Toponyme : Montmorency |
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1 | No d'identification : 9870 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Ce qui nous manque, c’est le capital disponible d’abord, ensuite de ces hommes patriotiques et industrieux qui ne tendent qu’à agrandir la sphère de leur action et donner du travail aux classes pauvres. De ces derniers, nous aurions à nommer Monsieur Hall de Montmorency dont le nom et la réputation ne sont ignorés de personne. C’est ce monsieur qui doit ce printemps établir à Gentilly d’immenses fonderies et tirer du sol qui la contient en grande quantité la matière brute devant servir à les alimenter. L’exploitation en question devrait se faire sur un pied aussi considérable qu’aux Forges St-Maurice. L’établissement de ces forges devra, nous dit-on, employer près de trois cents familles [...] » Référence Le Constitutionnel (8 avril 1874): 2, col. 5. |
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2 | No d'identification : 22090 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire « Hier, quelques minutes avant quatre heures du matin, expirait un de nos principaux commerçants de bois, M. John Broster à l’âge de 57 ans, 11 mois et 26 jours. Né en Angleterre, à Liverpool, en 1814, M. Broster arrivait en Canada en 1830, à l’âge de 16 ans seulement. Il fut d’abord l’employé de M. Patterson à Montmorency, puis l’agent de M. Price et de M. Hall. Il y a à peu près six ans, M. Broster faisait l’acquisition de plusieurs belles limites dans le territoire du St-Maurice et se livrait au commerce de bois pour lui-même. » Référence Le Journal des Trois-Rivières (27 juillet 1871): 2, col. 3. |
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3 | No d'identification : 22511 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire On s’attend à 4 cent mille billots cette année. Le moulin de Ward, des Américains et de Baptist ne peuvent scier la moitié de ce bois. La balance de billots va ailleurs aux moulins de New Liverpool, de Québec et Montmorency. Les travaux publics faits sur le St-Maurice rendent difficile la construction de moulin. Cela prive Trois-Rivières de beaucoup de ressources, car si ce bois était traité sur place, la ville prospérerait beaucoup plus. Référence Le Constitutionnel, 31 (16 août 1869): 2, col. 1. |
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4 | No d'identification : 22821 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire On s’attend à 4 cent milles billot cette année. Les moulins de Ward et Baptist ne peuvent scier la moitié de ce bois. La balance des billots va ailleurs. Les travaux publics faits sur le St-Maurice rendent difficile la construction de moulins. Cela prive Trois-Rivières de beaucoup de ressources car si ce bois exporté aux moulins de New-Liverpool de Québec et Montmorency était traité sur place, la ville prospérerait davantage. Référence Le Constitutionnel, 31 (16 août 1869): 2, col. 1. |
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5 | No d'identification : 23093 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Ce district est traversé dans toute sa longueur par le chemin de fer transcontinental. Il comprend les comtés suivants : demie sud-est de Montcalm, Joliette, Berthier, Maskinongé, St-Maurice, Champlain, Portneuf, Québec, Montmorency et l’Abitibi, qui se trouve comprise dans le comté de Témiscamingue. Le personnel est composé d’un inspecteur, 5 assistants, 12 gardes forestiers ou mesureurs experts. Le total des bois coupés sur les limites a été de 201 000 000 de pieds. Ces coupes ont été faites par 1454 chantiers, employant 8272 hommes et 2713 chevaux. Nos agents et préposés ont fait 2873 inspections. Référence Documents de la Session (D.S.), 50, app.13. rapport du ministre des terres et forêts, deuxième session 1916, année fiscale 1915-16 (1916): 24. |
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6 | No d'identification : 23815 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Il y a d’abord les grandes estacades de l’embouchure du St-Maurice construites pour l’utilité des scieries de Trois-Rivières et la mise en radeaux du bois non manufacturé, destiné aux scieries de Montmorency et de Québec. Ces estacades mesurent 10 000 pieds linéaires et sont retenues par 50 piliers; le poids total des chaînes d’amarrage employées s’élève au chiffre de 125 000 livres de fer. Celles du Cap Corneille, deux milles plus haut, sont presqu’aussi importantes; elles ont une longueur de 8 000 pieds et sont retenues par une trentaine de piliers. On trouve aussi des travaux considérables de barrages aux Grès. Mais ce sont ceux de Shawinigan qui ont le premier rang en importance. Ils comprennent deux grands réseaux, l’un au-dessus de la chute, l’autre dans la baie au-dessous. Leur longueur totale est de 15 000 pieds. Il y a encore ici une glissoire de près de 1 000 pieds de longueur, construite pour épargner au bois de sauter la cataracte et éviter les pertes qui s’en suivraient. [...] À la Grand-Mère, on trouve encore d’immenses estacades avec tout le personnel et l’outillage nécessaire. Les derniers grands travaux de ce genre qui viennent d’être faits sont les barrages et les estacades des Piles, qui d’après tous les commerçants de bois, vont devenir les plus utiles de tous ceux du St-Maurice. Il y a d’autres ouvrages en remontant plus loin encore, mais le besoin ne s’en fait plus sentir, et on les a à peu près abandonnés depuis quelques années. Référence La vallée du St-Maurice et les avantages qu'elle offre à l'industrie, au commerce et à la colonisation, Ottawa, Département de l’agriculture, 1887: 21. |
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