Toponyme : Nipissing, Lac |
Index toponymique -> Nipissing, Lac |
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1 | No d'identification : 2507 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Les gens du comté de Maskinongé veulent que le gouvernement subventionne le chemin de fer déjà entrepris à Louiseville pour se rendre au lac Nipissing. Référence «Le Chemin des Basses Laurentides et le Maskinongé et Nipissingue», Le Journal des Trois-Rivières (20 février 1890): 2, col. 3. |
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2 | No d'identification : 4496 | Fonds : Société régionale | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Le chemin de fer de Maskinongé et Nipissing. Demande au groupe d’accorder un octroi pour la construction de ce chemin de fer. Énumère les divers avantages (raccourci, commerce, colonisation). Donne le tracé possible du chemin de fer (de Louiseville à St-Michel-des-Saints puis de là à St-Jérôme d’où il se rendrait rejoindre le C.P. au Lac Nipissing). Référence Le Journal des Trois-Rivières (24 février 1888): 2, col. 2-3. |
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3 | No d'identification : 6411 | Fonds : Trois-Rivières | |||||||||||||||||||||
Information documentaire Plusieurs avis de demandes de subsides ont été déposés devant les communes, la semaine dernière, par l’honorable Mr Dewdney. Entre autres on y voit les demandes suivantes : Compagnie Great Eastern, 20 milles, de St-Grégoire à la jonction de la Chaudière sur l’Intercolonial [...] 64 000$ Compagnie du Maskinongé et lac Nipissing, 15 milles d’un point du chemin de fer Canadien du Pacifique à Maskinongé ou Louiseville, vers St-Michel des Saints, rivière Mattawin conditions de ces subsides : commencement dans les deux ans, achèvement avant quatre ans. Référence Le Journal des Trois-Rivières (2 mai 1889): 2, col. 1. |
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4 | No d'identification : 23126 | Fonds : Exploitation forestière | |||||||||||||||||||||
Information documentaire L’aire du pin blanc ne dépasse pas 49° de latitude, et à l’est le Dr Bell lui assigne la rivière Mingan pour limite extrême. [...] Mais les forêts susceptibles d’exploitation ne se trouvent plus que dans les territoires de l’Ottawa et du St-Maurice. C’est le comté de Pontiac qui renferme les plus belles pinières et les plus riches, ce que l’on pourrait appeler des « pinières pures ». Dans le territoire du St-Maurice, le pin de choix est extrêmement rare. Il n’y a plus de pin blanc dans la région du lac St-Jean et il y en a très peu dans la contrée du Saguenay, le long de la côte du St-Laurent, il n’y en a pas davantage dans les cantons de l’est et dans la contrée qui s’étend depuis la rivière Chaudière jusqu’à Gaspé. [...] L’aire dans laquelle le pin blanc se trouve encore en quantité suffisante pour alimenter des chantiers réguliers comprend au plus le tiers du territoire du St-Maurice. [...] La pruche est à peu près épuisée dans les cantons de l’est et du comté du St-Maurice [...] et l’épuisement de cette espèce forestière suivra de près la construction des chemins de fer dans les endroits où il s’en trouve encore. Déjà nos tanneries de Québec sont obligées de faire appel à la région de Rogersville au Nouveau-Brunswick et à celle du lac Nipissing en Ontario. Référence Jean-Chrysostome Langelier, Les arbres de commerce de la province de Québec, Québec, Dussault & Proulx, 1906: 16. |
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