de Shawinigan à la portée d’une exploitation méthodique. »

Référence
Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 5, col. 1-2.
10 No d'identification : 19879 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Un des premiers soins des pionniers fut de pourvoir à l’ouverture de voies d’accès à leurs chantiers. Il est donc vrai de dire que l’essor industriel du commerce du bois, comme d’ailleurs l’activité économique en général, date des premiers chemins de fer.
Si la construction de voies ferrées a été tardive dans la Mauricie c’est qu’il faut y voir une double raison. Premièrement, une voie ferrée dans ces temps-là ne menait nulle part (sauf au Lac St-Jean; deuxièmement, la Maurice n’avait pas l’avantage comme d’autres régions d’être le carrefour de communications internationales.
Ce sont les compagnies de bois qui en 1878, obtinrent la réalisation d’un projet vieux de 20 ans, une voie ferrée reliant Trois-Rivières et les Piles.
En 1899, on décida de relier Shawinigan à la voie principale du grand Nord qui passerait par Ste-Flore, village situé à quelques milles de Shawinigan.
Le centre des affaires étant situé à Trois-Rivières, il fallait absolument relier cette dernière à Shawinigan, c’est pourquoi l’on vit apparaître le St-Maurice Valley Railway. Ce fut une entreprise formidable, et après maintes difficultés, le premier train entra en gare le 31 décembre 1906. En 1910 on prolongea cette ligne jusqu’à Grand-Mère, et l’année suivante, l’entreprise passait aux mains du Pacifique Canadien. La même année, la construction d’un transcontinental ayant sa tête à Québec venait rejoindre La Tuque, pour ensuite regagner le nord-ouest québécois.
Puis, le St-Maurice que les chemins de fer refusaient de remonter en l’amont des Piles en cette même année 1910 fut abordé tout au long de son cours supérieur. Ce fut du moins largement profité.

Référence
A. Turenne, Une richesse à conserver, la forêt du St-Maurice, Thèse de maîtrise (administration et commerce), Québec, Université Laval, 1950: 76-77.
11 No d'identification : 20303 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Fondé en 1890, au moment où régnait la plus grande prospérité, prospérité de l’étape principale entre Trois-Rivières et le nord de la Mauricie. L’objectif principal du commerce nouveau fut de ravitailler les entrepreneurs de la Mattawin, de la rivière aux Rats, de La Tuque et d’autres endroits du St-Maurice.

Référence
«Le magasin des Piles (étape principale entre Trois-Rivières et le nord de la Mauricie)», Le Nouvelliste (9 décembre 1950): 21, col. 1.
12 No d'identification : 20338 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Nombre de billots coupés en Mauricie par chaque entrepreneur en 1858.

Référence
Journaux de l’Assemblée législative du Canada, 21 (1863).
13 No d'identification : 20476 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
« Jean J. Crête, le roi de la Mauricie. »

Référence
Société historique industrielle, La Mauricie, futur Rurh du Canada, Montréal, La Société, 1956: 239 à 148.
14 No d'identification : 21139 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Calcul approximatif de la production des usines de pâte et papier de la Mauricie.

Référence
Le Nouvelliste (10 janvier 1924): 5, col. 3-4.
15 No d'identification : 21140 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Correction aux chiffres donnés dans l’article du 10 janvier 1924, sur la production des pulperies de la Mauricie.

Référence
Le Nouvelliste (11 avril 1924): 5, col. 4-5.
16 No d'identification : 21151 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Évaluation de la production journalière des usines à papier de la Mauricie et du Canada.

Référence
Le Nouvelliste (18 août 1928): 33, col. 4-5.
17 No d'identification : 21406 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Bilan des opérations de la Consolidated Paper de la Mauricie (photos des usines Laurentide à Grand-Mère, Belgo à Shawinigan et les usines Wayagamack de Trois-Rivières et du Cap de la Madeleine).

Référence
Le Nouvelliste (23 novembre 1940): 40, col. 1-5.
18 No d'identification : 21483 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
L’auteur énumère les sources d’approvisionnement de la C.I.P. et les industries.

Auteur : Lafrance, Robert

Référence
«L’occupation humaine dans la Mauricie», Bulletin de l’Association des Géographes du Québec, 5 (1 mai 1964): 41-48.
19 No d'identification : 21508 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Toute la page est consacrée aux activités de la Canadian International Paper Company et ses filiales dans la Mauricie et à l’extérieur aussi.
(N.B. deux photos de l’usine des Trois-Rivières, l’extérieur et une vue de l’intérieur).

Référence
Le Nouvelliste (20 août 1927): 10, col. 1-8.
20 No d'identification : 21680 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
La Brown Corporation de La Tuque se prépare à augmenter considérablement ses intérêts dans la Mauricie, et tout particulièrement à La Tuque.

Référence
Le Nouvelliste (14 août 1937): 3, col. 7-8.
21 No d'identification : 22381 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Robert Lafrance
L’auteur identifie les problèmes du transport du bois par flottage.

Référence
«L’occupation humaine dans la Mauricie», Bulletin de l’Association des Géographes du Québec, 5 (1 mai 1964): 41-48.
22 No d'identification : 22762 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Des hommes sont partis travailler sur la Gatineau pour M. Gouin.
La grande maison d’Ottawa engage beaucoup d’hommes de la Mauricie.

Référence
Le Constitutionnel, 27 (19 août 1872): 3, col. 3.
23 No d'identification : 22936 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
Les États-Unis ont réduit leur tarif sur l’entrée du papier, cela a des répercussions sur l’économie de la Mauricie.

Référence
Le Nouveau Trois-Rivières (9 septembre 1909): 2, col. 1-3.
24 No d'identification : 23401 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
L’article fait l’éloge du nouveau règlement sur les bois. Le journaliste prétend qu’une telle législation ne peut qu’aider la colonisation : « dans tous les cas, le temps est arrivé où il faut restituer au colon au moins une partie de la valeur que sa terre a perdue par l’enlèvement des bois précieux qui la couvraient. Le nouveau tarif sur les bois aura cet effet. Car nous ne craignons pas de nous tromper en affirmant qu’il a déjà donné assez de signes certains (le gouvernement) de ses dispositions à encourager l’agriculture, la colonisation et les autres branches d’industrie pour faire croire que l’augmentation de revenu résultant du nouveau tarif est destinée à mettre à exécution une politique aussi patriotique et aussi propre à guérir cette grande plaie de l’émigration de nos compatriotes aux États-Unis.
Naturellement, la classe qui se trouve immédiatement affectée par ces changements a fait entendre des plaintes. Elle prétend qu’on vient de commettre une grande injustice à son égard. À son avis, le commerce de bois serait menacé d’anéantissement. » Le journal n’est pas d’accord avec ces affirmations. À son avis, la vente des limites qui vient d’avoir lieu dans plusieurs régions, y compris la Mauricie, démontre le contraire. Les ventes se sont faites avec succès et ont rapporté des bonus supérieurs. De l’avis du journal, le nouveau tarif est donc parfaitement justifié. Cependant, il propose certains amendements qui « accommoderaient mieux les commerçants » par exemple, au lieu d’obliger les commerçants à payer une rente double sur les concessions inexploitées, le gouvernement devrait élever la rente foncière, car selon le journal, la pratique actuelle a peu d’effets positifs : « les commerçants, pour obéir à la lettre des règlements, ne font que couper sur plusieurs de leurs limites un certain nombre de billots qu’ils laissent là pour éviter les frais de transport ». Le journal suggère aussi d’accorder les limites par baux à long terme pour 10, 15 ou 20 ans. De cette façon, l’acquéreur, confiant de la durée de son contrat, se livrerait à de plus amples exploitations.
Le journal propose aussi de ne pas appliquer rétroactivement le bonus en cas de transfert de concession, mais seulement aux nouveaux acquéreurs parce que, les premiers acquéreurs, ayant eu tout à créer, améliorer les rivières, etc., et ayant occupé leurs limites de bonne foi, ne pouvant pas prévoir ce droit additionnel avant de s’engager dans leur commerce pourraient en souffrir.

Référence
Le Journal des Trois-Rivières (29 septembre 1868): 2, col. 1-3.
25 No d'identification : 23693 Fonds : Exploitation forestière
  Information documentaire
P.E. Paquette
- Nombre de concessions en Mauricie en comparaison avec le reste du Québec.
- Les principales essences abattues en Mauricie dans les concessions.

Référence
Paul-Émile Paquette, «L’économie forestière de la vallée du St-Maurice», L’actualité économique (1 janvier 1947): 523.
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